LES HUMILIATIONS D’ALEXIA....

vendredi 13 juillet 2018
par  Arnoux
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CHAPITRE 1 : Le début du weekend.

Je suis soumise Alexia. J’appartiens à Maître Stéphane depuis 15 ans. Il est grand, costaud. Il est très intimidant. Il peut être très gentil comme très sévère. Il est marié, sans enfant. Il travaille en tant que journaliste.
Moi, j’ai 34 ans, je suis brune, cheveux longs. Je mesure 1m75. Je suis athlétique. Je travaille en tant de secrétaire de direction, dans une grande entreprise. Je suis mariée. J’ai un enfant.
Nous nous sommes rencontrés lors d’un mariage d’un ami en commun. Nous avons fait connaissance. Il était déjà autoritaire envers moi. Il m’avait donné son numéro de téléphone, je lui ai donné le mien, aussi. Nous nous sommes revus quelques jours plus tard. Notre relation bdsm a commencé ce jour.

Ce soir, à 22heures, je suis devant mon ordinateur, en attendant le mail de mon Maître. Je le reçois me demandant si j’ai des choses à faire ce weekend.
Je lui réponds :
— Je serai libre car mon mari part avec notre fille chez sa sœur. Ils doivent rentrer dimanche soir.
— Alors, je veux qu’à partir de demain matin, tu ne mettras pas de culotte. Prépare-toi un petit sac. Tu prends le strict minimum. Je passerai te prendre vers 19 heures, à ton travail.

Le lendemain, je suis toute émoustillée en pensant à mon Maître, je l’aurai pour tout un weekend. Mon travail s’en ressent. Je regarde sans cesse ma montre, mais les heures passent trop lentement. Je suis trop impatiente.
Vers 19 heures, je suis prête, je l’attends en bas des marches de l’entreprise, avec un petit sac. J’entends l’arrivée d’une voiture, c’est lui. Il m’ouvre la portière. Je m’assoie sur le siège. Il m’embrasse sur la bouche tendrement. Il me dit qu’il a loué une maison isolée à une heure d’ici. Il me demande de lui donner mon téléphone portable, il me le rendra à la fin de weekend. Il démarre, après quelques minutes de route, il m’ordonne de déboutonner mon chemisier et de lever ma jupe. Mes fesses se retrouvent en contact avec le cuir. C’est froid, ça me donne des frissons.
—  Alors ma pute, j’espère qu’elle va bien, car nous allons passer quelques jours ensemble ?
—  Oui Maître, tout va bien.
—  Je t’ai préparé des surprises. Ouvre la boite à gants, prends ton collier et mets- le, ainsi que ta laisse.
Nous roulons depuis plus de trente minutes, quand il arrête la voiture à l’orée de la forêt. Il descend et prends dans la poche de sa veste une paire de menotte. Il s’approche de ma portière, il ouvre et me tire par la laisse pour descendre du véhicule. Il me fait mettre à genoux, me passe les menottes derrière le dos. Il descend sa fermeture éclair de son pantalon, tout en étant tenu en laisse. J’ai compris que je vais devoir le sucer. Son sexe commence à grossir, je l’ai en pleine bouche. Il me fait des gorges profondes. Ma respiration commence à s’accélérer. Soudain, il s’arrête.
—  Alors ma putain, tu aimes ça ?
—  Oui Maître.
—  Tu en veux encore ?
—  Oui Maître.
—  Ça sera pour plus tard.
Il remonte son pantalon tant dis que je reste à genoux. Il sort de la poche un bâillon boule. Il me le met dans ma bouche. Il m’ordonne de me lever et de lui montrer mes fesses. Il soulève ma jupe. Je ressens un objet en métal à l’entrée de mon cul. Il le fait rentrer brutalement, ça me déchire une douleur, je commence à pleurer. Il s’en aperçoit, alors je reçois une bonne fessée. Mon postérieure commençait à chauffer. Nous remontons dans sa voiture, il me remet la ceinture de sécurité, nous repartons. J’ai honte car je l’ai offensé. Il n’aime pas que sa soumise pleure ou désobéi à ses ordres. Je sais très bien que je méritais cette punition.
Nous arrivons après quelques kilomètres de route sinueuse. Il me traine par la laisse jusqu’à la porte de la maison. Il l’attache aux barreaux de la fenêtre pendant qu’il va chercher les sacs dans son coffre.
Il ouvre la porte et me fait rentrer.
—  Maintenant, tu es à moi pendant tout le weekend. Je fais de toi, ce que je veux. Si tu ne fais pas les choses comme je veux, tu seras sévèrement punie. Tu n’as plus le droit de parler sans ma permission.
En me disant cela, il m’enlève les menottes et le bâillon. Le rosebud commence à me gêner. Je ne dis rien.
—  Oui Maître.
—  Déshabille-toi, tu resteras à poil pour le weekend.
—  Oui Maître
—  Fais-moi, à manger, me dit-il sur un ton autoritaire.

Je prépare le repas, je sens mon Maître derrière moi, il me pince les tétons, il me claque les fesses. Je commence à mettre les couverts sur la table.
—  Non, tu mangeras par terre comme une chienne, à mes pieds.
—  Oui Maître.
—  Je t’ai emmené une gamelle, va la chercher dans mon sac, mais ne fouilles pas, je te regarde.
Je reviens dans la cuisine. Je sers l’assiette de mon Maître, et les restes, je les mets dans ma gamelle. Mon Maître se met à table et moi, je suis à quatre pattes aux pieds de mon Maître. Il me tient en laisse pour manger.
—  Humm…, c’est bon. Ma soumise fait bien à manger.
—  Merci Maître.
Après avoir fini de manger, j’attends l’ordre de mon Maître pour me lever. Les genoux commencent à me faire mal. Il voit que je grimace. Il m’ordonne de me lever et de faire la vaisselle.
Il va s’affaler dans le canapé, il s’assoupi quelques minutes.
Après avoir fait la vaisselle, je me mets à ses pieds comme une bonne soumise. Il m’entend, ça le réveille.
—  Tu es une bonne chienne. Tournes-toi, je vais t’enlever ton rosebud. Tu as le cul bien ouvert, J’aime bien quand il est bien dilaté.
Il se lève pour aller chercher son sac. Il le pose sur la table et en ressort des pinces. Il se met derrière moi, les bras sont joints dans le dos. Je sens qu’il me met des bracelets en cuir, aux poignets et chevilles et les pinces sur les tétons. Je ressens une forte douleur. Il serre de plus en plus. Je pousse un cri dans mon bâillon. Mais rien y fait.
Il m’attache à une grande table en bois avec des cordes. Il prend la cravache, il me donne des coups sur le sexe et les seins. La douleur est très intense, je me mets à gigoter dans tous les sens. Les coups sont de plus en plus rudes. J’essaye de lui dire d’arrêter, mais je ne peux pas parler à cause du bâillon. Après quelques coups, il s’arrête. Il enlève son pantalon et il m’enfonce sa bite dans ma chatte. Il va tout doucement au début mais il me dit qu’il m’est interdit de jouir. Je me retiens jusqu’au moment j’en peux plus, je jouie. Il s’arrête et se retire de ma chatte. Il me détache. Je le vois qu’il est en colère. Il m’attrape par les cheveux. Il m’emmène dehors. Je n’avais pas vu en rentrant, il y a une cage à côté de la maison.
—  Comme, tu as joui, tu es punie. Tu vas rester, toute la nuit, dans la cage.
Avant de rentrer dans la cage, il m’attache les mains derrière le dos et les chevilles entre elles. Je rentre dans la cage, je m’aperçois que mes mouvements sont très limités. Elle est étroite et petite. Je dois rester à quatre pattes. Il referme la porte de la cage avec un cadenas. Il me remet le rosebud et me place dans mon vagin, un œuf vibrant. Avant de partir, il retire les pinces et mets en marche l’œuf.
—  Bonne nuit ma chienne. J’espère que tu vas bien dormir car demain, je te réserve de sacrées surprises. Je viendrais te délivrer quand j’en aurai envie. LIRE LA SUITE




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Commentaires

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samedi 7 octobre 2023 à 22h56 - par  Henic

Cinq ans après, je propose une version « relue ». La version originale comporte tous les éléments d’un grand plaisir de lecture, mais également quelques fautes de syntaxe que j’ai tenté de corriger.

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vendredi 13 juillet 2018 à 21h43 - par  Henic

Un nouvel auteur mérite d’être dignement accueilli car il est une source potentielle de renouvellement. Cependant, cette qualité ne suffit pas à être d’emblée exempt de critiques.
N’ayant pas pu lire la suite de ce que propose directement le site (pas d’auteur « Arnoux » dans la liste de la zone abonnés, donc pas de lien vers la suite du texte), il ne m’est pas possible d’avoir une vue globale du récit. J’ai néanmoins deux commentaires. Sur la forme : il y a vraiment de nombreuses fautes de langue (orthographe et grammaire) et c’est dommage car cela diminue la qualité d’un texte, quel qu’il soit (c’est un dada, je l’assume, et je propose une relecture avant publication à tout auteur qui le souhaiterait). Et sur le fond (mais peut-être est-ce voulu ?) : Alexia avoue 34 ans et être sous la domination de son Maître depuis 15 ans, soit depuis qu’elle a 19 ans. Si elle n’était alors pas mariée, il y a potentiellement une grave tromperie ; et s’il n’y en a pas (accord du mari à cette relation D/s sans lui), pourquoi attendre qu’il s’absente s’il est d’accord ? Il y a là une bizarrerie qui, à mon avis, rend l’histoire un peu bancale. A moins que de futurs développements explicitent tout cela, bien sûr.

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