Les confessions de Marie-Noëlle
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Vers l’âge de 12/13 ans j’avais trouvé dans la bibliothèque de mon père un bouquin sur l’inquisition et j’avais été troublée par toutes ces images de femmes nues soumises à des sévices très éprouvants par des moines durs et dominateurs. Au lieu de plaindre toutes ces femmes j’éprouvais le besoin de me mettre à leurs places et j’aurais voulu en pensée que ces moines me fassent subir toutes ces contraintes, ces sévices, il me semblait que j’en aurais éprouvé du plaisir plus que de souffrance. Presque tous les jours j’allais feuilleter cet album et le soir je faisais dans mon lit des rêves ou j’étais la proie de ces moines qui m’enchaînais, m’attachais sur des croix, me mettais en cage, me fouettais, enfin me faisais subir toute sorte de sévices et je m’endormais heureuse.
Plus tard j’ai commencé à réaliser mes rêves, en effet le soir lorsque mes parents étaient endormis je me mettais entièrement nue me liais les mains et les pieds avec des cordes et m’allongeais sur le balcon de ma chambre en me forçant à supporter le froid pendant de longues minutes parfois même ¾ d’heure à 1 heure. Un jour que j’étais ainsi immobile allongée sur le dos un frisson de plaisir est parti de mon ventre pour remonter vers mon cou c’était merveilleux, je ne savais pas ce que c’était, j’avais un peu peur, mais c’était si bon que j’aurais voulu que ça recommence et que ça dure plus longtemps. J’ai appris par la suite que c’était un orgasme. En effet un jour au lycée, nous étions quelques copines qui parlions des garçons, l’une d’elles, plus délurée que les autres nous raconta que depuis quelques temps elle se touchait le sexe (se branler disait-elle) et obtenait ainsi un orgasme. Lui demandant ce que c’était un orgasme, elle me décrivit le frisson de plaisir que j’avais eu sur le balcon. Ainsi je sus que ce n’était pas dangereux qu’on pouvais en avoir plusieurs et que si c’était toujours aussi bon, il pouvait y en avoir de beaucoup plus forts qu’ils peuvent durer plus longtemps et que c’est encore meilleur.
Mais je ne comprenais toujours pas pourquoi j’aimais souffrir, a tel point que maintenant lorsque mes parents s’absentaient le soir, c’était dans le jardin que j’allais nue une corde autours du cou comme les filles que les moines tiraient derrière eux, meurtrissant mes pied nus sur les gravillons de la cour m’allongeant sur la terre, me fouettant avec une baguette que j’avais fabriquée avec une branche d’arbre du jardin, marchant à quatre pattes et me (branlant) j’obtenais alors de merveilleux orgasmes. Les jours où il faisait plus froid et où la pluie tombait, mes orgasmes étaient plus forts et duraient plus longtemps. Je rentrais à la maison trempée et tremblante de froid, mais tellement heureuse que je sautais de joie. J’ignorais toujours pourquoi j’aimais tant me faire souffrir.
Je ne devais l’apprendre que lorsque j’avais 17 ans en terminale. En classe de 1ere je suis devenue copine avec une fille rentrée en cour d’année, Nathalie, nous sommes devenues inséparables nous avions les mêmes goûts, nous n’avions qu’un seul mois de différence moi de janvier, elle de février. Elle était très jolie, blonde et moi cheveux châtain. Nous nous entendions très bien et nous nous faisions des tas de confidences, nous étions devenues inséparables. Mais je ne lui avais pas encore avoué mes pulsions, je n’osais pas et surtout ne savais pas comment m’y prendre pour lui expliquer sans la choquer. Nathalie était plus instruite sexuellement car elle avait un frère de 4 ans son aîné qui l’initiait de temps en temps, il avait une copine et parfois Nathalie les entendaient parler dans leur chambre en faisant l’amour. Son frère avait aussi quelques revues et livres que mon amie avait lus. Un jour que j’étais allé chez elle et que nous étions seules dans sa chambre, ce fut elle qui m’a demandé si je savais ce que c’était être Masochiste, lui ayant répondu que non je ne le savais pas, elle m’expliqua que c’était des personnes qui aimaient subir des sévices, se faire battre, être esclave etc...Je tombais des nues ainsi j’étais masochiste et je ne le savais pas ou tout au moins je ne savais pas qu’il existait une appellation à mes pulsions. Nathalie voyant mon trouble, me demanda si j’étais choquée parce que me dit-elle, je suis une masochiste convaincue et je ne voudrais pas qu’à cause de ça nous ne soyons plus amies. Je la pris dans mes bras et lui dit qu’au contraire j’étais très contente car moi même j’adorais subir des sévices, être liée, battue, enfin tout ce que tu dois aimer toi même. Elle pleura de joie pour finalement m’embrasser sur la bouche très amoureusement et j’avoue qu’au lieu d’être choquée je ressentis un plaisir évident à lui rendre son baiser encore plus langoureux que le sien. Nous avons continué à nous embrasser de longues minutes, puis nous nous sommes caressée, d’abord la poitrine, puis elle me mit la main sur mon sexe par dessus ma robe et je fis de même, puis remontant ma robe elle introduisit sa main dans ma culotte je fis de même et nous nous sommes branlées l’une et l’autre jusqu’à ce qu’un orgasme d’une intensité que je n’avais jamais eu et que nous avons eu ensemble, nous submerge. Ainsi nous étions devenues en l’espace d’un moment deux amantes doublé de deux masochistes. LIRE LA SUITE
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