La mante religieuse
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Il quitta à regret sa posture pour se précipiter à la cuisine en affichant une érection qui ne cessait d’émerveiller Élisabeth. En plus de posséder de magnifiques attributs, ce garçon ne débandait quasiment pas. Et se dire qu’elle en était la seule et l’unique responsable, finit de conquérir le cœur de la sublime sexagénaire. Ce garçon, elle ferait tout pour le conserver, quel qu’en soit le prix.
Il revint quelques minutes plus tard, toujours aussi bien pourvu entre ses cuisses, pour déposer la tasse de café devant sa Maîtresse et se prosterner à ses pieds. Cette fois il se tint face à elle pour embrasser passionnément chacun de ses escarpins, représentation divine de la suprématie de sa Maîtresse sur lui et son existence, à présent. Il se permit même de les lécher en levant les yeux sur elle. Il lui sourit même, sourire qu’elle lui rendit en lui ébouriffant ses cheveux avec tendresse.
— Tu es un bon petit esclave, bien obéissant, bien soumis comme j’aime. Allez, va, maintenant !
— Oui Maîtresse.
Il se dépêcha de se rendre dans la salle de bain attenante à la chambre d’Élisabeth pour remplir l’impressionnante baignoire d’angle d’eau bien chaude. Encastrée dans le sol constitué de carrelage gris, on pouvait facilement s’y tenir à deux dedans. Les indispensables bougies, galets et bambous finissaient de transformer cette baignoire balnéo en espace zen. Il ne put s’empêcher de rêver de s’y retrouver avec sa Maîtresse, rien que pour pouvoir la laver.
Une fois le bain rempli et parfumé de sel lavande qu’il avait trouvé dans un bocal sur une étagère, il retourna au salon pour s’agenouiller devant sa Maîtresse. Cette fois il lapa immédiatement ses hauts talons.
— Votre bain est prêt, Maîtresse.
— Alors, allons-y, esclave. Passe devant moi et n’oublie pas de me dandiner ton petit cul. Et tu n’oublies pas de soulever tes talons quand tu marches chez moi ! Je veux te sentir femme, ajouta-t-elle, excitée par cette perspective de le féminiser.
— Oui Maîtresse.
Stéphane tortilla des fesses comme elle l’avait réclamé, accentuant même les ondulations de ses hanches jusqu’à passer pour un efféminé. Mais c’était ce qu’elle voulait, et elle lui flatta la croupe en le félicitant à sa manière :
— Hum, tu me donnes envie de t’enculer, petite tapette.
Elle se moquait de lui délibérément. Stéphane ne releva pas, trop heureux de plaire à sa Maîtresse même s’il fallait passer pour un homo, voir un travesti pour lui convenir. Ce qu’il adorait par-dessus tout c’était de se sentir exposé à sa vue.
Arrivés dans la salle de bain, elle lui ordonna de la déshabiller ce qu’il fit avec un certain empressement. Élisabeth fronça des sourcils.
— Calme-toi mon chaton, tu auras tout le temps de me voir nue, fit-elle, pas mécontente toutefois d’éveiller à son âge un tel désir auprès d’un aussi séduisant garçon.
Débarrassée de son corset et de sa robe en « wetlook », elle lui ordonna de se placer à genoux derrière elle. Il se retrouva face à son fessier encore fort joliment galbé pour une femme de cet âge. Il s’était rendu compte dans la salle de sport qu’elle n’hésitait pas à mettre des charges lourdes pour se muscler, meilleure façon sans aucun doute pour viser un beau volume pour son fessier.
— Tu peux couvrir mes fesses de baisers, esclave !
— Oh ! Merci, Maîtresse.
Il resta ainsi debout sur ses genoux à couvrir ses deux globes fessiers de doux et respectueux baisers. En fait, il les effleurait à peine, et parfois sortait sa langue pour lécher la douce peau satinée d’Élisabeth. Dans une ultime tentative pour la satisfaire, pensait-il, il se pencha davantage et en courbant sa nuque tenta d’atteindre son entrecuisse et introduire sa langue dans son intimité humide. LIRE LA SUITE
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