J’obéis à mon mari
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J’avais démontré à mon mari que je lui obéissais en tout. Cela m’avait transformée et je me suis aperçue que faire l’amour avec plein d’hommes ou de femmes ne me faisait rien, ni plaisir ni déplaisir. Mon corps était à qui voulait le prendre, ça ne me faisait pas mal. J’étais comme extérieure à ce qui m’arrivait. Sans souffrance, comme un objet dont on jouit. Le cerveau un peu vide aussi, peut-être du masochisme qui m’irriguait. Mais je voulais montrer à mon mari que j’étais prête à tout pour lui, que je pouvais accepter ses demandes, que j’étais capable de faire ce qu’il me demandait, même d’être une quasi prostituée. Surtout je restais son épouse.
De temps en temps, mon mari me téléphonait 10 minutes avant de rentrer le soir à notre domicile. Il me disait seulement un numéro ! Celui de l’une des positions que je devais prendre dans le couloir de notre entrée, le dos toujours tourné vers la porte. Ce soir-là, le numéro était le 10. Le numéro le plus dégradant et difficile : d’abord me mettre à genoux puis m’accroupir, la tête posée au sol, le cul bien levé avec les jambes écartées et mes mains devant ouvrir mes fesses. Je me mis en position et attendis qu’il rentre chez nous. Enfin j’entendis la clé dans la serrure, la porte s’ouvrir puis se refermer.
La voix de la femme me fit sursauter :
— Et bien dis donc, c’est sympa d’être accueilli ainsi chez toi !
Mon mari lui répondit que oui, que cela avait pris du temps mais que maintenant je le faisais à la demande, j’étais devenue très obéissante. Cependant, énervée par cette intrusion inattendue, je relâchais l’écartement de mes fesses. Mon mari me claqua aussitôt la fesse droite et m’ordonna de rester ouverte au maximum.
— C’est vrai qu’à force d’être utilisé, son cul est vraiment ouvert, tout doit rentrer comme dans du beurre ! ajouta cette femme inconnue dont je ne voyais que les escarpins rouges à coté de mon visage posé au sol.
Mon mari me demanda d’écouter avec attention ce qu’il avait à ma dire.
— Solange est ma maîtresse, dorénavant elle habitera ici. Tu lui obéiras comme tu m’obéis et elle a les mêmes droits que moi sur toi, y compris de te punir quand tu n’es pas sage ou que tu ne lui obéis pas. Tu ne dormiras plus avec moi mais dans le petit lit de la chambre d’ami. Ce qui ne veut pas dire que l’on ne t’utilisera pas dans des jeux érotiques. Pour le reste pas de changement. Mais si cela ne te plait pas, tu peux toujours demander le divorce.
— Jamais je ne divorcerai, je ne veux pas, fut ma réponse.
— Bien dit-il, relève-toi à genoux, les mains croisées dans le dos et tu vas donner ton accord à Solange pour être sa soumise.
La femme vint de positionner devant moi ; la tête baissée, je donnais mon accord pour être sa soumise obéissante. Mon mari me demanda de baiser ses escarpins, ce que je fis. Puis je levai les yeux et reconnus la jeune femme : c’était celle avec laquelle mon mari discutait dans la boite échangiste pendant que j’étais offerte à tous ceux qui voulaient me prendre. Elle était plus jeune que moi, sans doute 22 ou 24 ans. Moi, j’en avais 35, pouvais-je lutter contre elle ?
Deux jours après, je venais de me lever quand je l’entendis :
— Birgitt, où est le papier toilette, il n’y en a plus !
J’allais dans le placard des réserves mais rien. Je lui dis que je pouvais lui passer un morceau de sopalin, en attendant que les courses soient faites dans l’après-midi.
— Non, viens ici ! La porte des WC était ouverte ; entre !
Je m’approchai.
— Birgitt, tu es une imbécile, tu gères mal les stocks de la maison. Je vais t’apprendre à mieux les gérer. Pour commencer, viens m’essuyer !
J’avais le sopalin à la main, elle me l’arracha et me dit :
— Non, c’est avec ta langue que tu vas le faire, ça t’apprendra !
Nous nous regardâmes dans les yeux, je me dis que je ne pouvais pas accepter cela, il fallait que je parte sinon ma vie allait complètement se déglinguer.
— Si tu ne m’obéis pas, tu n’as plus ta place ici.
Nos regards étaient fixés profondément l’un sur l’autre, la lutte mentale était intense pour savoir qui allait céder. Au moment où je me disais, non je ne peux pas, je m’en vais, sans savoir pourquoi, je me mis à quatre pattes devant elle et avec mes lèvres, j’essuyais sa chatte toute mouillée de sa pisse. Elle me retint par les cheveux puis me lâcha au bout d’un long moment en me disant :
— Tu vois ce n’était pas si difficile que ça, je suis certaine que tu le referas.
Nous formions un drôle de trio. Le matin, je partais à mon boulot de secrétaire médicale, ensuite j’étais confinée dans l’appartement, sauf le jeudi où je me rendais toujours chez la voisine du dessus, nue, pour faire son ménage et servir le thé à ses amies et être le jouet de leurs fantasmes de vieilles quinqua, surtout me faire des attouchements, des doigtés, me caresser devant elles, les servir à genoux, me promener à quatre pattes devant elles...
Chez nous, je faisais les repas, je servais à table, nue entre mon mari et « madame Solange » comme mon mari m’obligeait à appeler sa jeune maîtresse. Le soir, ils lisaient, regardaient la Tv, je restais avec eux mais accroupie ou assise sur mes genoux, sur le tapis du salon, toujours à leurs pieds. J’étais leur bonne, voire leur animal de compagnie dont on caressait la chevelure d’une main négligente. Solange aimait bien de temps en temps me faire adopter la position « chienne récompensée » en me mettant un chocolat dans la bouche : à genoux devant elle, les avant-bras relevés jusqu’aux seins, la bouche ouverte avec la langue sortie...
Et puis mon mari a décidé que les courses seraient dorénavant livrées le mardi après-midi par le supermarché du coin de notre rue. Je lui demandais de pouvoir mettre l’une de mes robes mais son refus fut catégorique.
— Il n’en est pas question, tu recevras le livreur nue et tu seras son pourboire s’il en demande un !
Le premier mardi, quand la sonnette retentit, je tremblais. LIRE LA SUITE
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