Le pensionnant
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Dans la nuit, je sentis quelqu’un me détacher. J’ouvris les yeux, mais les refermai immédiatement, éblouie par la lumière vive des néons. Quand mes yeux furent habitués à la lumière, je vis que c’était mon surveillant. Il avait enlevé tous les liens qui me retenaient à la table. Je tentai de me relever mais il m’en empêcha et continua son travail. Il m’enleva la culotte et les godes doucement. Il me fit signe de me lever, je descendis de la table me sentant toute engourdie et encore endormie. Il prit mes poignets et me les attacha dans le dos. Il me fit me pencher en avant et sorti de sa poche un petit sachet contenant un nouveau plug. Il me l’enfonça doucement, je n’avais plus la force de résister. Je le suivi ensuite jusqu’à ma chambre. Il attacha les bracelets de mes poignets ensembles puis à l’anneau sur l’avant de mon collier. Il finit par attacher mon collier au montant du lit. Il me dit de m’allonger et me souhaita une bonne nuit. Je me rendormis rapidement.
A 6h, une forte sonnerie retentit pendant quelques secondes, me réveillant en sursaut. J’essayai de me lever du lit, mais fut immédiatement retenue par mes chaînes. Énervée et courbaturée, je n’eus d’autre choix que de me rallonger en attendant qu’on vienne me détacher. Mon surveillant arriva et m’emmena prendre une douche.
Tout au long de la semaine, je pus ainsi m’habituer au quotidien du pensionnat. Le matin, on venait nous détacher, on s’habillait puis on allait manger. Nous devions ensuite nous débrouiller pour toutes passer dans la salle de bain pour être prêtes à 7h. Ensuite, comme les cours ne commençaient que la semaine d’après, cette semaine était réservée au ménage. On nous attribuait donc une tâche ménagère pour la matinée. Tout devait être irréprochable pour la rentrée. Quand les surveillants n’étaient pas satisfaits de notre travail, ils nous attachaient dans un coin et nous mettait des coups de cravaches. Les surveillants n’avaient pas le pouvoir de nous programmer des punitions, mais ils pouvaient faire part de nos erreurs aux Maîtres. Puis nous mangions et passions l’après-midi avec nos Maîtres ou un surveillant. Comme j’étais nouvelle, c’est avec Maître RJ que je passais mes après-midis. Il m’expliquait le fonctionnement l’école et ce que ma vie serait après. Puis il avait décidé de s’occuper de mon cul toute la semaine. Il me fit deux longs et désagréables lavements cette semaine-là et passait deux heures par jours à m’enfoncer différents objets dans le cul, de plus en plus gros.
Chaque soir, je reçus une punition pour diverses fautes ou simplement pour m’habituer à telle ou telle chose. Je pu discuter à nouveau avec 12 et nous devinrent un peu plus proche. Le samedi après-midi, mon Maître me pesa. Il me dit que mon poids confirmait ses pensées et que j’avais besoin de perdre cinq ou six kilos. Il m’annonça que je serai intégrée à un programme de sport qui commencerait dès la rentrée. « Tu seras réveillée plus tôt et tu rejoindras Maître F. Il est spécialisé dans la perte de poids. Ne t’inquiète pas tu ne seras pas la seul à suivre ses cours. Tu bénéficieras également d’un régime alimentaire adapté. »
Le dimanche après-midi, aucune activité n’était prévue. On m’indiqua que cette demi-journée serait toujours libre sauf cas très exceptionnel. Il y avait peu d’occupation à notre étage alors je passai l’après-midi à discuter avec les autres filles. La fille qui partageait ma chambre arriva dans l’après-midi ce qui nous permis de faire connaissance. Très belle, elle était grande et avait des cheveux châtain clair un peu frisés par endroit. Sa poitrine était très développée, elle devait faire au moins du F. Ses longues jambes étaient magnifiques, affinées par le port des escarpins. Mais elle était peu bavarde et je la trouvai un peu hautaine. Elle portait le numéro 23 et comme 12, cela faisait un an qu’elle était ici.
Lundi matin. 4H55. J’entendis vaguement que l’on me détachait, puis quelqu’un tira brusquement sur mon collier. J’ouvris les yeux puis les baissais immédiatement. Je m’étais fait punir plusieurs fois pour avoir regardé un homme dans les yeux. Je n’eus pas le temps de voir son visage, mais en voyant ses habits je sus que c’était un surveillant. Il m’avait détaché les mains de mon collier et m’avait mis une laisse. Il tira encore une fois pour me faire me lever. Encore ensommeillée, je le suivis. Il me tira jusque dans la salle de bain où il entreprit de me mettre un corset. Celui-ci était noir, il avait la particularité de soutenir mes seins tout en les laissant libre. Il prit soin de le serrer le plus possible au niveau de la taille, ce qui me rendit ma respiration difficile. Il remplaça ensuite le plug que j’avais dans l’anus par un gode assez gros. A l’extrémité de ce gode il y avait un petit anneau auquel il attacha deux cordes élastiques. Il m’enfila des bottines à lacets noires montant jusqu’à mi-jambe, avec des talons de cinq centimètres et avec un petit anneau derrière les chevilles. Il serra étroitement les lacets et relia les élastiques du gode aux anneaux des chaussures. Je dus serrer les fesses pour retenir le gode en moi. Puis il attacha une corde derrière mon collier qu’il fit passer entre mes fesses, entre les lèvres de mon sexe et il fixa l’autre extrémité devant mon collier.
Il tira sur ma laisse et je le suivis. Il m’emmena vers une porte que je ne connaissais pas, située à côté des escaliers menant au sous-sol. Elle donnait sur l’extérieur. Il faisait assez froid à cette heure et en sentant le courant d’air s’engouffrer par la porte, je m’arrêtai. Le surveillant poussa un juron et tira un coup sec sur la laisse. Je repris la marche en frissonnant. Le système avec les élastiques faisait sortir le gode de mon anus à chaque pas et je devais serrer les fesses pour le retenir, c’était infernal. Sans parler du corset qui me coupait le souffle. Nous traversâmes une petite cour puis entrâmes dans une salle aménagée comme un petit gymnase. Plusieurs filles étaient déjà là, équipées comme moi. J’en connaissais certaines qui venaient de mon étage. Elles se tenaient devant un Maître à l’allure sévère, sa cravache à la main, ce devait être Maître F. Le surveillant me laissa et partit. LIRE LA SUITE
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