Bourgeoise disponible

Chapitre 5 à 8
mardi 10 août 2021
par  DDD
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Chapitre 5 Marie-Claude

Les vacances terminées, Estelle repartit rejoindre son mari et Xavier comme d’habitude échoua à ses examens. Sandra partit en stage dans un hôpital voisin, elle ne rentrait que le week-end, fatiguée. Encore une fois j’étais seule à la maison. Non pas seule car ma nouvelle amie Marie-Claude n’oubliait jamais de me rendre visite, généralement à l’heure de l’apéritif. Parfois en tendres complices assises face à face nous échangions nos culottes mouillées et nous nous masturbions chacune pour soit. Il arrivait que Marie-Claude décide de passer la nuit chez moi, nous couchions ensemble. Nos corps apprenaient à se connaître.
Un vendredi de juin Jean rentra et trouva Marie-Claude en visite, il nous proposa un petit restau pour le soir comme nous rentrions assez tard il proposa à Marie-Claude de rester coucher à la maison. Le samedi, tous les trois nous allâmes faire des courses à la ville voisine, encore un petit restau le soir et Marie-Claude resta dormir chez nous.
Ce dimanche matin là, alors que Jean me prenait gentiment, Marie-Claude rentra discrètement dans notre chambre, elle s’appuya contre la porte et le plus naturellement du monde elle se branla en regardant nos ébats. Lorsque Jean se retourna, la queue flasque il fut surpris, tétanisé par cette femme impudique qui se pistonnait heureuse.
Je vis sa bitte reprendre vigueur, je me levais, pris chastement Marie-Claude dans mes bras, elle souriait consentante, je la présentai tendrement à Jean. Contemplant cette scène de mon mari baisant ma copine en levrette, je me glissai sous eux et j’embrassai alternativement les couilles pendantes de mon mari et le cul de ma maîtresse. Aux anges Marie-Claude me léchait la vulve, me reniflait le sexe, me branlait. Ce ne fut que douceur et émerveillement.
Le soir Jean repartit, ne s’étonnant même pas que Marie-Claude restât couchée à la maison.
Le lendemain après une nuit d’amours saphiques, Marie-Claude descendit dîner revêtue de sa fine lingerie rouge, elle était vraiment magnifique. À la fin du repas, elle dit durement :
– La baise du dimanche, c’est bon, mais c’est gratuit. N’oublie pas que tu es une putain, une grosse salope.
Et elle m’administra une gifle.
Surprise, je ne savais que répondre. Elle continua :
– Comment crois-tu que je gagne ma vie ? Ce n’est pas avec ma pension de veuve, mais avec mon cul. Et toi ma fille tu as de solides dispositions, tu travailleras pour moi
– Jamais ! répondis-je et je pris une nouvelle gifle. Me tordant de douleur, craignant une nouvelle baffe, je vis Marie-Claude s’approcher de moi la main levée le regard froid.
– Ose dire que tu n’es pas une pute, vas-y dis-le ?
Terrifiée, je balbutiai.
– Oui Marie-Claude je suis une pute
– Tu seras ma pute
– Non Marie-Claude je ne serais pas ta pute.
Je pris une troisième baffe.
Marie-Claude me prit par les cheveux, arracha mes vêtements, me conduisit devant ma glace et plein de dédain
– Ma pauvre fille tu t’aimes trop, pour ne pas tenter l’expérience. Tu vois, tu mouilles déjà, dit-elle en introduisant son majeur dans mon sexe. Allez branle-toi devant la glace, pine-toi, offre-toi, je te regarde.
Je pris mes seins, les larmes coulaient sur mon visage, je commençai à me branler, pleine d’amour pour cette femme humiliée qui s’agitait devant cette glace.
L’orgasme éblouissant arriva rapidement. Marie-Claude haussa les épaules.
– Recommence ! Mais cette fois pense à moi, à ma bouche pleine d’épices, à ma langue sur tes seins, à mon gode dans ton cul.
Je me déchaînai m’empalant sur mes doigts, vaincue, anéantie. Lorsque j’eus bien joui, Marie-Claude me prit dans ses bras et me dit en me tendant ses lèvres.
– Tu vois ce n’est pas si difficile.
La soirée et la nuit ne furent que caresses tendres.
Marie-Claude procédait de la manière suivante : Abonnée à un site Internet, elle passait des annonces, lorsqu’un contact l’intéressait elle prenait rendez-vous, toujours à l’extérieur du département et souvent au domicile de la personne sélectionnée. Règle d’or, jamais à l’hôtel, jamais dans un lieu public, la province est si petite.
En trois ans, elle s’était constitué un carnet d’adresses de tous les excités bon chic bon genre de la région, rien que du beau linge. Ces clients la contactaient sur son portable, elle veillait à garder son adresse et son nom inconnus. Elle n’avait pas à proprement parler de spécialités ; hommes, femmes, couples, lui étaient indifférents, elle refusait la vulgarité, la crasse, le sado-masochisme. Pute oui, mais Pute chic !
Son fonds de commerce prospérant gentiment, elle envisageait, un développement ; un recrutement devenait nécessaire, elle avait jeté son dévolu sur moi.
Très vite elle avait compris l’avantage financier qu’elle pouvait tirer d’une bonne branleuse, un peu naïve.
La semaine qui suivit les baffes, Marie-Claude entre deux caresses m’informa qu’elle m’avait trouvé mon premier rendez-vous. Un couple de ses clients, plutôt classique, pas très dégrossi, qui habitaient un village situé à une cinquantaine de kilomètres. Je devais me présenter le lendemain à 20 h précises. LIRE LA SUITE



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