Lisa

vendredi 14 septembre 2012
par  MasterB
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J’ai connu Lisa au lycée. À l’époque, c’était une petite jeune fille timide et discrète. Bonne élève, elle était de ce qu’elle laissait paraître, destinée à un avenir professionnel assez prometteur.
Je l’ai perdu de vue pendant plusieurs années, et c’est au cours d’un repas d’affaire que nous nous sommes retrouvé par hasard autour de la même table.

Elle était devenue responsable commerciale d’une grande entreprise avec qui ma société devait négocier des gros contrats.
C’est elle qui me reconnut la première, car sa voix ayant muée je ne me la remémorai qu’au moment où elle me dit qui elle était, et me donnait des détails sur nos années scolaire communes.
Je dois confesser que lorsque nous étions en classe, Lisa avait été l’une des élèves sur laquelle j’avais secrètement fantasmé, et le fait de la retrouver ne me déplu pas forcément.
Bien que nous eûmes fort envie de pouvoir discuter de nos souvenir d’adolescents, plutôt que d’affaire professionnelles, nous dûmes nous mettre au travail malgré tout, en nous promettant qu’à l’issue de notre entrevue, nous fixerions un autre rendez vous, cette fois juste pour nous.

Nous nous revîmes donc, une puis plusieurs autres fois de façon plus amicale. Petit à petit, nos relations amicales évoluèrent, et rapidement, nous devinrent intimes.
Nous nous découvrîmes donc en profondeur, nous livrant peu à peu l’un à l’autre.
Un soir cependant, Lisa se révéla à moi sous un jour que je n’osai imaginer.

Je reçus dans le courant de l’après midi un appel de sa part, pour m’indiquer que sa réunion de fin d’après midi avait été annulée, et donc qu’elle rentrerait chez nous plus tôt et qu’elle avait hâte que je la rejoigne.
Vers 19 heures, j’arrivai devant mon immeuble, y entrai, empruntai l’ascenseur, et entrai dans notre appartement.

Dès que j’eus passé le seuil de la porte, une très agréable odeur de petit plat mijoté vint envahir mes narines.
J’avançai, et allai me débarrasser de ma veste, lorsque je sentis deux mains sur mes épaules, ainsi qu’un souffle chaud et sensuel dans mon cou.
La voix de ma douce Lisa murmura, doucement :

« Si monsieur me permet ? »

Ses mains passèrent sur ma poitrine, et défirent les boutons de ma veste, puis m’en débarrassèrent d’une façon très délicate.
Je me retournai, et admirai ce petit bout de femme à la peau laiteuse et fine, aux yeux bleus perçants, aux cheveux blonds ondulés qui flottaient sur ses épaules et sur le haut de son dos et de ses seins.
Une tenue très courte et légère venait la parer et lui donner un surplus de féminité et de sensualité qui ne me laissa pas indifférent.
J’enlaçai d’une main, la taille de Lisa, et la collai contre moi, pour déposer un long baiser sur ses lèvres. Nos langues se trouvèrent rapidement, et s’entrelacèrent pendant plusieurs secondes.
Lorsque notre baiser se finit, Lisa me prit par la taille et m’entraîna vers la salle à manger, où la table était dressée pour deux.

Jamais une femme ne m’avait fait un accueil aussi agréable, cependant, lorsque je voulus lui dire et la remercier pour cette délicate attention, elle me mit le doigt sur la bouche et me dit simplement :

« Chut, mon chéri, je m’occupe de tout. »

Elle me dégagea ma chaise, et me servi un verre.
Tout au long du repas, je ne dus pas bouger d’un millimètre, car elle avait vraiment pris tout en main.
Une fois que nous eûmes mangé les yeux dans les yeux, en parlant de nos journées respectives, elle me proposa de prendre le café au salon, ce que j’acceptai, sans oser comprendre où elle voulait en venir.
Nous passâmes donc au salon.
Je m’assis dans le canapé, et elle me rejoignit quelques minutes plus tard, en ramenant un plateau avec deux tasses de cafés fumantes.
Elle m’en tendit une, et pris la seconde pour elle.
Lorsque nous eûmes fini, je voulus la prendre dans mes bras, mais elle se recula et me dit :

" — Mon chéri, j’ai quelque chose à te demander.

— Vas’ y ma puce, lui répondis-je.

— Je voudrais juste avant de te faire ma demande, que tu ne m’en veuilles pas si ça te paraît trop, ou déplacer, et que tu ne tiennes pas compte de ce que je t’aurai dit.

— Mais non pourquoi veux tu que je le fasse ?

— Ne me pose pas de question mon chéri s’il te plaît, et attends moi alors je reviens."

Elle sortit de la pièce, et revint quelques secondes après.
Elle était complètement nue, et dissimulait derrière son dos quelque chose.
Elle vint se mettre face à moi, et s’agenouilla.
Elle baissa la tête, les joues commençant à se colorer d’un rouge vif, et elle articula d’une voix embarrassée mais claire :

" — Mon chéri, je t’aime, et je sais aujourd’hui, que c’est avec toi que je désire être pour toujours. Je souhaiterais donc que tu acceptes que je t’appartienne.

— Mais enfin ma puce, tu sais bien que nous sommes unis en quelque sorte par notre amour ?

— Oui mais je voudrais que tu acceptes que je sois complètement à toi, que je ne décide de rien, je souhaite me confier physiquement et mentalement à toi. Acceptes-tu de me prendre pour toi seul, et de me garder à jamais ?

— Ma chérie, je ne m’attendais pas du tout à ça, mais je t’aime, et oui bien sur j’accepte."

Elle releva la tête, me sourit, et sortit de derrière son dos, un large bracelet d’argent, sur lequel était gravé Lisa et mon numéro de téléphone.
Je considérai le bijou, et le pris dans ma main. En l’observant de plus près, je compris qu’une fois refermer, il serait impossible de le rouvrir.

" Mon chéri, souffla Lisa, referme ce bracelet sur mon poignet, et je t’appartiendrai, je serai liée à toi pour l’éternité. »

Elle me tendit son poignet, et le posa sur l’un des demi-cercles que le bracelet formait dans ma main.

« — Tu es sûre de toi ? Lui demandais-je tendrement. »

Elle ne répondit pas, mais l’expression de sérénité et de quiétude que me renvoya son visage, me convainquis que sa décision avait été mûrement réfléchie, et qu’elle n’attendait plus que je cèle cette dernière.

Je vins poser le deuxième demi cercle sur le poignet de ma future et déjà dulcinée, sans toutefois appuyer pour enclencher le mécanisme de fermeture définitive, et j’attendis.

Elle me transperça de ses yeux de chat, m’implorant d’achever ce suspens interminable pour elle. J’attendis encore plusieurs dizaines de secondes, la regardant frémir et se tendre sous la pression de l’énervement, et du stress, puis j’appuyai un coup sec sur son poignet.
Un cliquetis se fit entendre, indiquant pour Lisa, sa définitive décision.
Elle posa ses mains sur mes genoux et posa sa tête sur mon torse tout en se lovant entre mes jambes.
Elle murmura :

« — Merci, merci, merci, mon chéri, tu ne pouvais me faire un plus grand honneur et un plus beau cadeau. »

Je la redressai, la saisit par les aisselles, la soulevai, et la déposai sur mes genoux. LIRE LA SUITE

FRANKIE a imaginé une suite à ce récit que vous pouvez lire ICI


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