Sylvaine
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Sylvaine, une femme mince aux cheveux noirs, aux yeux noisette, à la silhouette élancée, était âgée de vingt-six ans. Depuis le mois d’avril, elle donnait cours de langues étrangères à une classe d’une vingtaine de jeunes garçons, auxquels elle était parvenue à imposer le respect. Elle était mariée à un ingénieur commercial et habitait une villa située à quelques kilomètres de la ville où elle enseignait, très isolée et à proximité immédiate de la mer. Elle menait une vie sans histoire, mais se considérait négligée sexuellement par son mari, très peu porté et pas très imaginatif sur la chose. De plus son métier l’obligeait à des voyages parfois très longs, dans toutes les parties du monde. Quelque peu frustrée, elle déplorait cette attitude, et songea plusieurs fois à compenser par n’importe quel moyen ce qu’elle considérait presque comme un abandon. Au fil des mois, elle s’habillait de façon de plus en plus provocante, dans le vain espoir de découvrir une âme sœur. Sans trop s’en rendre compte, elle adopta vis à vis de ses élèves une attitude très sexy. Elle s’intéressait tout particulièrement à Yves, un adolescent de dix-neuf ans, mince, aux cheveux noirs et aux yeux bleus. C’était lui qu’elle faisait régulièrement venir au tableau. Faisant pivoter sa chaise et tournant ainsi le dos à la classe, cachée aux yeux de celle-ci par son bureau, elle s’amusait à l’énerver en remontant face à lui sa jupe qu’elle avait choisie très courte, et en lui laissant voir le slip blanc qu’elle avait l’habitude de porter. Ce jour-là, elle-même excitée par sa propre audace, elle avait mouillé le fond de son slip à travers lequel sa toison noire devenait apparente. Yves, lui, sans même paraître s’émouvoir, profitait du spectacle qu’elle lui offrait. Les vacances de Pâques débutaient la semaine suivante. Le mari de Sylvaine serait à nouveau absent durant deux semaines : il devait se rendre en Afrique du Sud pour assister à une campagne de forages. Sylvaine n’hésita pas A la fin d’un cours, elle dit à Yves de l’attendre Lorsqu’ils furent seuls, elle lui proposa de venir chez elle suivre des cours de rattrapage, prenant prétexte de ses résultats insuffisants. Elle lui fixa rendez-vous le lundi de Pâques, en début d’après-midi, et lui indiqua comment parvenir chez elle.
Quand le jour arriva, elle s’habilla légèrement : jupe, blouse et un simple slip. Elle n’avait établi aucun plan, ne sachant pas comment le garçon réagirait, et laisserait simplement les choses suivre leur cours. Lorsque Yves sonna à la porte, elle alla lui ouvrir et le fit entrer dans son living. Des livres de cours se trouvaient sur la table et elle invita le garçon à venir s’y asseoir. Elle s’installa à côté de lui, en ayant eu soin d’entrouvrir sa blouse. Au début il ne se passa rien. Mais Yves, de plus en plus troublé par le spectacle qui lui était offert, n’hésita pas longtemps. Il posa sa main sur une cuisse de Sylvaine, et immédiatement, la fit se tourner pour lui donner un baiser appuyé. Sylvaine le lui rendit avec fougue, et dit à Yves de venir s’asseoir à côté d’elle sur le grand canapé. Elle croyait pouvoir mener le jeu à sa guise : elle se trompait lourdement. Quand Yves fut installé, il dit à Sylvaine de se lever et brutalement « Maintenant , désape- toi ! Je veux te voir à poil ! » Stupéfaite par la crudité de ces propos, Sylvaine fit mine de refuser. Une claque violente brisa toute velléité de résistance, Yves était bien décidé à mener le jeu. Elle retira sa blouse, sa jupe, puis resta les bras ballants « J’ai dit de tout enlever, je veux voir tes deux trous ! » Excitée de se sentir traitée comme une putain, Sylvaine obéit, et laissa tomber son dernier vêtement. Yves lui ordonna alors d’ouvrir son vagin en écartant ses lèvres, ce qu’elle fit sans protester « Tu ne t’es pas rasée, je préfère cela. Maintenant, tourne-toi et montre- moi ton petit trou ! » Sylvaine, toute excitée, et perdant tout contrôle, se retourna et de ses mains écarta ses deux fesses. Sans hésiter, Yves lui introduisit un doigt dans l’anus « Bien sûr, je m’en doutais. Tu n’as jamais été sodomisée. Je vais te préparer à cela. Mais maintenant, montons dans ta chambre : nous y serons plus à l’aise pour nous amuser » LIRE LA SUITE
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