CRI
par
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Nous avons commencé nos échanges par Internet, comme souvent les choses se passent de nos jours. Evolution de la vie et du progrès. Tant mieux, ils sont là pour nous faire avancer.
J’étais en mal, ou plutôt j’avais mal de mon passé récemment vécu. J’ai vu ta fiche, fiche trop style catalogue que l’on nous impose en tel cas à mon goût mais bon !!!!
L’envie m’est venue de te contacter et je croisais les doigts en attente de ta réponse.
Le jeu en valait il la chandelle ? Jeu dangereux avec, à la sortie, victoire ou échec.
Tu ne m’as pas rejeté et nous avons commencé des échanges par mail, avec un mystère réciproque, chose que j’aime.
Une rencontre ?
Possible ?
En tout bien tout honneur ?
Comment éviter les phrases toutes faites ? Lassantes, abrutissantes, d’une banalité à vous dégoûter du contact.
Ta réponse fut comme un bonheur…… OUI
Rendez vous pris.
Mais le temps est parfois plus dur et plus fort que nos envies. Attendre, attendre ce jour décisif. Toutes les questions se posent à moi. Les premières, les plus importantes à mes yeux.
Serai-je à la hauteur, physiquement, mentalement de ses attentes.
Et si c’était un échec ? Repartir et me disant que je suis nul, trop banal à ses yeux.
Autre question….
Et si cette « sirène » était moche, laide, (à mes yeux), comment allais-je réagir ? Comment me sortir de cette impasse ?
Seules des paroles échangées avec elle en ne lui dévoilant qu’à demi-mot ma personne par messagerie.
Le jour J est arrivé. Je suis le Maître mais dans ces moments là, le cœur palpite fort, très fort. On se sent petit.
Je suis en avance. Elle n’est pas ici ou alors je ne vois pas qui cela peut être.
C’est elle ? Non.
Elle ? Non, encore raté.
Celle là non plus vu ses 70 ans passés.
Elle ? Avec un bébé en poussette ? Pas possible.
Ah, c’est elle. Age, corpulence, tout correspond. Elle tourne, vire, cherche quelqu’un. Une amie vient la rejoindre, raté, ce n’est pas elle.
Une voiture passe, ralentit et c’est le flash. Ce ne peut qu’être Elle.
BINGO (excusez le terme)
Sourires, oui, c’est elle.
Je suis déçu, elle repart, pas de place pour se garer. Elle continue sa route. Mon palpitant bat s’accélère. Elle sait que c’est moi.
Un petit tour et puis s’en va…
Reviendra-t-elle sur ses pas ou, vu ma personne, repartira-t-elle comme elle est venue ?
J’observe le parcours du véhicule avec angoisse. Direction prochain parking.
OUF !!!
Le contact aura lieu, en bien ou en total échec.
Je vais à sa rencontre, elle sort du véhicule et je lui dis (encore une phrase type mais bon, j’en connais pas d’autres) « Bonjour Christine »
C’est bon, c’est bien elle et son sourire me plait déjà.
Elle s’approche et me toise de haut en bas. Mince, je ne suis pas à la hauteur avec mes 2 à 3 cms de moins qu’elle. Peu importe, je ne vais pas me laisser abattre par ce « petit » handicap. Nous voilà partis pour notre déjeuner, réservé la veille, entre amis pour commencer.
Le style « VOUS par ci, VOUS par là » est difficile à maîtriser. Le « TU » devient de rigueur, avec quelques dérapages dans les « VOUS ». Peu importe.
Je me sens très bien, décontracté d’un seul coup.
Mais elle ? Son regard, fixe, que pense t elle ?
Discussions et CV sur notre passé pour mieux se dévoiler.
J’ai mangé quoi au fait ? sourires
Je n’avais d’yeux que pour elle.
Celle qui commençait à me fasciner.
Celle que j’avais aussi, maintenant, sans attendre, envie de dominer et de posséder.
CELLE avec qui j’avais envie d’aller loin, très loin.
Doucement JP……. Ne t’emballe pas si vite. Ce n’est que certainement éphémère.
Mais le repas terminé, les questions revenaient….. qu’allons nous faire ? comment gérer ? Dans sa tête, il se passe quoi ?
Dehors il fait froid même si le soleil est présent.
Se promener, discuter face à la mer ?
L’inviter encore pour un café ? On ne va pas faire que cela !
L’inviter chez moi ?
Comment cette dame accepterait aussi vite ce genre de « dessert » ?
Les dés sont jetés. L’invitation est acceptée. Pas de message à quiconque pour signaler son déplacement. La confiance s’installe et cela me ravit.
Arrivée dans ma garçonnière. Découverte de ce petit appartement, simple mais intime.
Petites discussions, histoire de connaître plus.
Et….. instant décisif.
Reprendre les rênes, m’imposer, jouer mon rôle de Dominant. Rôle que j’affectionne, rôle que j’aime, ma façon d’être, avec mon assurance (facile à dire mais pas à faire pour un premier contact)
Je m’impose et là, obéissance….
« Déshabilles-toi, je veux découvrir ton corps. Je veux connaître ton grain de peau, tes réactions. Une soumise se doit d’obéir et se donner. Non ? »
Et puis j’ai tellement envie de ce corps, de le détailler.
Aucune réticence. Elle ne bouge plus.
Je la touche, la palpe, soupèse ses seins, glisse une main entre ses cuisses pour voir, sentir le degrés de soumission. Son aptitude à l’envie de recevoir et de se donner.
Son regard en dit beaucoup.
J’aime, j’adore sa façon de réagir, elle devient mienne.
Entre caresses et palpations mon désir grandit aussi, dur.
Sa main s’égare sur mon sexe et l’envie devient insupportable.
Ne pas flancher de suite, trop facile, trop bref et sans plaisir extrême.
Petite pause pour stopper cette envie grandissante, pour stopper aussi la sienne. Pour reprendre encore plus fort cet instant sublime.
Je me dévoile un peu plus et lui fait découvrir non pas ma garde-robe, sourires, mais les objets fermés dans un placard, cachés aux yeux des simples couples vanilles qui pourraient venir.
Objets de torture ou de plaisir ?
Je suis étonné de sa réaction…… « D’autres n’ont pas tout cela et même parfois rien » Ferai-je partie de la cours des grands ? De ceux qui ne sont pas que de simples fantasmeurs ? Mon passé est là et bien réel. Pas de doute.
A cet instant je la veux, son corps, son âme.
Je veux l’entendre crier des mots, l’obliger à réclamer son plaisir, l’obliger à ne pas jouir de suite…. Je veux que cela dure longtemps.
Quelques claques sur les fesses, quelques coups de martinet, juger, tester, sans brusquer les choses.
Elle est face au sol, fesses relevées, cuisses ouvertes, à gémir de plaisir sous les coups de martinet qui s’abattent sur son dos. Je ne tiens plus. Son offrande si belle, si accueillante.
NON !!!!
Coups de cravache entrecoupés de doigtés dans cette source chaude et humide. Cette source en flamme. Ce côté dissemblable mais indissociable à la fois. Mélange d’eau et de flammes.
Cette interdiction de jouir me fait durcir au plus haut point.
Les termes fusent.
L’osmose se précise.
Les marques sur son dos m’incitent à continuer, plus fort mais en souplesse, sans faire trop mal, là n’est pas le but. Je ne suis pas un enfant qui cassera son « jouet ». Mon jouet je l’aime trop pour le jeter de suite. Ce jouet est à moi et ses cris étouffés me parviennent dans la tête comme un « encore MONSIEUR »
Je veux à cet instant que cette chienne prenne son plaisir, quand je le souhaite.
Chienne d’amour, de douleur, de douceur.
Je veux cette apothéose finale. Je décide. Je suis le Maître.
Je veux son plaisir final avant tout…. Physique.
Le mien… psychique pour ce premier jour.
Sur mon ordre, le mot clef est prononcé.
« Jouis, chienne, tu aimes ça, ne te retiens pas, ouvres toi, laisses toi aller, libères-toi. »
Et cet instant fut le summum de mon plaisir, c’est à dire le sien.
Voir que mon pouvoir pouvait déclencher une fontaine de jouissance me comblait entièrement. Plaisir d’échanger, de donner, de se donner, de voir cette si belle soumission qui était la sienne.
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