1 - Une vie d’armée
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Lorsque Julie s’engagea dans l’armée, elle n’avait pas idée des choses qu’elle endurerait. Certaines allaient être bonnes, d’autres moins.
Elle était la seule femme dans tout son régiment. Elle se faisait tabasser par les hommes mais résistait toujours. Ils la lorgnaient, l’insultaient même parfois. Toujours, Julie ne bronchait pas, elle encaissait. Elle arrivait à faire presque tout ce que les hommes devaient faire. Pour les parcours dans les courses, elle y arrivait même plus vite que certains d’entre eux.
Après six mois dans l’armée, elle avait presque réussi à oublier les mâles et les différences qui l’entouraient jusqu’au jour où le lieutenant la convoqua personnellement dans son bureau pour l’après-midi même.
Julie s’y rendit, avec moins d’assurance qu’en temps normal. Une fois entrée, elle fit son salut habituel.
— Repos soldat !
Julie obéit comme à chaque fois, rien de bien particulier.
— Je vous ai fait venir ici aujourd’hui pour vous faire part de certains problèmes dans le régiment. Vous devez certainement vous demander pourquoi je vous en parle à vous.
— …
— La raison est simple ; vous êtes la principale cause de tous ces problèmes.
Julie n’en crut pas ses oreilles. Après tout ce temps, elle n’avait pas remarqué de problème quelconque.
— Le fait est que les soldats sont perturbés par la présence d’une femme. Je ne veux pas perdre leur attention. Ils sont moins concentrés et ne pensent plus aux ordres ou aux buts de l’armée.
— Mais mon Lieutenant, j’adore l’armée et je fais bien mon boulot ici. J’obéis aux ordres et performe mieux qu’une bonne partie de ces hommes.
— Justement, ça affecte leur estime personnelle.
Julie était consternée, elle adorait l’armée. Elle aimait les efforts physiques que ça requérait. Elle sentait que c’était perdu d’avance mais tenta tout de même une dernière tactique :
— Dites-moi ce que je dois faire, je suis prête à tout.
— Prête à tout ? Vous en êtes bien sûre ?
— Oui mon lieutenant !
— Alors nous verrons ça. Pour l’instant retournez dans les rangs soldats. Je veux vous voir ici même à 18h00 tapant.
Sur ces mots, Julie sortit. Elle était un peu angoissée mais savait qu’elle avait au moins peut-être réussi à le convaincre de la garder dans l’armée. Le moment venu, elle frappa à la porte et entra au moment où elle entendit le lieutenant le lui demander.
— Je suis content que vous soyez venue soldat.
— …
— Je vais être bref et je ferai en sorte que tu me comprennes bien.
Julie remarqua immédiatement ce passage inhabituel du vouvoiement au tutoiement.
— Tu déranges les soldats. Je ne peux sans raison valable garder une femme au risque de perdre plusieurs hommes.
— Mais mon lieutenant, je…
— Silence ! Laisse-moi terminer. J’ai dit qu’il me faudrait une raison valable. Il est évident que j’en ai une, mais seras-tu prête à y subvenir ?
— …
— Je vois que tu ne sembles pas t’obstiner vraiment. Voyons voir si tu en vaux vraiment la peine après tout. Déshabille-toi !
— Quoi ? Mais c’est inadmissible.
— Alors, tu peux partir. Je te laisserai une autre nuit dans ton camp et demain tu regagnes la ville et la vie ordinaire. Sors maintenant !
— Non, mon lieutenant, je le ferai si c’est ce que je dois faire.
— Alors exécute-toi, ne me fais pas perdre mon temps.
Julie se déshabilla, rouge de honte. Elle n’avait pas honte de son corps, mais de la situation. Lorsqu’elle fut complètement nue, le lieutenant fit le tour d’elle à quelques reprises ce qui augmenta son malaise.
— Tu es très bien foutue. Je vais me régaler. Accote tes mains sur le bureau et cambre-toi bien
Julie s’exécuta sans un mot.
— Les règles sont simples. Tu obéis comme on te l’a montré. Tu ne rechignes pas et tu encaisses.
Sur ces mots, il tata les fesses galbées de Julie. Il les caressa, les massa. Julie en éprouva un certain plaisir. Elle n’avait pas eu de contact sexuel depuis son entrée dans l’armée. C’est alors qu’elle sentie la claque la transcender. Elle ressentit la chaleur irradier dans tout son corps.
— Hum, tu es très ferme et tu retiens bien tes gémissements. Je vais grandement m’amuser avec toi. Agenouille-toi devant moi.
Sur ces mots, il prit des pinces pour retenir le papier et en accrocha une sur chacune de ses seins. Julie se mordit la lèvre pour ne pas crier. Cependant, elle découvrit une sensation de pression qui la tourmentait tout en lui procurant un certain plaisir. Le lieutenant tira sur les deux pinces simultanément. Julie laissa échapper un léger cri qui lui valu une gifle sur chaque joue.
— Je t’ai dit que tu devais encaisser sans un mot.
— Mais mon lieutenant, ça me fait mal.
— Tu veux rester dans l’armée ou non ?
— Oui mon lieutenant !
— Bien, alors fermes-là. Et, quand tu t’adresses à moi désormais, tu m’appelleras « Maître ». Je suis beaucoup plus qu’un lieutenant pour toi.
— …
— C’est compris ?
— Oui Maître.
— Alors, voilà une bonne chose de réglée. Maintenant, relève-toi ; je veux voir si ton intérieur est accueillant.
Le lieutenant attendit que Julie se relève pour la plaquer sur le bureau. La souffrance de ses seins s’amplifia d’un cran. Les larmes lui montèrent aux yeux. Il la pénétra sans plus de formalités.
— Ho, mais tu es chaude et bien lubrifiée ! Je constate que tu aimes bien te faire traiter ainsi. Nous aurons d’autant plus de plaisir alors.
Julie se sentit encore plus honteuse mais devait bien l’admettre, elle en retirait un immense plaisir.
— Maintenant que je sais que ton vagin m’est plus qu’accueillant, on va voir si ta bouche peut servir. À genoux !
Elle n’eut pas besoin de se le faire redire et comprit très bien ce qu’il attendait d’elle. La fellation qu’elle lui procura fût toute à son honneur. Il semblait apprécier énormément.
— Assez ! Relève-toi et retourne dans les rangs. Je te ferai signer un contrat demain à 9h00 pile dans lequel tu accepteras tes nouvelles conditions pour demeurer dans l’armée.
Sur ces paroles il entreprit de lui ôter les pinces. Julie le voyant approcher eut un sentiment de soulagement même si la douleur s’était apaisée. Lorsque finalement il les lui ôta, elle hurla littéralement. La douleur du sang retrouvant doucement le cours de sa circulation lui donna l’impression du déchirement au-dedans d’elle.
Elle se rhabilla en vitesse et regagna le reste des soldats priant pour que personne ne se doute de rien.
Au soir, Julie s’est endormie en faisant de beaux rêves érotiques. À son réveil, une force beaucoup plus animale qu’humaine la poussait à vouloir aller voir le lieutenant et accepter. Bien que sa tête lui dise de refuser, son corps la motivait à vivre l’expérience.
Lorsque Julie se présenta au bureau du lieutenant, son Maître, elle était angoissée. Il lui intima l’ordre d’entrer à peine avait-elle cogné à la porte.
— Bonjour Julie, j’espère que tu as bien dormi et bien réfléchi.
— Oui mon lieu… Maître.
— Bien, alors je crois que ta réponse signifie que tu es à tout le moins ouverte à lire le contrat que je t’ai préparé.
— Je le suis Maître.
— Bien, alors prends le temps qu’il te faut. Tu es exemptée pour la journée. Je veux que tu sois bien sûre de toi. Si tu te désistes par la suite, tu quittes l’armée sans autre choix ou conséquences.
Julie tressaillit faiblement et le petit sourire qu’affichait le lieutenant lui démontra que ça ne lui avait pas échappé. Elle prit la feuille de papier qu’il lui tendait. Elle prit de longues minutes à tout lire et à bien assimiler. Bien qu’elle ne veuille pas l’admettre ou l’exposer, elle était déjà excitée par ce qu’elle lisait.
« Par la présente, je m’engage à obéir à mon nouveau Maître en tout temps. Il aura la pleine jouissance de mon corps et pourra l’utiliser comme bon lui semble. Ceci me permettra de rester dans l’armée et de continuer à servir ma patrie. »
« En aucun cas des cicatrices volontaires et permanentes ne devront être faites sur mon corps. Cependant, je m’engage à porter fièrement un signe distinctif qui permettra l’identification de mon appartenance. Ce signe sera déterminé par mon Maître. »
Il y avait deux lignes en bas, une qui était déjà signée par celui qui allait devenir son Maître officiel et l’autre laissée libre pour qu’elle signe son accord et consentement.
Sur le bureau se trouvait un crayon, celui qui allait changer le cours de son existence à jamais et qui allait lui faire découvrir une nouvelle nature.
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