Virginie espionne pour la CIA

3 Interrogée par les services secrets du colonel
jeudi 4 juin 2015
par  BORIS
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Le camion stoppa dans la cour de la forteresse. Je fus escortée, nue et enchaînée, à la prison militaire par des gardes. Nous traversâmes une série de portes en fer et de couloirs puis descendirent plusieurs escaliers. Au troisième sous-sol, je dus entrer dans un cachot sombre et humide. Un anneau métallique était scellé au mur à environ 70 cm du sol. Mes chaînes furent raccourcies et attachées à l’anneau mural. Toujours entièrement nue et les mains menottées dans le dos, je ne pouvais ni m’asseoir ni me tenir debout. Je fus obligée de rester accroupie sur mes genoux, les jambes écartées pour trouver un minimum de confort. On retira mon bâillon métallique et je fus forcée de boire plusieurs litres d’eau. La porte à barreaux de mon cachot fut fermée et on me laissa ainsi seule. Un garde armé surveillait en permanence l’entrée du cachot. Après la relève, le garde partant ouvrit la porte et entra : il baissa son pantalon et je pus voir son énorme sexe en érection. Il s’amusa à me gifler avec son sexe puis l’introduisit dans ma bouche et finit par éjaculer sur ma poitrine.
Au petit matin, le colonel vint dans mon cachot. Il était élégant habillé d’habits légers et sentait bon le parfum. Mon cachot sentait l’urine, car je n’avais pu me retenir pendant la nuit. Il ordonna au soldat de garde de laver le cachot et la prisonnière. Avec un jet à haute pression, on m’aspergea d’eau froide sur tout le corps en insistant sur mes parties intimes. Glacée, mais lavée du sperme qui avait séché sur mon corps, la chaîne qui maintenait mes pieds et mes mains à l’anneau mural fut détachée. Je dus me mettre debout mains toujours menottées dans le dos et chaînes aux chevilles.
– C’est l’heure de la promenade sale garce. Il te manque plus qu’un soutien-gorge de prisonnière.
On m’encercla chaque sein avec deux anneaux métalliques reliés par quatre tiges en acier. Les anneaux furent serrés au maximum comprimant ainsi mes seins. Une lanière en cuir passant derrière ma nuque reliait les anneaux et maintenait ainsi mes seins en hauteur comme l’aurait fait un soutien gorges push-up. Mes lèvres intimes furent reliées par une petite chaînette avec des pinces à chaque extrémité. C’est ainsi que je dus monter trois étages d’escaliers (la chaîne de mes chevilles étant juste assez longue pour gravir une marche après l’autre). Nous traversâmes le local de garde où plusieurs soldats purent me contempler enchaîner, les seins comprimés dans des anneaux métalliques, une chaîne pendant dans mon entre-jambe. La traversée de la cour de la forteresse prit une bonne dizaine de minutes tant mes mouvements étaient limités par les chaînes de mes chevilles. Arrivée au milieu de la cour, mes bras furent attachés au-dessus de ma tête à un poteau en bois. Je restai ainsi, en plein soleil, exposée pendant de longues heures. Un soldat vint m’enduire le corps d’une sorte de graisse pour éviter les coups de soleil. Lorsqu’il frotta mes seins et massa longuement mon sexe, je compris immédiatement ce qu’il voulait. Je simulai un orgasme rapidement pour écourter les attouchements de ce crétin puant l’alcool. Certain d’avoir eu le dessus, il me quitta satisfait de lui-même. Amina, qui buvait un cocktail sur la terrasse des officiers, observa la scène. Elle s’approcha de moi et me tira fortement les cheveux :
– Il me semble qu’il te faut peu pour jouir aujourd’hui ?
Elle introduisit deux doigts dans mon vagin et compris immédiatement mon stratagème
– Espèce de garce, un soldat consacre une partie de sa pause pour te soulager et tu simules.
Elle fixa un poids de 500 grammes à la chaîne liant mes lèvres intimes et une pince avec un poids de 500 grammes au bout de chacun de mes seins. Je dus attendre le coucher du soleil les lèvres et les seins étirés par les poids. Je restai la plus immobile possible, car chaque mouvement entraînait des douleurs sur mes parties intimes.
En début de soirée deux soldats vinrent me chercher et m’escortèrent au sous-sol. Nous entrâmes dans une pièce lugubre, je pus juste lire sur la porte : « chambre d’interrogation — femmes ». LIRE LA SUITE



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