Déclic pour le 26

lundi 30 août 2004
par  Monsieur de Valmont
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INTRODUCTION

La jeune femme épilée intégralement, obscènement livrée aux regards, est allongée sur le dos à même une table de bois épais, les quatre membres ferrés étirés par des chaînes tendues depuis les murs de la salle. La tête est enserrée d’une cagoule de cuir noir épais d’où seule émerge une queue de cheval blonde. Un orifice pour la bouche et le nez est ouvert sur le devant. Des godes de fort diamètre dilatent le vagin et l’anus. Ses tétons, clitoris et lèvres sexuelles sont dévorés par de petites pinces crocodiles reliées à des fils électriques colorés. Sur son coté droit un grand homme sec au visage émacié, se tient droit. Il manie son long fouet de cirque. Le corps de la fille est secoué par des brutales décharges électriques, entre chacune d’elle la lanière s’abat laissant une mince trace rougeoyante, chaque impact inonde la pièce des rugissements de la fille qui malgré les diverses contraintes ne laissent pas douter de la force de ses réactions.

Devant un public d’une vingtaine de personnes, la jeune femelle subit les terribles et implacables assauts de son bourreau. Moi, son amant et maître, suis au bord de la petite scène. Mon sexe tendu est encapuchonné par un fourreau de cuir fin maintenu par une série d’anneaux métalliques. A ma disposition Claire, une jeune femme disposée en levrette devant moi, ses membres sont également entravés par des chaînes et des bracelets de cuir. Je glisse mon pal dans ses deux orifices soigneusement dilatés par un travail préalable. Ses seins sont étirés par des poids fixés par de courtes chaînettes aux tétons percés de lourds anneaux d’acier gris qui lorsqu’ils se touchent dans les déhanchements mettent le contact aux fils électriques qui relient les deux femelles. Ainsi elles partagent un peu le même sort.

A chaque mouvement Claire transmet en plus des décharges à sa complice de séance.

Ce spectacle haut en cris est le premier aboutissement de l’éducation d’Isabelle, la jeune suppliciée de ce soir.

Il y a à peine plus de quelques mois, cette jeune et jolie bourgeoise vivait selon des principes de bonne famille et avait encore son verni d’éducation classique. Depuis notre rencontre, sa vie a changé, elle a prit le rang de femme objet de plaisir.

******

I. LA RENCONTRE

Un soir sous la pluie battante une voiture accroche mon pare—chocs ! A son volant une jeune femme pressée, jeune charmante mais qui plus est, affolée. Elle me tend une carte avec son adresse pour réaliser le constat. Elle me laisse ainsi sous les trombes d’eau, juste un beau sourire enjôleur lorsqu’elle se rend compte de mon calme dans cette situation.

Le lendemain je prends rendez—vous pour constater les dégâts, en fait limités à une grosse rayure. Je la rejoins vers midi devant la porte du magasin de confection où elle exerce et après les civilités d’usage nous nous rendons à une brasserie proche, formulaire de constat en poche. Les papiers remplis nous faisons bien vite plus ample connaissance. Isabelle vendeuse de son état est plutôt en mal de confidences. J’apprends qu’elle est en butte aux avances des clients masculins de son établissement, c’est vrai que sous ses abords plutôt stricts, pantalon et talons plats, elle présente une plastique plutôt avantageuse. Ce qui, me dit—elle, ne lui rend pas la vie facile, son ami est plutôt du genre jaloux. Blonde, cheveux en arrière avec son chouchou, elle évoque plutôt la future jeune épouse et mère de famille. Mais quelques chose dans son comportement, sa distinction et sa grâce m’attire et réveille le chasseur qui est en moi. Isabelle serait—elle une perle à découvrir ?

Je décommande mes rendez—vous du début d’après midi et prétexte de temps libre pour échanger nos goûts pendant une longue pause déjeuner au restaurant. Sur le point de la reconduire, je lui glisse mon désir de la revoir dans des conditions moins stressantes. Ses yeux bleus s’éclairent et elle me décoche ce sourire enjôleur que je lui connais déjà. Nous convenons de nous revoir dès le vendredi soir pour régler à l’amiable les dégâts, son ami la délaissant pour un week—end de foot en Angleterre.

Je me souviens encore de cette attente devant notre point de rendez—vous. Elle me retrouve un peu plus féminisée par un chemisier échancré et une jupe droite fendue. Classe, chic, bcbg. Dirait—on... mais pas franchement sexy, au contraire de sa poitrine saillante et franchement généreuse.

Son ami trouve les tenues du magasin où elle exerce trop provocantes : des sous—vêtements aux robes plutôt légères de grands noms de la couture prêt—à—porter.

Au cours de la soirée dans un restaurant à l’atmosphère jeune et branchée, je découvre une jeune femme refoulée par son éducation : pas d’études poussées pour les filles dans la famille, elles doivent se marier et fonder un foyer, et par son ami tendre mais veillant à très vite avoir des enfants après leur futur et proche mariage.

Nos rapports se font plus et intimes et poussés par un lieu un peu désert en ce soir de fin de semaine nous décidons de rejoindre son appartement. Très vite nous échangeons des baisers après quelques caresses discrètes, nos langues se mêlent, nos gestes sont empressés, les boutons sautent, nos mains se caressent, mes doigts s’introduisent sous les replis de sa féminité. Juste retardés par ces horreurs constituées des collants qui emprisonnent ses hanches.

Encore une idée de son ami qui trouve les bas trop vulgaires, il ne veut pas qu’elle ressemble à une catin. Je lui rétorque que ce sont des attributs délicats et charmants, distingués et qui sur une si jolie ligne de cuisse ne pourrait que ravir l’amateur que je suis. Après l’avoir dépourvue de son collant, je découvre une beauté gracieuse aux formes élancées et fermes avec une poitrine aux tétons saillants et grumeleux. Je la dévore des yeux, des mains et enfin des lèvres.

Peu occupée des choses de la vie, elle conserve une timidité froide mais consent à dégager mon sexe de son pantalon, à se glisser contre son bassin. Je ne me retiens pas et la prends presque aussitôt de toute la longueur de mon organe. Apres cette brève action, elle éclate dans un timide mais révélateur orgasme, les joues brûlantes, la gorge déployée... Elle m’avoue presque honteuse avoir été prise vierge 6 ans auparavant par son ami et ne jamais vraiment jouir dans ses rapports.

Son inexpérience est flagrante mais touchante. Plusieurs fois de suite ses contactions et ses soupirs révèlent sa libération m’offrant ainsi le loisir de décharger dans un sexe à peine employé. Après une nuit presque blanche, et un déjeuner en amoureux, mon sexe montre des signes évidents de désir. Je la guide face à un grand miroir, et lui fait comprendre mon envie de la prendre debout face à la glace. Elle se rebiffe, son éducation réservée reprend le dessus, arguant que cela est plus agréable au lit, sur mon insistance elle accepte malgré tout et très vite ses cris changent de tonalité. Elle prend conscience de son plaisir face au miroir qui lui renvoi ses spasmes.

Je dois la laisser filer pour son travail, déçu de n’avoir pas eu la possibilité d’en profiter un peu plus. Notre promesse de nous revoir dès le soir et de me surprendre avive mon excitation.

Je ne suis presque pas surpris de découvrir le soir une jeune femme en jupe courte, talons plus hauts un corsage plus volage, un maquillage plus marqué et distinction qu’elle tient à me faire découvrir sur—le—champ des bas noirs à coutures... Je souris de tant de changements en si peu de temps. Je retiens mon envie de la prendre sur place mais la soirée nous attend ! Elle reconnaît et salue quelques clientes venues là ce soir et en particulier un couple de fidèles du magasin : Clara et Philippe, dont nous partagerons la table un long moment.

La nuit se termine dans son lit. Elle vit sa première relation à peine dénudée conservant ses bas, ses talons et son corsage, elle qui avait l’habitude d’être dans le noir et en pyjama... Elle prend de l’assurance, et reçoit aussi cette nuit là la semence de mon sexe dans la bouche. Au petit matin, c’est elle, avide qui attaque la première et englouti mon sexe encore endormi pour une fellation prometteuse. Elle est démangée par des désirs d’expériences en tous genres, avec force détails elle me relate ses envies : caresser une femme, elle en a grande envie dans son magasin, mais trop timide, elle ne parvient pas à réaliser, pourquoi pas non plus se donner à plusieurs hommes. Les femmes sont décidément si étranges, on les croit prudes, elles se révèlent être de terribles mangeuses d’hommes.

Nous nous quittons avec regrets, non sans une longue séance devant le miroir. Ce qui semble l’exciter au plus haut point.

******

Quinze jours s’écoulent. Le compagnon morne, le désir grandit. Je la retrouve dans le magasin, là j’achète une guêpière seins nus, rouge et noire, et devant son regard interrogateur je lui propose de l’essayer. Le calme propice du lieu l’incite après quelques hésitations à accepter. Elle en cabine, je glisse la tête à travers le rideau et redécouvre ce corps si délicat, maintenant enveloppé de voluptueux tissus. Depuis quelques jours, elle m’avoue se vêtir franchement plus sexy, au grand plaisir des ses patrons qui la voient enfin porter leur collection la plus attirante. Les questions de son ami fusent et sa jalousie devient de plus en plus insoutenable. Le programme est encore au foot ce week—end et pour une fois que le sport me sert, je suis bien décidé à l’utiliser.

Dès notre retour dans son appartement elle s’agenouille et m’offre une superbe fellation. Je ne me retiens pas et laisse mon excitation se vider dans sa bouche. Le calme revenu, je lui retire son corsage et sa jupe, lui demande si elle accepte de s’offrir régulièrement à moi dans ces tenues. Son visage radieux s’épanouit de son sourire et sans même penser à autre chose me répond que c’est bien normal pour elle qui découvre enfin sa féminité grâce à mes conseils. Je la guide vers le miroir et lui fais apprécier son corps à peine dénudé mais tellement plus aguichant. Elle ferme les yeux et me répond que depuis quinze jours les souvenirs de nos nuits la rendent folle. Je lui glisse à l’oreille être un homme naturellement autoritaire et exigeant. Je rêve de la posséder dans les endroits et dans les situations les plus inimaginables et que depuis notre accident de parking, je bénis chaque heure qui passe de nous avoir fait nous rencontrer. Je me mets nu et place mon sexe contre sa peau pour lui faire sentir la présence de ma virilité dans le sillon des fesses. Devant le miroir je lui empoigne les seins du plat de la main, je malaxe les tétons entre mes doigts.

— Je parie que tu n’as jamais envisagé d’être pénétrée ailleurs que par le sexe ?

Elle ouvre ses yeux et par le reflet du miroir me regarde :

— Cela doit être douloureux ?

— La douleur peut sublimer le plaisir si douleur il y a, et puis il faut connaître pour savoir si cela fait mal.

Très vite elle comprend que son prochain don de soi passe par l’abandon de ce petit orifice à mes désirs. D’ailleurs mes mains ont quitté sa poitrine pour caresser ses hanches puis les fesses. D’une main je ramène son humidité vers la petite corolle, puis avec un doigt ouvre le passage, elle agite la tête en signe de refus, collé dans son dos, je lui demande de se laisser faire, de m’obéir pour son plaisir.

“Tu dois être expert en la matière.....Ne me fais pas mal” sont ses presque derniers mots.

Et mon doigt ouvre le premier chemin dans son fondement.

Evidement je suis ravi de ces facilités, mais mon plaisir est un peu terni par l’obligation de délicatesse promise. Une si belle proie ne doit pas se perdre, et surtout pas si tôt.

Je la fais ployer vers l’avant, ouvrir le fuseau des cuisses gainées approche mon sexe du vagin trempé dès à présent, je l’utilise comme un lubrificateur, puis deux doigts introduits dilatent un peu cet orifice rétif, je m’approche, sexe dur comme une branche, je profite de ce moment exceptionnel : l’offrande d’un anus vierge. L’huile naturelle d’Isabelle facilite l’intromission, très serrée et surtout crispée par la position, elle râle mais ne me repousse pas. Elle présente de bonnes dispositions à l’obéissance cette enfant, lentement je m’enfonce dans le conduit de plus en plus serré mais de plus en plus libre. Son sphincter semble s’effacer à mesure que je progresse et c’est sans peine ni hurlement que je colle mon pubis à ses fesses.

— Alors ? Cette douleur ?

Elle agite la tête de gauche à droite, puis ouvre les yeux. Des larmes coulent sur ses joues.

Je souris, lui pose un baiser sur une joue :

— Tu es une femme comblée, tu connais les 3 orifices du plaisir, il ne te reste plus qu’à connaître les chemins qui mènent à la sublimation des orgasmes.

— Je me sens humiliée par ça

Je la pousse à se mettre à genoux, devant le miroir et lui offre son premier orgasme anal.

Comme toute vierge ses sensations sont vites décuplés, et l’ardeur que j’y mets la pousse à rendre grâce très vite, moins par plaisir que par cette sensation si étrange de se sentir envahie d’une façon si peu habituelle. Je lui offre un timide début d’orgasme, mais la sensation est si étrange qu’elle en suffoque pratiquement. Mon sexe est broyé par l’étroitesse exquise de l’endroit et jette un flot continu dans ce fondement vierge. Je me retire heureux malgré tout de ce coït si bref mais si puissant,

— Tu es si étroite que je me comporte en adolescent, il faudra que je revienne plus souvent !

Une fois encore son large sourire illumine son visage. Une petite toilette plus tard, un verre d’alcool fort à la main, je la voie se présenter dans une robe de chambre très quelconque, je la regarde d’un air goguenard,

— Si tu veux me séduire et me conserver, retire immédiatement cette robe de chambre et reste comme tu étais juste avant.

Les yeux brillants elle me regarde, hésite presque choquée, puis retire la robe de ses épaules, en baissant les yeux :

— Pardon j’avais un peu froid.

Je la prends contre moi, la réchauffe et la rassure sur sa beauté dans de telles circonstances.

— Il faudra que nous changions ta garde robe, toute ta garde robe...

— Oui mais comment vais—je faire, je ne suis pas seule ?

— Quitte ce mec ! Je possède un studio libre que je peux te prêter, puis si tu en as envie tu viendras chez moi !

Pendant ces belles paroles, je glisse ma main dans sa fente et titille le clitoris, elle est pensive puis les sensations dictées par ce petit organe la réveillent et me glisse à l’oreille :

— C’est peut être une solution.

Je la pousse sur le lit, l’allonge sur le dos, lui remonte les jambes toujours gainées de ses bas et de ses escarpins. Je m’agenouille devant le lit et détaille le sexe, je la fouille des doigts, un puis deux enfoncés jusqu’à la seconde phalange. Elle ne dit rien, s’offrant en tenant les cuisses bien ouvertes. Je la branle un long moment en tournant les doigts en elle, elle me demande ce que je fais, puis sans attendre la réponse halète de plaisir, me donnant l’occasion de ne pas répondre. Je la mets en levrette, bien ouverte, continue de la fouiller parfois en suçant le clitoris bourgeonnant. Enfin je m’installe derrière elle et la pénètre, l’enfile devrais—je dire et la lime profondément pendant une très long moment. Elle se jette à plusieurs reprises sur l’oreiller pour étouffer ses cris de plaisirs et me supplie enfin de la libérer, son sexe la brûle.

Je me retire en sueur, pour la contempler, défaite le corps ruisselant de perles de sueur. Je n’ai pas éjaculé, mon sexe reste donc parfaitement rigide. Isabelle le contemple et me regarde :

— Est ce raisonnable de quitter quelqu’un seulement à cause de ces instants sublimes ?

— Je n’ai pas joui Isabelle, j’ai encore envie de ton corps.

Elle ferme les yeux, se presse contre moi,

— Fais de moi ce qu’il te plaît, fais—moi encore jouir.

Je la couche sur le dos place ses jambes sur mes épaules et prends le temps de lui sucer les tétons durcis et terriblement attractifs. Puis seuls des mots crus sortent de sa bouche, que suivent les ronronnements d’une chatte en plaisir.

Les jours qui suivent sont un enchaînement de rendez vous cachés entre midi et quinze heures. Son couple commence à se disloquer, ses tenues, ses sous—vêtements, ses chaussures, tout change chez elle. Enfin après deux mois de cette vie, elle décide de quitter l’appartement commun et emménage dans le petit studio qui accueille nos ébats réguliers et enfiévrés. LIRE LA SUITE

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