Piégées -2 et 3
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Que l’ami Minos soit grandement remercié de toutes ses suggestions. Sylvain.{{}}
Home (23h45 environ)
Thomas revient vers le lit, s’empare de la cravache, caresse la croupe offerte, sans un mot, lève le bras…
Carole entend le sifflement ; la languette de cuir tombe sur son globe droit. La brûlure est immédiate et intense.
Nouveau sifflement. La languette atterrit sur le globe gauche.
A la cinquième percussion, Carole serre les dents afin de ne pas régaler son mari par des cris qui le raviraient.
Thomas sourit, frappe quatre fois chaque fesse exactement au même endroit. Un léger cri siffle entre les dents crispées de Carole. Il se penche, caresse la croupe offerte, lève le bras et cette fois l’épaisse languette de cuir claque en plein sur la vulve bien visible entre les cuisses écartées.
Carole ne se retient plus, crie en serrant les cuisses :
— Ouaaaaaaah !... Nooooooon !... Pas lààààààà !...
Thomas, insensible à la demande de son épouse, fait choir quatre nouvelles fois la languette torturante juste à la jonction fesses-cuisses, commande :
— Ecarte tes cuisses !
Carole ne cède pas. Quatre nouvelles smaquées au même endroit lui arrachent :
— Ouiiiiiii !... Ouiiiiiii !... D’accord !
Elle ouvre largement ses cuisses ; cette fois la languette percute son trou du cul peureusement recroquevillé au fond de la vallée qui sépare ses deux globes marqués de rouge.
Sous les violence et douleur du coup, Carole éclate en pleurs, supplie :
— Nooooooon !... Pitiiiiiiié !... Pas lààààààà !...
Thomas approuve :
— Tu as raison, car c’est là que tu vas subir la deuxième partie de ta punition, ma chérie.
Tout à sa taraudante douleur, Carole gémit :
— Quoi ? C’est là que… Que quoi ?
Thomas frappe quatre fois successives chaque fesse, demande, d’un ton narquois :
— Non ? Ne me fais pas croire que tu as oublié les deux punitions encourues si je vous prenais, Jennifer et toi, en train de vous adonner à des jeux lesbiens.
Les paroles de Thomas ravive la mémoire de son épouse.
— Oh non !... Pas ça !... Non !... Non !...
Thomas comprend que sa femme se souvient, lâche la cravache, s’assied au bord du lit.
Carole croit que la correction est finie, va pour se retourner vers lui, mais il l’immobilise à plat ventre de sa main gauche sur ses reins, claque le derrière bien offert.
— Nooooooon !... Pas la fessée !... Chéri !... S’il te plaît !
Thomas précise :
— C’est juste pour te raviver la mémoire, ma chérie.
Après une vingtaine de claques sur chaque globe, il cesse la correction, ramasse la cravache, va la ranger, revient vers le lit :
— Allez, ne cherche pas à gagner du temps, met-toi en position de te faire enculer, croupe bien offerte.
Carole, les larmes aux yeux, supplie son Maître :
— Met un petit peu de gel, je t’en prie.
— Pas question ! C’est une punition, pas un plaisir.
Thomas s’agenouille entre les cuisses ouvertes de son épouse, décide quand même d’accorder un peu de salive au petit trou serré, le lèche à cet effet.
Le lieu est serré bien que Thomas en use, voire en abuse, mais Carole, après chaque saillie, a l’obligation de se mettre de la pommade astringente.
Son homme positionne sa bite bien raide sur l’anneau rectal, maintient les fesses ouvertes de ses deux mains, donne une poussée vers l’avant.
Grâce à la salive dont il a enduit les lieux, le sexe réussit une légère percée. Nouveau coup de ventre vers l’avant. Carole crie, a l’impression que le vit lui arrache la peau :
Nooooooon !... Ça me déchiiiiiiire !... Mouille-le !...
Thomas n’en a cure, continue à percer le fondement. Lui aussi a mal mais tient à punir son épouse.
Carole se cramponne à son oreiller, qu’elle couvre de bave entre ses cris de détresse.
Enfin le ventre se colle aux fesses.
Thomas accorde un court répit à sa femme, avant de débuter un stratégique retrait qui fait hurler et se débattre Carole : elle a l’hideuse et douloureuse impression qu’on lui arrache littéralement ses muqueuses internes :
— Ouaaaaaaah !... Ouillllllle !...
Au même moment, un courant d’air s’engouffre dans les lieux : Jennifer entre dans la chambre, se propulse vers le lit, se jette littéralement sous le corps de Carole, tête sous la croupe, langue tendue vers la bite qui sort lentement et qu’elle lèche avidement.
Thomas sourit, laisse faire.
Alan a fermé la porte de la chambre, s’y est adossé.
Jennifer profite du léger arrêt de la bite pour bien la couvrir de salive.
Thomas s’enfonce à nouveau, mais cette fois d’un seul et imparable coup vu que ça glisse mieux avec l’aide apportée par Jennifer.
Carole geint juste un peu.
Jennifer positionne sa bouche sur le sexe de Carole.
Thomas commence alors à enculer son épouse, mains solidement ancrées aux hanches de Carole, il opère lentement, sans à coup.
Jennifer mordille le clitoris qu’elle a fait sortir de sa prison de chair.
Quand son clitoris est plus fortement mordu, par réflexe, Carole serre son conduit où navigue son mari.
Du coup, bien enserré de toutes parts dans le conduit anal de sa femme, Thomas n’y tient plus. Sur un enfoncement massif et complet, il éjacule.
Carole jouit dans la bouche de Jennifer.
Les trois corps s’écroulent sur le lit.
Alan les regarde un instant.
Bien qu’il ne porte qu’un slip de cuir noir moulant, il détonne en se rapprochant du grand lit matrimonial.
Il se penche vers Thomas, pose sa main sur son cou :
Ne t’endors pas, nous avons à parler.
Les yeux encore vitreux après sa jouissance, l’interpellé répond :
— Laisse-moi quatre, cinq minutes.
Mais Alan ne l’entend pas de cette oreille, claque par deux fois les fesses de son patron, insiste :
— Viens ! Laisse-les !
Thomas extrait sa bite ramollie des fesses de Carole, attrape une serviette, suit son chauffeur.
Cet abandon semble réveiller les deux femmes : Carole change de position, approche son visage de celui de Jennifer, colle sa bouche sur la sienne, glisse sa langue active entre ses lèvres entrouvertes.
Un baiser aussi ardent que passionné unit les deux femelles.
Les mains ne restent pas inactives.
Celles de Carole se positionnent sur le sexe de Jennifer, laquelle a ses mains sur
Les mamelons saillant de sa compagne.
Peu après, les deux bacchantes adoptent la position 69, bouches rivées aux sexes. Les langues s’activent avec ardeur. LIRE LA SUITE
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