L’éducation de Kate
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Après ce bref repos, Thomas me dit :
« Kate, tu vas te faire belle ce soir pour faire honneur à ton maître. Tu prends un bain chaud parfumé, tu vérifies ta pilosité et s’il le faut, tu te rases minette et tout poil superflu. Tu mettras ta robe noire et tes escarpins noirs à talons hauts. Quand tu as fini, tu viens me rejoindre en bas pour inspection. Tu as une heure. »
Au bout d’une heure, je me sens fraîche, parfumée, bien coiffée. N’ayant pas la robe noire demandée avec moi, je ne mets que les escarpins pour descendre encore nue l’escalier et rejoindre Thomas au salon.
Il est prêt, habillé en tenue de soirée, le col de sa chemise déboutonnée. Il est assis sur le canapé en train de lire.
Je me place devant lui à un mètre environ en position d’inspection, les mains derrière la tête, les bras tirés en arrière pour faire pointer ma poitrine en avant, les jambes bien écartées, le regard droit devant.
Il ne lève pas le nez de son livre, puis après un long moment, cinq minutes peut-être qui me semblent interminables, il le pose à côté de lui. Sans un regard vers moi, il se lève et se dirige vers un meuble au fond de la pièce. Il revient avec le petit paquet laissé devant la porte. Il le met à côté du livre et se retourne vers moi. Il passe alors sa main sur mes jambes, mes aisselles et mon minou. Il me fait me retourner et pencher en avant pour inspecter mon cul qu’il effleure pour vérifier toute trace de pilosité.
« Tu peux te redresser, petite pute, face à moi. C’est bien, tu es lisse de partout.
Voyons voir ce colis. »
Il l’ouvre et en sort plusieurs pinces à sein reliées par une chaînette et tout un assortiment de poids.
« Approche un peu. Présente tes seins. »
Il y accroche une paire de pinces à mes tétons. Ça va, elles ne sont pas trop fortes. Puis, il y suspend quatre des poids.
« Tu vois avec ces poids, tu sentiras mieux les pinces. Présente ta chatte. »
Je me mets le ventre en avant le sexe béant écarté par mes deux mains.
Il accroche quatre pinces reliées par une chaînette à mes petites lèvres et y suspend, là aussi, quatre poids.
Ça tire dur, dur sur mes mamelons et sur mes petites lèvres. Ça commence à faire mal, très mal.
« Tu te penches un peu en avant pour faire pendre les poids et tu vas au fond de la pièce, puis tu reviens en marchant lentement. Tu veilles à balancer les seins et ton cul pour faire bouger les poids. Tu arrêteras quand je le voudrai. Exécution ! »
La marche dans ces conditions, sur de hauts talons qui plus est, s’avère des plus pénibles à supporter. Les pinces semblent mordre de plus en plus fort et mes chairs sont tiraillées par ces poids qui doivent peser une tonne.
Thomas me regarde marcher en claudiquant et je gémis à chaque pas.
Après deux allers et retours. Il me fait m’arrêter devant lui et reprend son livre :
« Tu gardes ces pinces pendant encore un quart d’heure. Tu pourras passer ta robe ensuite. »
Le quart d’heure me semble durer une heure tant j’ai vraiment mal.
Il pose son livre et pince après pince, il délivre mes tétons. Je crois m’évanouir tant ça fait mal. Je respire un grand coup, puis souffle tout doucement pour ne pas crier. LIRE LA SUITE
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