Sabine de la liberté à la soumission

vendredi 24 février 2017
par  FRANKIE
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Ce récit fantasmé se veut être la suite de celui intitulé SABINE écrit par Marsajean en juin 2007

En sortant de la petite salle à manger réservée à Madame Claire et Monsieur Jean, ma maitresse m’amena, tenue en laisse, nue et yeux bandés, jusqu’à la sortie du restaurant ; elle dit à jean d’une voix assez forte : « va chercher la voiture et quand tu reviens, tu nous fais signe ; Je t’attends ici avec cette petite pute ! » Jean sortit sans rien dire. Quant à moi, de la même voix, elle m’ordonna :
« Toi, petite chienne, place tes mains sur la paroi vitrée devant toi, comme si tu faisais la belle, et ne bouges plus ! Tu m’as compris ? »
« Oui, Madame. »
« Dès cette après-midi, cela sera, oui Maitresse ».
Tout ce rituel se passait devant les quelques clients encore présents, eux tout émoustillés devant cette scène pittoresque, mais moi très honteuse de me donner en spectacle ! Mais en même temps me revenait en mémoire le spectacle d’une semaine auparavant où, après quelques gifles bien senties reçues de Claire dans les toilettes, j’avais été obligée par elle à me montrer totalement nue, ce que je considérais comme un attentat à la pudeur ; et donc je me devais de considérer que ce n’était pas la dernière fois que j’aurais à m’exhiber ainsi puisque mon manque de rébellion dans les 2 cas signifiait que j’acceptais d’aller vers une soumission totale.
Quelques minutes après, la voiture arrivant, Maitresse m’intima l’ordre de me remettre à quatre pattes, et nous sortîmes ; Jean ayant ouvert le coffre, elle me fit monter sans trop de peine à l’intérieur (j’avais toujours le bandeau qu’elle m’avait mis au restaurant) ; c’était une voiture avec un coffre spécial pour chienne, séparé de l’avant par une grille ; elle me demanda alors de me mettre à quatre pattes pour rester discrets pendant le trajet qui fut assez rapide.
Ma maitresse vivait dans une maison entourée d’un parc assez grand, clôturé d’un mur assez haut ; la voiture ayant pénétré dans ce parc, le portail vite refermé, j’étais plus à l’aise car je pus descendre de voiture, complètement à poil, à l’abri de regards indiscrets.
Une fois descendue, Maitresse Claire me fit entrer, toujours tenue en laisse, dans la maison, et m’emmena dans le salon ; là elle m’ordonna de me mettre à genoux, les mains sur la nuque ; elle s’absenta quelques minutes ; à son retour, elle me fit me pencher en avant, de façon à mettre mon cul en valeur me dit-elle. C’est alors que je sentis qu’elle essayait de faire entrer un corps étranger dans mon anus ; aussitôt je criais, ce qui me valut quelques claques bien appuyées sur les fesses ; Maitresse s’écria :
« Tu ne vas pas commencer à te plaindre parce que je te touche un peu le cul » et alors elle ressortit de mon cul un plug en métal recourbé, qui était l’objet du délit, puis elle me le fit rentrer cette fois-ci plus facilement après l’avoir recouvert de vaseline.
Ensuite, elle m’ordonna de me retourner, tout en restant à genoux, et cela une fois fait, de me pencher en arrière en mettant les mains sur les cuisses bien écartées ; cette position lui facilita l’intromission d’un autre plug conique, cette fois-ci dans mon vagin.
Elle me fit retourner de nouveau et me dit :
« Te voilà bien bouchée des 2 côtés et dorénavant tu le seras continuellement ; nous ne t’enlèverons ces plugs qu’une fois le matin et une fois le soir pour faire tes besoins ; et lorsque tu seras chez toi, c’est ton mari qui recevra l’ordre de s’en charger.. »
Une fois cela dit, elle m’enleva le bandeau qui couvrait mes yeux, et me dit :
« Remets-toi à quatre pattes, les yeux baissés vers sol ; désormais ce sera toujours les yeux baissés ; exceptionnellement maintenant je te donne l’autorisation de regarder devant et autour de toi pour voir où tu te trouves »
Ainsi je découvris que j’étais dans un salon, à genoux devant le fauteuil de maitresse Claire , ma laisse accrochée à un socle, où je constatais qu’il y avait aussi accrochés une cravache, un martinet, un fouet, ce qui n’était pas fait pour me rassurer ! Monsieur Jean s’était assis un peu plus loin sur une chaise ; et comme il n’avait rien dit depuis le début, même pendant le repas, je commençais à me demander s’il n’y avait pas de sa part une espèce de soumission vis-à-vis de sa femme !
C’est alors que Maitresse prit la parole :
« Te voilà, petite chienne servile, devant moi pour commencer ton éducation à la soumission comme tu l’as désiré. » Puis elle prit un document qu’elle avait près d’elle et me le tendit en repre-nant : « voici un contrat que j’ai préparé qui précise les obligations de chacune ; tu vas le lire à haute voix, lentement, en articulant bien ; tu t’arrêteras après chaque phrase, pour qu’éventuellement je te donne quelques explications. Allez commences la lecture »
" Contrat signé ce jour entre Maitresse Claire et sa soumise Sabine, surnommée Noiraude, ici pré-sentes toutes les deux, et stipulant les obligations d’une part de la soumise, d’autre part de la Mai-tresse.
A compter de ce jour et pour un an , Noiraude se met à disposition de Maitresse Claire pour lui être totalement soumise jour et nuit, 7 jours sur 7, et lui servir d’animal de compagnie, d’où une marche continuelle, sauf exception décidée par la maitresse, à quatre pattes comme une petite chienne, toujours les yeux baissés vers le sol, et tenue en laisse constamment.
A compter de ce jour, Noiraude n’aura plus droit à aucune initiative, devra demander chaque fois la permission à sa maitresse pour quoi que ce soit : le travail à effectuer, faire ses besoins, le droit de se masturber ou de jouir dans ses jeux sexuels….etc. Elle n’aura le droit de parler qu’en réponse aux questions de sa maitresse, ou exceptionnellement si cette dernière l’autorise suite à une demande de sa part.
La soumise se rendra jour ou nuit au domicile de sa maitresse sur simple appel téléphonique de sa maitresse ; celle-ci aura en main le planning hebdomadaire des heures de travail de sa soumise, à charge pour cette dernière de lui remettre dès sa prochaine venue.
Lorsque la soumise sera à son domicile, son mari, qui a donné son accord pour cette soumission d’un an, prendra le relais de Maitresse Claire, et donnera à sa femme tous les ordres dont elle aura besoin, façon pour cette dernière de rester soumise à sa maitresse par l’intermédiaire de son mari.
Chaque Samedi à 7 h 30, le mari amènera Noiraude chez sa maitresse et viendra la chercher le Di-manche à 19 h 30.
Pour les vacances d’été, Maitresse donnera à la soumise les dates de son séjour d’un mois à l’Océan, et cette dernière devra aussitôt voir avec son employeur pour qu’il lui accorde des congés à la même période, étant donné que Noiraude passera ses congés auprès de sa maitresse le mois complet ; cette dernière prendra à sa charge tous les frais de trajet, d’hébergement et de nourriture de sa soumise.
Donc la vie de Noiraude, pendant une année, sera une vie d’obéissance totale à Maitresse Claire, ce qui veut dire que tout manquement sera sanctionné soit par des fessées, soit par des coups de martinet, ou de cravache, ou de fouet ;
De plus ces sanctions pourront être données même sans aucune faute, mais cela pour que lui soit rappelé sans cesse qu’elle est et restera une soumise.
Toute punition reçue se terminera par un « merci, Maitresse » en signe de respect de la part de la soumise.
Lorsque la soumise sera appelée soit à venir quelques heures les cinq premiers jours ou nuits de la semaine, soit à être présente du samedi matin au dimanche soir, Maitresse sera décisionnelle des activités qui lui seront assignées.
Durant cette année de soumission, Maitresse Claire s’engage à éduquer sa soumise Noiraude avec le souci constant que cette dernière découvre en elle une liberté intérieure toujours plus grande, du fait que toute angoisse lui sera enlevée puisque ses journées seront détendues, pas de choix à faire, pas d’initiative à prendre, seulement s’en remettre à la bienveillance de Maitresse Claire.
En acceptant de devenir la soumise de Maitresse Claire, Noiraude lui fait don de son corps, c’est-à-dire que Maitresse pourra en faire ce qu’elle veut, s’en servir pour elle-même, ou le mettre à disposition de son mari, ou le prêter à d’autres. Mais Maitresse Claire s’engage à ce que soit préservée l’intégrité physique du corps de Noiraude.
La période de soumission commence, ce jour, comme cela est déjà prévu par Maitresse Claire, par une période d’essai d’un mois (voir 1° récit) ; à l’issue de cette période, chacune des 2 partenaires pourra rompre le contrat à charge pour elle de donner ses raisons de rompre.
Au bout de l’année de soumission, un bilan sera fait par chacune, et suite à celui-ci, s’il est positif, il pourra être décidé d’un commun accord que Maitresse Claire continue d’être une dominatrice, et que Noiraude devienne une esclave de celle-ci pour une période plus ou moins indéterminée, changement de statut la conduisant à une dépendance totale. « Suite à ma lecture de ce contrat, Maitresse me demanda si je désirais quelques explications ; je lui répondis : »Si ma maitresse me donne l’autorisation de parler, j’aimerais bien lui poser, avec tout le respect que je lui dois, quelques questions. «  » Ah tu me fais plaisir quand tu me parles comme çà ; je vois que tu as tout de suite compris quelle différence de statut il y a entre moi et toi, et donc que tu es déjà dans une démarche de soumission ; donc tu peux me poser toutes tes questions ! «  » Ma première question pourquoi ce nom d’une cloche des montagnes qui m’est attribuée, au lieu de mon prénom Sabine ? «  » Je t’expliquerais cela tout-à-l’ heure au moment de te donner ton travail pour l’après-midi. «  » Si j’ai bien compris, vous pourrez du lundi au vendredi, que ce soit le jour ou la nuit, me demander de venir chez vous, mais en tenant compte de mes horaires de travail en entreprise ; donc dès la prochaine fois où vous me convoquerai je vous remettrais mon planning hebdomadaire ; mais puis-je vous demander respectueusement quelle pourrait être la raison de cet appel ? «  » il y aura deux raisons : soit pour faire un travail précis par exemple entre midi et deux heures venir débarrasser notre table et faire la vaisselle parce que notre employée de maison est absente ; soit , notamment en pleine nuit, pour te rappeler constamment que tu es ma soumise et que tu ne l’a pas oublié. «  » Je peux vous dire dès maintenant qu’il n’y aura aucun problème pour les dates des congés d’été, puisque je suis responsable de service dans mon entreprise et que c’est moi qui décide de mes dates de congés. «  » C’est parfait ! «  » En lisant attentivement ce contrat, et après les explications que vous m’avez données, à partir de maintenant, non seulement je ne peux plus rien décider par moi-même, mais aussi je n’aurais plus aucune vie personnelle, ni même aucune intimité puisque tout ce que je ferais se fera au vu et au su de toute personne présente près de moi. «  » Oui, c’est bien cela, car même chez toi, tu seras sous la coupe de ton mari à qui tu seras soumise en tant qu’il sera mon représentant ! «  » Maitresse Claire, je vous remercie de toutes ces explications ; je vois que toutes vos décisions sont prises pour me faire évoluer rapidement vers une soumission, source de liberté intérieure pour moi, ce dont j’ai bien besoin actuellement ; aussi, si vous en êtes d’accord, je suis prête à signer ce contrat dès maintenant. «  » C’est parfait ; je vais te le faire signer ; auparavant approches-toi de moi ! « Je me rapprochai d’elle toujours assise dans son fauteuil. » Penches-toi bien de telle façon que tu touches mes pieds, et alors tu enlèves mes chaussures et tu me lèches les pieds en signe de soumission. «  » Oui maitresse, tout de suite. "
Aussitôt dit aussitôt fait j’obéissais, comme si je faisais un geste naturel, un geste que j’avais l’habitude de faire, et en fait en exécutant cet ordre, j’éprouvais en quelque sorte une jouissance sensuelle, lécher avec passion les pieds d’une personne qui exerçait sur moi sa domination. LIRE LA SUITE



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Commentaires

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jeudi 2 mars 2017 à 18h11 - par  Nicogarner

Quelle claque cette histoire, intense et étouffante dans son exploration sm, j’adore j’adore. Encore et encore... Nicogarner de Divines et Libertines.