16 - Pierre, Agnès et les autres
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L’une guidant l’autre, les deux adolescentes gagnèrent la chambre. Sandrine prit place sur le lit, attirant à elle une Muriel plus rougissante que jamais. Maintenant que ses sens étaient momentanément apaisés, elle avait honte de s’être laissée ainsi aller à tant d’impudeur.
— Que vas-tu penser de moi ?
— Et bien je sais que tu viens de prendre un « pied » phénoménal.
— Je t’assure que jamais je n’avais fait une telle chose auparavant.
— Je veux bien te croire, encore qu’il m’est difficile d’admettre que c’est la première fois que tu te fais défoncer la rondelle…pas plus que je ne peux imaginer que tu étais réellement vierge.
— C’est pourtant en partie vrai.
— Explique-toi.
— Voilà…il y a déjà pas mal de temps que dans certaines situations, ou bien encore en présence de certaines personnes, je ressens une excitation que je ne parviens pas à m’expliquer. Très jeune, j’ai pris l’habitude de me masturber. J’ai découvert tout le plaisir que je pouvais ressentir à écarter mes nymphes, à introduire un doigt dans ma vulve, ou bien à débusquer mon clitoris, et à le frotter, le rouler entre mes doigts jusqu’à ce que ceux-ci soient tout poisseux de la jouissance qui me submergeait. Mais très vite, ces caresses ne m’ont plus apporté l’apaisement escompté. Je me suis rendue compte que de m’introduire un doigt dans l’anus pendant que je me branlais augmentait mon excitation, et me prodiguait plus de plaisir. Puis progressivement, j’ai remplacé mes doigts par des objets phalliques. C’est ainsi que j’utilise fréquemment le manche d’une brosse à cheveux pour me défoncer la rondelle. Quand elle est bien implantée dans mon cul, je la fais tourner en la sortant puis en la réintroduisant toujours plus loin. Pour mon vagin je me sers d’un parapluie doté d’un gros manche noueux. C’est à l’occasion d’un voyage en train que j’ai recouru pour la première fois à cet objet. Je ne sais si ce sont les secousses du wagon qui furent à l’origine de mon excitation, mais je me suis sentie le besoin impérieux de me masturber. Comme j’étais seule dans mon compartiment, j’en ai profité. J’ai calé le parapluie au sol, entre mes pieds, le manche dirigé vers le haut, et écartant mon slip, j’ai fléchi les jambes, et je me suis empalé sur ce gode improvisé. Malgré la peur d’être surprise qui me paralysait un peu, la jouissance est venue rapidement. Comme tu le vois, je ne manque jamais une occasion de me défoncer la chatte ou le cul, mais je dois dire que je n’avais jamais rien connu de semblable à ce que tu m’as fait vivre. C’était inouï ; j’ai l’impression de sentir encore tes mains en moi. J’étais déchirée, et en même temps j’aurai voulu que tu dilates encore plus mes ouverture. Tu vas me prendre pour une folle.
— Absolument pas ; je pense seulement que tu mérite une bonne fessée pour jouer les saintes-nitouches alors que tu n’es qu’une belle vicieuse.
— Tu n’oserais quand même pas…
— Bien sur que si, et sans tarder. Vois-tu, si tu prends ton pied à te défoncer la chatte et le cul, mes goûts sont plus éclectiques. L’un de mes plaisirs est de dresser des petites salopes dans ton genre, et je ne vais sûrement pas me priver de la joie de voir rougir ton adorable petit derrière.
— Et si je refuse de me laisser faire…
— Dans ce cas, tu n’as qu’à ramasser tes affaires et partir immédiatement ; mais je te devine assez vicieuse pour ne pas te dérober à une nouvelle expérience, d’autant que je suis bien certaine que tu finiras par l’apprécier.
Vaincue, et pour tout dire curieuse de découvrir de nouvelles sensations, Muriel baissa les yeux en signe d’acceptation. Sandrine profita alors de ses bonnes dispositions pour faire allonger sa camarade, à plat ventre sur le lit, lui rehaussant la croupe en plaçant un épais coussin sous son bassin.
— Maintenant croise tes mains sur la nuque et ne bouge plus ; tu vas goûter à une bonne fessée comme une petite fille indisciplinée. Je vais te claquer le cul jusqu’à ce qu’il soit rubicond. Crois-moi, tu vas déguster, car je ne vais pas t’épargner.
En lui décrivant ainsi par avance le tourment qu’elle comptait lui infliger, elle savait augmenter son humiliation mais aussi le trouble dans lequel elle devait obligatoirement se trouver pour avoir accepter aussi facilement de se laisser battre. Elle en eut du reste confirmation lorsque sa camarade l’interrompit d’une voix à peine audible :
— Je t’en prie, tais-toi. Frappe-moi, puisque tu en as envie, mais ne me dis pas des choses aussi horribles.
— Puisque tu me le demandes…
Et sans plus attendre, elle asséna une première claque sur la fesse droite de son amie. LIRE LA SUITE
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