Le claquant soleil printanier
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Je suis allongé à plat ventre sur les cuisses recouvertes par le pantalon de cuir de la belle Agathe, épouse de Patrick. Il vient de m’introduire un court, mais large plug dans les fesses et Agathe va me donner la fessée, qui m’était promise à l’issue de notre dernière rencontre à mon Club.
À la contraction de son bras gauche qui me ceinture, je devine l’imminence de la correction.
Un déplacement d’air et la main claque ma fesse droite. Je croyais que ça ne me ferait pas trop mal. Que nenni ! Sa petite main est loin d’être faible. Le deuxième impact presque au même endroit me le prouve illico. Je serre les dents alors qu’une troisième claque rejoint les deux précédentes. Je serre les dents, car des claques assénées en succession rapide au même endroit créent une douleur ascendante. Après la dixième, sans cesser de viser le même globe, Agathe déplace sa main.
La douleur croît inexorablement. Après la vingtième, mes jambes s’agitent comme pour chasser le mal qui m’envahit. En même temps le plug de mon fondement remue lui aussi en moi. À la trente et unième, toujours fesse droite, un cri s’échappe de mes lèvres :
Aaaaaaaye !...
Comme si je n’existais pas, Patrick interroge ma fesseuse :
— À combien en es-tu chérie ?
— Trente-deux. Je compte lui en administrer cinquante à chacune, puis on verra.
Du coup je renaude :
Nooooooon !... Pas… autant !... Ça… fait… trooooooop… maaaaaaal !
Patrick, comme si tout à coup il prenait conscience que j’existe, s’approche de nous, s’agenouille :
— C’est bien pour te faire mal qu’Agathe te donne une fessée.
Du coup, je lui réponds :
— Dis-lui d’arrrrrrrêter !... Asssssssez !... Pluuuuuuus… La fessée !...
Au même moment les claques cessent. Je crois qu’elle m’a écouté, erreur, car elle annonce :
— Cinquante !...
Sa main caresse mon globe gauche, Agathe annonce :
— À toi, sinon tu vas être jaloux !
Aussitôt la terrible petite dextre choit sur ma fesse gauche : même rythme, même puissance d’impact, même système.
Je supporte difficilement ces nouvelles claques sur mon autre fesse. Je crie d’emblée tout en m’agitant en tous sens sur les cuisses d’Agathe qui me tient parfaitement à sa disposition. Le plug continue à bouger en tous sens en moi selon mes mouvements. Je le sens à peine, juste une envahissante présence. Sans même être essoufflée alors que les larmes coulent en abondance de mes yeux, elle dit :
— Trente. Encore vingt. Je t’avais promis une fessée quand tu m’as baisée au Club. Tu la mérites, sur ton gros cul qui est encore plus séduisant tout rouge. Crie tant que tu veux, je te réserve une surprise dans cinq claques… Voilà, cinquante.
Je me calme, profite du répit accordé pour essuyer mes larmes avec le mouchoir jetable que me tend Patrick.
Contrairement à ce que je croyais, un instant plus tôt, Agathe ne me lâche pas, serre ses cuisses plus fort, constate :
— Tu es bien bandé. Excellent ! LIRE LA SUITE
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