L’enlèvement et la vente de Mary Beth par Lady Tressa
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1. L’enlèvement
Ce n’était pas prévu se passer comme ça. Mary Beth, une petite brune de vingt-neuf ans, en instance de divorce, avait prévu de passer le week-end seule dans sa maison à la campagne pour la nettoyer à fond, opération envisagée depuis longtemps.
Ces plans sont perturbés lorsque Mary Beth arrive à la maison à huit heures, un vendredi soir de décembre. Il est actuellement neuf heures et Mary Beth est allongée, nue, sur le ventre et écartelée sur le lit « king size » dans sa chambre. Chaque membre est attaché avec une menotte en acier ou une entrave particulière, au cadre du lit. Un bâillon-boule l’empêche de parler, et un bandeau en cuir, de voir.
Pour aggraver encore sa souffrance, un gode vibrant vibre sans arrêt, inséré dans sa chatte et maintenu en place par une chaîne douloureusement tendue, qui encercle sa taille et est fixée sous son entrejambe.
Mary Beth, professeur d’anglais dans un lycée, s’est arrêtée pour acheter du poisson frit après l’école, puis dans un supermarché. Elle n’a rien remarqué de bizarre lorsque son SUV est entré dans son allée. Après avoir déverrouillé la porte latérale, elle a fait deux voyages vers le véhicule pour vider toutes les courses.
Elle est ensuite allée dans sa chambre au premier étage et a enlevé son manteau de cuir vert. Sa tenue consistait en un pull à col roulé côtelé blanc serré, un pantalon noir et des bottes mi-longues.
Puis c’est arrivé. L’inconnu vêtu d’une cagoule de ski est apparu à la porte de la chambre, portant ce qui semblait être un pistolet paralysant. Frémissant de peur, elle a pu dire :
« Qui êtes-vous et que voulez-vous ? »
La réponse de l’étranger fut laconique :
« Je vais t’utiliser sexuellement, puis cambrioler ta maison. »
Son ordre suivant fut de se déshabiller devant lui. Le ton intimidant de sa voix, couplé au fait qu’il mesurait au moins un mètre quatre-vingt-dix et pesait une centaine de kilos, a poussé Mary Beth à obéir. Elle supplie :
« S’il vous plaît, ne me violez pas… »
La réponse de l’intrus consiste à la gifler violemment sur le visage avec sa main libre, en ajoutant :
« La première règle est que tu ne parles pas sans autorisation et si tu le fais, ce que je te ferai sera beaucoup plus douloureux que ce que je viens de faire.
Une fois Mary Beth nue, l’étranger utilise une paire de menottes en acier pour fixer ses poignets derrière elle. Un bandeau est mis en place à ce moment-là, et elle est également bâillonnée. Même si le bandeau sur les yeux l’empêche de le voir, elle réalise rapidement quel est son but.
L’étranger sort ensuite une longueur de corde jaune et l’attache avec un nœud coulant autour de son cou. Mary Beth a peur d’être étranglée, mais apprend rapidement que l’inconnu a une utilisation plus novatrice de la corde.
L’extrémité libre de la corde, avec une poignée en cuir, est laissée pendante dans le dos de Mary Beth, se qui lui permet de l’utiliser comme une laisse.
« Nous allons visiter ta maison, glousse-t-il. »
Plutôt que de tendre simplement la corde depuis le cou, il compte utiliser une méthode beaucoup plus humiliante et douloureuse.
Ensuite, un plug anal de douze centimètres est inséré dans le fondement de Marie-Beth, ce qui la fait grimacer de douleur. Elle ne voit pas le sourire sur son visage tandis qu’il lui explique que le but de l’engin est d’infliger au besoin une douleur supplémentaire, lorsqu’elle sera conduite dans sa maison au bout de la laisse en corde.
Cependant, l’étranger a d’autres jouets à utiliser sur Mary Beth. Il sort brièvement de la pièce et revient avec un sac polochon qui contenait ces jouets. Le premier est un bâillon à point blanc, un appareil métallique qui force la bouche à rester ouverte. Pour l’instant, il est mis de côté sur une table de nuit.
L’article suivant était un ensemble de menottes de chevilles en cuir. Mary Beth est obligée de s’asseoir sur le lit, tandis que l’étranger attache chaque manchon, puis les relie avec une chaîne de quinze centimètres. Elle est maintenant entravée ; elle aura du mal à marcher, courir est lui impossible. Son bandeau est temporairement retiré.
Passant la laisse en corde sous son entrejambe, l’étranger lui ordonne de se promener dans diverses pièces du premier étage, la forçant parfois à sauter en raison de son entrave. Deux fois, elle perd l’équilibre et tombe, et l’inconnu tire brutalement sur la corde pour la remettre sur pied. LIRE LA SUITE
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