Harcèlement au bureau 2
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Chapitre 2
Ce n’est qu’après un moment que tu reprends tes esprits et te redresses lentement tandis que lui n’a cessé de t’observer attentivement avec un demi—sourire ; tu es gênée, indignée et pourtant satisfaite d’avoir partagé ce singulier moment d’intimité ; malgré tout, ton appréhension reprend le dessus : que va t—il se passer maintenant ? il parlait de licenciement...il ne peut pas te faire ça maintenant !
— Eh bien, Christine, avez—vous bien joui ?
Qu’est—ce qu’on peut appeler « bien » ? As—tu pris du plaisir ? Tu penses que oui, finalement :
— Je...oui, Monsieur.
— Bien. Moi également, dois—je dire, et je vous remercie de m’avoir sucé.(C’est bien la première fois qu’on te remercie en ces termes.) J’aimerais vous proposer quelque chose qui, je pense, va convenir à votre tempérament. Car vous êtes plutôt...chaude, n’est—ce—pas ?
Bon. Inutile de nier l’évidence, il a bien vu que même la caresse forcée ne t’a pas déplu sur la fin...
— Euh...Ou..oui, Monsieur. Mais...
— Attendez...Je vous propose de devenir mon assistante...sexuelle personnelle. Cela impliquera beaucoup d’avantages...et quelques inconvénients...que je crois minimes pour une personne comme vous. L’autre option, est, bien sûr, un licenciement immédiat...sans indemnités puisque le fait d’avoir des relations sexuelles pendant les heures de travail est considéré comme une faute lourde...
— Mais...vous n’avez pas de preuves ! Et vous m’avez forcée !
Ton indignation prend le dessus, tu t’apprêtes à lui répondre vertement. Il lève la main.
— Me croyez—vous si stupide ? Bien sûr que j’ai des preuves ! Après la première rencontre du 8 mars avec votre amant —dont j’ai été averti par une de vos collègues, soit dit en passant—, j’ai fait poser une webcam et un micro dans un endroit discret de votre bureau. j’ai tous vos soupirs sur bande et des images qui ne dénoteraient pas dans un porno de catégorie C... J’ai d’ailleurs pu constater que vous faisiez usage de tous vos orifices, pendant vos rapports...j’espère que vous continuerez dans cette —ou plutôt dans ces— voies..., dit—il avec un sourire espiègle.
— Vous n’aviez pas le droit de m’espionner !
— N’oubliez pas qu’une partie de notre activité traite de sous—traitance pour des sociétés intéressant la défense...à ce titre, et le règlement intérieur le prévoit, je peux prendre toutes les mesures nécessaires en termes de sécurité...Ce n’est pas de ma faute si vous prenez votre bureau pour un lupanar et que vous vous faites enculer devant une caméra !
La violence des propos te choque. Tu tentes timidement de protester :
— Vous m’avez violée ce matin...je pourrai porter plainte pour harcèlement sexuel !
— On peut argumenter sur le mot « viol »...Je vous rappelle qu’un président des Etats—Unis s’en est tiré, pour une histoire de fellation ! J’ai aussi d’excellents avocats...mais je vais vous dire ce que je ferai, si vous portez plainte : j’irai en prison.
Tu restes surprise de ses paroles, et de ce choix qui te paraît curieux. Malgré tout, tu persistes dans cette voie :
— J’espère bien, que vous irez en prison ! je vais d’ailleurs porter plainte dès aujourd’hui (tu réfléchis un moment)...après les heures de travail.
— Pour la deuxième partie, vous feriez bien ! mais je vais vous expliquer pourquoi je souhaite aller en prison si vous portez plainte : c’est un risque que je prends ; Si je vais en prison, toute l’activité de l’entreprise s’arrêtera.
Tu restes étonnée ; tu n’avais pas pensé à cela :
— Mais....
— Je refuserai de continuer l’activité ; vous savez que je vais décrocher au moins 3 contrats importants, et que la plupart de nos clients travaillent avec nous parce que je les connais personnellement. Je ne diminue pas la valeur de tous, non ! mais je sais que vous péricliterez très rapidement si je n’y suis plus. J’estime même que dans 3 mois il n’y aura pas moyen de faire autrement que de licencier. Voulez—vous mettre 40 personnes au chômage ?
Il est vraiment diabolique. Et en plus, il se pourrait bien qu’il aie raison ! Tu n’avais pas envisagé le problème sous cet angle—là...
— C’est du chantage ! Vous me prenez en otage...
— Une transaction, Christine, une transaction...je ne veux que vous, et que pendant les heures de travail ; vous allez en retirer des bénéfices, toutefois ! Je vous passerai cadre, vous attendez cela depuis 5 ans, n’est—ce—pas ?
— Vous le savez bien...
— En effet ! votre travail —en dehors de vos écarts sexuels— me donnait toute satisfaction. mais je crois que votre nouveau poste vous plaira, tout simplement parce que vous aimez jouer, Christine. Cela vous excite de manipuler, ou d’être manipulée suivant le cas. me trompé—je ?
Bon sang, il t’a bien jugée. Il a découvert à la fois ton vice et ton point faible...
— Non...pas vraiment...mais vous êtes ignoble !
— Merci...Dois—je vous présenter les autres avantages ?
Un signe de tête. tu es désespérée. Tu n’arrives plus à raisonner. Que faut—il faire ? Il t’assaille de paroles, de raisons diverses, pour...profiter de toi ! Et pourtant...tu ne peux t’empêcher de lui trouver un certain charme, et surtout tu es subjuguée par cette façon qu’il a eue de t’empêtrer dans un réseau de contradictions qui fait que tu ne peux être que perdante, au bout du compte. Toutes les portes se ferment une à une...Quoique tu fasses, tu seras coincée. Aucune solution, sinon la sienne....qui signifie ton humiliation, ta dégradation peut—être ?
— Vous aurez une augmentation substantielle, de l’ordre de 500 euros net par mois. Vos vêtements, lingerie, chaussures, seront financés à hauteur de 1000 euros par an. Vos soins de beauté, coiffure, manucure, pédicure, maquillage également. Vous cotiserez évidemment pour une retraite bien plus intéressante. Enfin, vous m’accompagnerez dans certains déplacements et bénéficierez des avantages inhérents. C’est une véritable opportunité pour vous, Christine...Qu’en pensez—vous ?
Penser ? Tu n’es plus capable de penser...Tu baisses la tête, des larmes perlent au coin de tes yeux, tu t’entends dire d’une toute petite voix :
— Que...que devrais—je faire, monsieur ?
— Ecoutez bien, Christine, car je ne le répèterai pas.
Tu ravales tes sanglots et deviens attentive
— Je veux d’abord que vous soyez élégante et bien habillée. Vous serez ici tous les matins à 9h00, la tenue sera jupe ou robe obligatoire, ne descendant pas en—dessous de mi—cuisse ; J’apprécierai le tailleur ; robe ou chemisier devront être suffisamment décolletés pour que l’on voie la naissance de vos seins. Pour les chaussures, escarpins l’hiver, sandales ouvertes l’été, bottes s’il pleut. Toutes ces chaussures auront des talons fins de 6 centimètres minimum. Sachez que je préfère les chaussures avec bride à la cheville. Vous serez maquillée normalement, rouge à lèvres, fard à paupières, contour des yeux et des cils, vernis aux ongles des mains et des pieds. Quand aux sous—vêtements... LIRE LA SUITE
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