6- Suite des aventures sexuelles de C, mon épouse.

C’est moi, le mari de C qui raconte cette partie.
dimanche 4 septembre 2011
par  Cadan
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Le coup de téléphone m’avait complètement assommé. Bien sûr, je savais que mon épouse était dans une situation difficile, mais je n’imaginais pas les mots que m’avait assénés ce monsieur Ali. Je l’avais bien vu nue devant lui, mais j’avais voulu me persuader qu’il ne faisait que la baiser. Ce qu’il m’avait dit allait bien plus loin. Je n’étais pas certain de vouloir savoir, et pourtant, je savais que j’irais.
Il est six heures moins le quart quand je rentre dans ce restaurant de malheur. Le serveur m’emmène directement dans la cuisine. Là, Ali est, comme d’habitude assis derrière son bureau.
— Alors, le petit mari. Il a fallu que je t’appelle pour que tu voies ce que fait ta femme quand elle vient ici. Tu n’es pas curieux ?
— Pourquoi m’avez-vous fait venir ici ?
— Je veux que tu saches, en le voyant de tes yeux, ce qu’est en train de devenir ta douce et tendre épouse.
— Mais pourquoi ?
— On en reparlera tout à l’heure. Pour l’instant, va te cacher. Elle va arriver. Et pas un mot, pas un bruit.
Je me retrouve dans l’appentis, derrière la glace sans tain.
C est entrée. Mais je ne la reconnais pas. Elle porte une mini-jupe, si courte, que je peux voir la peau nue de ses cuisses, au-dessus de la lisière de ses bas. À ses pieds, des talons vertigineux. Elle qui ne porte habituellement que des pantalons et des tennis. Le chemisier noir est si transparent que je distingue nettement un soutien-gorge rouge et noir laissant clairement dépasser ses tétons. Elle s’est placée devant le bureau et a écarté largement les pieds. Puis, elle a croisé les mains derrière sa nuque, offrant sa poitrine à Ali. Elle ne bouge pas et attend.
— Alors, Lola, petite salope. Tu t’es préparée comme je l’avais ordonné ?
— Oui, Maître.
— Montre, chienne.
Salope, chienne, il la traite avec infamie, et elle ne bouge pas. Qu’est-il arrivé à ma petite C ? C’est alors que je la vois soulever sa jupe et présenter un slip de dentelle transparente noire. Elle passe les pouces à l’entre-jambes et écarte le tissu. Il est grand ouvert sur son sexe ! Puis elle ouvre son chemisier et montre ses seins, à l’air, avec juste ce tissu rouge et noir qui semble les souligner. Enfin, elle se retourne et je peux voir quelque chose fiché entre ses fesses. Elle le fait sortir de son fondement. C’est un faux sexe en plastique noir, qui me semble énorme, presque de la taille du mien.
— Bravo, Lola. Tu apprends vite. Je me demande ce que dirait ton mari s’il te voyait comme ça. À ton avis ?
C’est odieux. Que peut-elle répondre ?
— Je ne sais pas, Maître.
— Te trouverait-il bandante ? Aurait-il envie de te sauter ?
— Je ne sais pas, mais je fais tout ce que je peux pour vous plaire.
— Pour me plaire ? Ou pour m’obéir, pouffiasse ?
— Pour vous obéir, Maître.
— Bien, et ton mari. Penses-tu qu’il te sauterait ?
— Oui, Maître.
— Pourtant, ce n’est pas pour lui que tu es venue ici, habillée comme une pute.
— Non, Maître.
— Tu savais ce que tu faisais en venant ici, comme ça.
— Oui, Maître.
— Dis-le, salope. Et avec les mots qu’il faut, sinon Marie s’occupera de ton cul.
— Je suis venue faire la pute, Maître. Je suis venue me faire baiser pour de l’argent. Je vais donner ma bouche et ma chatte à des clients inconnus. Je vais essayer d’être bonne, pour vous, Maître.
— Très bien, Lola. Enlève la jupe et le chemisier et monte dans la piaule. Les clients auront payé en bas. Ils ont droit à ta bouche et à ton minou. Sois gentille et efficace. J’oubliais : renfile le plug dans ton cul.
Je vois ma chérie obéir, présenter l’objet sur son anus, appuyer et l’objet s’enfonce dans son derrière. Puis elle quitte la pièce, ses fesses ondulant à cause des talons. Je suis abasourdi, et pourtant, inexplicablement, excité.
Ali me fait signe d’entrer dans la pièce.
— Alors, comment la trouves-tu, ta petite femme ?
— Pourquoi faites-vous cela ?
— Tu n’as pas compris ? Ta femme est rentrée dans mon cheptel. Elle est devenue une pute, pour moi.
— Mais ce n’est pas possible.
— Et si. Et tu vas la voir agir. Marie, emmène-le.
Marie m’a emmené à l’étage. Quatre portes de chambres d’hôtel minables, un tapis élimé, deux lampes nues. Elle ouvre une petite porte que je n’avais pas vue.
— Assieds-toi.
La pièce ne comportait qu’une chaise et une grande vitre donnant sur la chambre voisine. Marie me passe une main sur l’entre-jambes :
— Régale-toi, mon salaud. Mais ne te finis pas, je reviendrai.
Qu’est-ce qu’elle a voulu dire ? Et pourtant, je commence à bander.
Je regarde de l’autre côté du miroir. Ma douce et tendre épouse est assise sur le lit en slip, soutien-gorge, bas noirs et talons. En plus de son harnachement, elle a le collier de chien autour du cou. Elle attend dans cette pièce, archétype des chambres de passe : un grand lit, avec un jeté de lit rouge passé, un lavabo jauni et un bidet. LIRE LA SUITE

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