Charlotte et sa chienne

4- Conditionnement
samedi 13 janvier 2024
par  Jean Polux
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Ainsi allait la vie.
Maîtresse prenait chaque jour un peu plus de place et de pouvoir. Les ordres se faisaient plus précis, et je me sentais glisser tout doucement vers une emprise totale. Mais au contraire de m’effrayer, cela me réconfortait. Même si je n’avais pas encore connu la punition, elle exigeait le meilleur et sa méthode de dressage ne laissait rien au hasard. Il n’y avait pas de violence, pas de coup de fouet, pas de mot plus haut que l’autre. Elle développait mon envie de lui appartenir complètement. Elle ne voulait rien que je ne fasse par contrainte, mais seulement par plaisir de lui obéir, par désir de lui appartenir. Et elle y arrivait vraiment bien. Je me sentais de plus en plus attirer par ce nouveau rôle, par cette nouvelle vie, même si je devais la passer à ses pieds. J’avais hâte d’être sa table, sa boniche, sa chienne, et aussi comme elle le prévoyait, sa pute.
Mais visiblement, ce n’était pas tout de suite que j’allais devenir une bonne lopette, comme elle disait. « Rien ne presse, je veux que tu le désires vraiment. Il ne faut pas rater ta première fois, il faut que quand tu seras rempli, tu vives cela comme une évidence, une révélation… Je veux que tu sois une pute gourmande, une femelle présentable, bien heureuse de recevoir le plaisir de mes amis. Compris ? »
Je n’avais rien à objecter. Comme réponse, j’embrassais amoureusement le cuir de ses bottes.
J’avais maintenant des devoirs à la maison. Elle avait les clés de mon appartement, et je devais respecter un planning précis. À 18 h, je devais être sur le palier, à quatre pattes, servant de guéridon à la coupe fleurie. À 20 h, je rentrais chez moi, laissant la porte ouverte, puis je commençais à me branler, et ce jusqu’à 20 h 30. Une demi-heure de branlette non-stop. J’avais comme consigne de me doigter l’anus en même temps, l’idéal selon elle, au même rythme que ma main astiquait ma queue. Puis, je devais remplir le verre.
Vers 20 h 20 en général, elle venait, se servait un café dans ma cuisine, puis m’observait. Bien sûr, elle me corrigeait sans cesse. Elle me demandait d’accélérer, de freiner, d’être plus langoureux, de temps à autre de me claquer la fesse, me lécher les lèvres. « Pense à l’homme qui te regarde, il doit avoir envie de sauter dessus ».
Ce qu’il y a de vraiment fou avec le conditionnement, c’est que je prenais de plus en plus de plaisir, mais aussi que mon cerveau créait des envies que je n’aurais jamais imaginées. À croire que mon esprit allait au-devant des désirs inavoués, mais attendus. Ma langue claquait le palais qui semblait s’assécher. Je me léchais les lèvres, et soudain je ressentais l’envie d’avoir un gland sur ma langue, une queue qui s’enfoncerait lentement, prenant sa place au chaud, dans son écrin. J’avais envie de sucer ! LIRE LA SUITE



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