Une si jolie petite salope
par
popularité : 1%

La voilà installée. Nue, jambes écartées, torse incliné et mains posées à plat sur une des vitrines basses de mon magasin. Dans le reflet de la vitre, je vois ses seins aux tétons percés d’anneaux se soulever au rythme de sa respiration. Je me positionne derrière elle. Son corps frémit légèrement et sa peau semble traversée de petites vagues ondoyantes. Ses fesses se crispent spasmodiquement. Ses doigts agrippent le bois de le vitrine. Je ressens soudain une crainte diffuse. De la décevoir. De ne pas être à la hauteur de son attente. D’être trop dure ou, au contraire trop clémente envers elle. De ne pas savoir la satisfaire. Et la perdre avant même de l’avoir conquise. Qu’attend-elle de moi elle qui, jusqu’à aujourd’hui n’a connu que des hommes pour combler ses désirs charnels ?
Je la sens tendue et offerte tout à la fois. Je ressens aussi l’impatience de son corps. Son appréhension aussi. Je la contemple en silence. Elle est enfin là, à ma disposition. Elle, que je convoite depuis si longtemps.
Quand elle est arrivée, comme à son habitude juste avant la fermeture de la boutique, je l’ai regardée aller d’une vitrine à l’autre pour contempler les bijoux exposés. Sa robe courte virevoltait légère autour de ses jambes bronzée. L’échancrure du corsage largement décolleté laissait apparaître le doux sillon entre ses seins. Un moment j’ai eu l’envie irrésistible d’aller y enfouir mon visage. Du coin de l’œil je la voyais qui m’observait d’un regard mutin, sûre de son charme et de l’impact qu’il avait sur moi.
Combien de temps, jour après jour, l’ai-je vu ainsi aller venir, devant mes yeux avides de sa chair, dans ses robes courtes. Petite jeune femme d’à peine 1m60 au corps fin et gracile. Insouciante de mon désir chaque jour plus grand qui mettait mes nerfs à vif. Elle passait devant moi, à portée de mes mains, et son parfum chatouillait mes narines et m’enivrait alors qu’à dessein, j’en suis sûre, elle offrait à mon regard une vue plongeante sur son décolleté qui ne cachait pas grand-chose de ses petits seins hauts plantés. Si belle dans son innocence. Si tentante. Comme un fruit bien mûr dans lequel on a envie de croquer à pleine dent.
Avait-elle conscience de l’émoi que sa seule présence faisait naître en moi ? Sans aucun doute et elle en jouait. Cruelle. Aguicheuse et distante à la fois. Elle me frôlait comme par inadvertance et puis s’éloignait avant de disparaître. Oui, bien sûr qu’elle le savait… Mais ce qu’elle ne savait pas c’est qu’elle serait là maintenant à ma disposition et que j’allais jouer avec son corps de salope que je chérissais déjà. Moi, ce que je ne savais pas et qui me plonge dans la plus grande confusion, c’est cette timidité qui soudain m’envahit face à son corps offert.
Je la revois entrant tout à l’heure toute guillerette dans mon magasin en cette fin d’après-midi. Elle est arrivée juste avant la fermeture. Comme à l’accoutumée elle a entrepris cette savante parade du désir dont elle a le secret. « Trois petits tours et puis s’en va » pensait-elle. Moi j’ai su que cette fois-ci j’irai, enfin, au bout du désir que j’avais d’elle depuis si longtemps. Que le moment était venu pour elle de payer les tourments qu’elle m’avait fait subir durant ces longues heures d’attente.
Un long moment, ce soir-là je l’ai observée. Sans un mot je me suis alors levée et suis allée donner un tour de clef à la porte de la boutique et j’ai descendu le rideau occultant. Elle m’a regardée faire surprise. Dans son regard j’ai lu une crainte diffuse. D’un ton sec je lui ai alors ordonné de se déshabiller. Interdite elle a eu un mouvement de recul. Ses yeux ont papillonné vers la porte maintenant close qui ne lui laissait nulle possibilité de s’échapper. De nouveau je lui ai ordonné d’un ton sans réplique de se mettre nue. Tremblante, elle s’est exécutée. Sa robe a glissé autour de ses pieds découvrant ses seins menus. Puis sa culotte a pris le même chemin.
Maintenant, j’admire en silence son corps aux formes parfaites intégralement doré par le soleil. Je savoure ces dernières minutes de répit que je lui octroie... et qui, je le sais, la mette, autant que moi, au supplice. Puis je lui ordonne d’aller s’accouder contre une des vitrines dont, il y a quelques minutes, elle admirait le contenu. Tremblante elle s’exécute. D’une main ferme j’appuie sur son dos et la fait se courber contre le verre froid avant de me reculer. Elle est si belle ainsi offerte. Elle ne bouge pas. Elle attend patiemment que je me décide enfin. Le souffle court. Frémissante. Courbée sur cette vitrine, fesses exposées. Elle semble si fragile, si vulnérable. Enfin à ma merci. Et je vais pouvoir après ces longs jours d’attente en user à ma guise. Lui faire regretter ce désir dont elle a su si savamment orchestrer la montée sans jamais le satisfaire. LIRE LA SUITE
ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)
OFFRE DECOUVERTE (1 jour) | ABONNEMENT 7 JOURS | ABONNEMENT 15 JOURS | ||
---|---|---|---|---|
ABONNEMENT 1 MOIS |
ABONNEMENT 3 MOIS |
ABONNEMENT 6 MOIS |
SE DESABONNER![]() |
OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jour seulement)
Commentaires