Lynne
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1. La soirée
Lynne a toujours aimé flirter et se montrer quand elle est de bonne humeur. Et son mari aime la regarder. Elle mesure un peu moins d’un mètre soixante, elle a une longue chevelure noire et un joli visage. À part les hôtes, ils ne connaissent vraiment personne à la fête, son mari n’a donc pas été surpris que Lynne ait choisi de porter un haut très décolleté et sans soutien-gorge. Elle a de beaux seins et ça ne le dérange pas qu’elle les expose ainsi. Même si elle est alors plutôt allumeuse, elle se sent en sécurité quand son mari est là, et ne s’attend pas à ce que cette fête soit différente. Elle va jouer la pétasse, faire flasher sur ses seins et flirter avec tout homme qui s’intéressera à elle, et son mari la regardera en se mêlant aux autres invités. Puis, quand ils rentreront à la maison, Lynne parlera à son mari des hommes qui ont traîné autour d’elle ce soir pendant qu’ils baiseront. Mais cette soirée ne se déroule pas comme Lynne l’a prévue.
Elle se lève tôt le lendemain matin et prend une longue douche chaude, son esprit et son corps toujours brillants, submergée par le souvenir des événements de la nuit précédente. Elle se regarde dans le miroir en se glissant dans une robe de soie blanche, et se demande un instant si la femme dans le miroir est vraiment la même femme que celle d’hier, à la soirée.
Quand elle sort de la salle de bain, avec ses longs cheveux mouillés tombant sur ses épaules, son mari lui donne un cahier et lui dit d’écrire ce qu’elle a vécu lors cette soirée. Il a un sourire presque lubrique sur son visage pendant qu’il parle, et il y a quelque chose de différent dans sa voix et dans sa manière de s’adresser à elle. Mais la pensée de revivre ce qui s’est passé lui fait très vite mouiller l’entrejambe de sa culotte blanche toute propre et fraîche. Alors elle lui sourit, s’allonge sur le lit et se met à écrire.
Pendant la majeure partie de la soirée, ce n’est pas différent des dizaines d’autres soirées auxquelles nous sommes allés. Mon haut est coupé trop bas et mon jean est trop serré. J’ai bu un peu trop de vin et fumé un demi-joint, ce que je n’aurais pas dû faire du tout. Des hommes traînent autour de moi, fixant mes seins, se frottant de temps en temps contre moi pendant que nous discutons. La soirée s’achève, un groupe d’hommes est autour de moi, me racontant des blagues salaces et faisant de petites remarques sur ma poitrine. Je suis défoncée, excitée et heureuse, impatiente de rentrer à la maison et de baiser mon mari. Mais plus je suis excitée, plus mes mamelons sont proéminents, et plus les hommes sont également excités, ils ne parlent maintenant plus de ma poitrine… mais de mes tétons. J’aime bien ça.
Puis l’un des hommes tend la main et pince mes mamelons entre ses doigts. J’essaie de lui faire comprendre que je veux qu’il arrête, mais je ne fais pas tout ce qu’il faudrait pour l’interrompre. Puis un autre mec serre à son tour mes tétons, puis un autre… Je me contente de rester là et je les laisse faire. Nous sommes dans le garage, juste six ou sept hommes et moi, je ne sais pas exactement combien. Deux d’entre eux me maintiennent gentiment contre le mur de briques rugueuses, et j’entendu le bruit des portes roulantes que l’on abaisse et que l’on verrouille, puis je sens une main entre mes jambes. Je regarde le visage de l’homme, mais tout ce que je peux faire est d’ouvrir mes jambes plus largement pour lui. J’ai un homme de chaque côté, et je mets mes bras autour de leurs épaules pour me tenir, ils soulèvent mon haut pour atteindre mes seins tandis que l’autre homme me frotte entre les jambes.
Le reste des hommes se tient là, devant nous, à regarder, l’un d’eux est mon mari. Après qu’il me sourit, je m’entends implorer l’homme qui me frotte de défaire mon jean. Je gémis en entendant la fermeture éclair s’ouvrir, puis je sens les doigts de l’homme sur ma culotte. Le bouton de mon jean est toujours fermé, sa main s’introduit à travers la fermeture éclair ouverte. Dès que l’homme passe ses doigts sous l’élastique et trouve ma chatte, ma tête se cambre en arrière et j’enfonce mes ongles dans les épaules des hommes qui me soutiennent. Je les supplie de me mordre les tétons, ils se moquent de moi, puis chacun s’empare brutalement d’un de mes seins et abaisse sa bouche vers un de mes tétons. Je grogne bruyamment quand le premier, puis l’autre prend mon téton entre ses dents. Les autres hommes se rapprochent, de voix se mélangent :
« ....Quelle putain de salope !
— La salope, elle adore ça…
— Qui va la baiser le premier ? »
Ils savent quoi dire, ce que je veux entendre. Je gémis doucement à chaque fois qu’ils me traitent de salope et de pute. Puis, au milieu du murmure de voix, j’entends mon mari dire à l’homme de « lui planter un doigt ».
Je suis presque en délire, totalement consumée par ce que les hommes me font. Je sens un doigt s’introduire en moi, puis deux autres hommes défont le bouton de mon jean et le descendent autour de mes chevilles. Je manque de jouir en entendant le bruit de la culotte que l’on m’arrache. J’ai le souffle coupé, les deux hommes qui ont baissé mon jean sont accroupis à côté de moi, un à ma gauche, l’autre à ma droite, je les regarde tendre la main entre mes jambes, chacun d’eux saisit une de mes lèvres entre le pouce et l’index, et ils les écartent doucement, exposant mon clitoris gonflé. Les hommes applaudissent lorsqu’on m’arrache ma culotte, ils applaudissent à nouveau lorsque mon clitoris leur est exposé. Le garage se fait nouveau l’écho des commentaires les plus dégoûtants et les plus dégradants sur la salope, sur moi, et j’aime ça.
Le doigt bouge toujours en moi, et je vais jouir quand j’entends mon mari : il crie mon nom. Je ne peux pas parler, j’ai à peine assez de contrôle sur mon corps pour lever les yeux vers sa voix. Les autres hommes cessent de parler. Il appelle encore mon nom et dit en faisant courir son regard dans le garage :
« Tu dois choisir… »
Ma tête s’affaisse, je me sens étourdie, j’entends :
« Tu dois choisir quelqu’un pour te lécher le clitoris. »
Mes genoux se plient et les deux hommes qui me tiennent resserrent leur emprise. Après ce que ces hommes m’ont fait, l’idée de choisir un homme dans la foule pour me lécher là me fait basculer par-dessus bord. Je halète et je grogne, je me pousse contre les doigts des hommes. Alors que les premières vagues de mon l’orgasme sont sur le point de déferler entre mes jambes et à l’intérieur de moi, les deux hommes lâchent les lèvres de ma chatte, je sens le doigt glisser hors de moi, et mes mamelons sortent des bouches qui les dévoraient. Ça ne vient pas, ils ne peuvent plus s’arrêter maintenant !
Je regarde dans le garage, désespérée, haletant sauvagement, mon visage suppliant pour qu’un seul d’entre eux dise « laissez la salope jouir », pour qu’un seul d’entre eux ait pitié de moi, mais aucun ne le fait. Ma tête s’affaisse, et une larme roule sur ma joue. Je sens une main sous mon menton, qui soulève doucement mon visage, mon mari me caresse la joue et essuie la larme. Je réussis à chuchoter un faible gémissement « s’il te plaît, », mais il m’ignore, et je sanglote en sentant reculer l’orgasme, qui avait presque commencé à me dévorer.
La pensée de choisir un homme dans la foule pour me lécher fait couler ma chatte goutte à goutte, et je baisse la tête d’embarras, imaginant les commentaires que feraient les hommes s’ils voyaient ce qui se passe entre mes jambes. Mais ils ne le remarquent pas, ils sont occupés à parler et à rire de la taille de mon clitoris.
Je regarde les visages des hommes debout devant moi. Il y en a plus maintenant, au moins une douzaine. Je ne me souviens d’aucun de leurs noms, mais je reconnais certains visages. Puis je le vois. Il se tient à l’arrière, derrière les autres. Il est grand et musclé. Je lui ai souri plusieurs fois au début de la nuit, mais à chaque fois, il m’a regardé de haut en bas et s’est détourné. J’ai essayé de flirter avec lui une fois, mais il m’a ignorée comme si je n’étais pas là. Je l’ai vu embrasser une jeune blonde, l’énorme renflement de son pantalon devenant encore plus gros lorsque la chienne blonde l’a frotté à travers son jean, ils m’ont vue fixer le contour de sa bite et se sont moqués de moi. Je l’ai méprisé, il était si suffisant et arrogant, son ego aussi gros que son énorme bite. Mes yeux se verrouillent sur les siens.
« Je veux que ce soit lui.
— Tu m’as regardé toute la nuit, n’est-ce pas ? »
Sa voix profonde dégouline de sarcasme.
« Oui. »
Je ne peux pas croire que j’ai répondu si rapidement. Il veut me ridiculiser, il veut que je me dégrade encore plus. Et je suis plus qu’heureuse de lui céder. LIRE LA SUITE
1. La soirée | 2 |
2. Le dîner. | 10 |
3. La Maîtresse | 24 |
Auteur : Just Another Bloke
Mel : justanotherbloke@my-dejanews.com
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