L’éducation de Kate
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À midi pile, Thomas vient me réveiller doucement. Je me sens en forme, ces deux heures et demie de sommeil m’ont bien requinquée.
Je me lève très vite et me mets en position d’attente.
Thomas sourit, appréciant ma réaction.
« Inspection, Kate. »
Une fois en position, Thomas examine soigneusement les marques sur ma poitrine et mes fesses.
« Tu es encore toute marquée. Comment les atténuer pour te rendre plus présentable. As-tu une astuce ? »
– Oui, Maître. Cela dépend de la profondeur des marques. Il faut que je me renseigne. Puis-je téléphoner ? »
Il acquiesce de la tête et me tend mon téléphone.
« Mets le haut–parleur, Kate. »
Toujours les jambes écartées, j’appelle Audrey pour lui demander le nom de sa crème miraculeuse. Thomas en profite pour me caresser le clitoris doucement, me mettre deux doigts dans la chatte et les faire aller et venir pendant mon appel. Durant la conversation, je laisse échapper un ou deux gémissements ce qui fait rire Audrey qui me dit : « J’entends que ton maître s’occupe de toi, petite pute. Décidément, vivement que je puisse à nouveau m’occuper de tout petit cul. »
Je raccroche après l’avoir remerciée.
« Maître, j’ai le nom. Si vous le permettez, je peux aller l’acheter en pharmacie. »
– Non, Kate, nous irons ensemble cet après-midi. »
Il semble aux anges. Avoir entendu Audrey m’insulter le comble d’aise.
« Tu vas à la douche et tu rends ton minou le plus lisse possible. Je sens des poils. Tu te négliges, Kate. Ce n’est pas bien du tout. Si cela se reproduit, tu seras punie. Quand tu as fini, je t’attends à la cuisine pour le repas de midi. »
La douche, chaude bien sûr, me détend et malgré mes anciennes habitudes, je ne traîne pas.
Mon minou n’a pas besoin de soin, le rasage de Maud a été parfait avant-hier, mais puisque Thomas l’a exigé, je me rase soigneusement.
Je descends de l’étage pour rejoindre Thomas dans la cuisine. Il est attablé en face de la porte de communication. Dès mon entrée, je prends la position d’inspection juste à côté de lui. Il tâte mon minou pour vérifier qu’il est lisse. Pour marquer sa satisfaction, il me flatte la croupe de sa main.
« Tu vas préparer notre repas. J’ai envie d’une pizza. Ça va être simple à cuisiner, tu vas y arriver, non ? Pour t’aider dans cette tâche ménagère, tu porteras ça. Il pose sur la table des pinces et des poids. Approche et présente tes seins. »
Il roule mes tétons entre ses doigts pour les faire durcir et il accroche une pince sur chaque mamelon en faisant en sorte de ne prendre que le bout du téton. Ce qui fait le plus mal en fait. Il règle la pince en augmentant le serrage jusqu’à ce que je grimace et là, il desserre d’un poil la pression.
« Redresse-toi et reprends ta position. »
Il prend un poids et l’accroche à la chaîne qui relie les deux pinces, puis en accroche un autre de la même manière.
Mes seins sont tirés vers le bas. C’est douloureux, mais supportable pour l’instant, je sais que la douleur va devenir lancinante dans la durée.
Il prend deux autres pinces et les fixe aux grandes lèvres de ma chatte. Là aussi, il ajoute deux poids à la chaîne de liaison. J’ai mal, très mal, et je serre les dents pour ne pas lui faire le plaisir de gémir de souffrance.
« Maintenant, tu peux préparer le repas. Ces pinces vont te rappeler de ne pas perdre de temps, car tu vas les porter jusqu’à ce que tu m’aies servi. C’est parti… » LIRE LA SUITE
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