Une autre histoire

Chapitre 1
mercredi 12 août 2009
par  Tuo
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19h45…

Rentrée chez moi, je me déshabillai rapidement et enlevai tout mes bijoux pour finir complémentent nue chez moi. Mon reflet dans le miroir m’offrait la vue de mon sexe complémentent lisse et finement épilée de l’après midi, ce qui me troublait beaucoup. Comme il m’en avait informé par nos échanges de mails, un paquet avait été livré à mon attention et le concierge de mon immeuble l’avait déposé dans mon salon. Je m’agenouillai devant le paquet et je me rendais compte que ce devait une des toutes premières fois que j’étais complètement nue dans mon propre appartement. Le carton était assez lourd et lorsque je l’ouvris, j’ai découvert 2 paires de bracelets en métal chromé larges et épais qui se fermaient chacun par un cadenas ainsi qu’un collier muni de la même fermeture. Enfin, un masque de velours noir et une lettre complétait le paquet. Le mot était court et simple : « Nue. Cou, poignets, chevilles. Yeux bandés. J’aurai la clé en venant. Si tu n’es plus d’accord, je le comprendrai en trouvant ta porte close alors que si tu es toujours d’accord pour te livrer à moi sans retenue, ta porte sera entrouverte et toi préparée comme nous en avons discuté. Tu n’as pas à en savoir plus le moment. Interdiction de te caresser ».

Des frissons me parcoururent tout le corps : j’étais à 15’ d’ouvrir ma porte à un inconnu en l’attendant, nue, à genoux, yeux bandés et parés de ces colliers et bracelets, accessoires tellement nouveau et fantasmagoriques pour moi, sans la moindre idée de ce qui pourrait m’arriver…Mais en mon for intérieur, je savais que j’irais jusqu’au bout.

En effet, l’assurance que je pouvais afficher tout les jours dans mon travail de cadre financier se doublait d’une pudeur et d’un manque total de confiance dans ma vie privée. J’avais changé de ville après mes études de finance et m’était donné corps et âme à mon travail, laissant de côté ma vie privée et intime. Mon ascension fulgurante dans la société ou je travaillais compensait largement le manque de relations mais aussi de sexe, sur lequel je n’étais d’ailleurs pas très porté.

Un soir, rentrant tard du travail (comme tous les jours), je suis tombé en allumant machinalement la Télé sur le film histoire d’Ô. Découvrir cette jeune femme acceptée cette vie de servitude, de tourments et d’humiliations me mis les sens en émoi. Je ne parvins à m’endormir cette nuit là qu’après une très longue séance de caresses et d’orgasmes solitaires, où des images d’inconnus se servant de mon corps entravé pour leur plaisir se mélangeait à d’autres où je me substituais à l’héroïne du film prise par ses Maîtres dans sa robe longue laissant visible sa poitrine.

Plus que troublée par ces pratiques, je passai alors pas mal de temps le soir sur le Web, sur des sites spécialisés mais la plupart des choses que je voyais ou lisait me répugnait plus qu’autre chose : les mots, les pratiques extrêmes, les annonces plus que vulgaires…Au fur et à mesure, j’affinais mes fantasmes : m’abandonner à une soumission plus cérébrale ou je ne serais plus maitre de mon corps et de mon plaisir, avec un homme raffiné et intelligent, qui saurait m’emmener vers un plaisir qui me manquait de plus en plus.

Je me suis inscrit alors très anonymement sur un site d’annonces spécialisées, sous le pseudo Novice Léa (mon prénom), sans photo ni annonce ni description physique (très favorable je pense), avec juste mon âge et un court et clair message : jeune femme émue par les aventures de Ô souhaite échanger soit avec des jeunes femmes vivant ou ayant vécues ce type de soumission ou des maîtres qui auraient pratiqué de telles initiations ».

Après avoir reçu quantité de mails plus sordides et vulgaires les uns que les autres, je décidai de renoncer, pensant que de telles aventures n’’existaient que dans les livres. J’ouvris malgré tout un dernier message qui tranchait avec la vulgarité des autres.

« Très chère Léa. Tout d’abord, permettez moi de me présenter : mon prénom est A, j’ai 38 ans et suis célibataire. Je pense disposer d’une bonne éducation et jouis d’une situation sociale assez haute. J’ai été très touché par votre message. Sachez que j’ai une certaine expérience dans ce type de relations et que j‘ai déjà éduquée une jeune femme de 24 ans qui se prénomme Aurélie. Cette jeune femme s’est complètement abandonnée à la réalisation de ses fantasmes et ce qu’elle a pu vivre la même initiation que votre héroïne.

Je serais flatté que vous acceptiez de converser plus avant avec moi et j’espère peut-être vous éclairer sur la route encore peut-être un peu sombre de vos fantasmes. Bien dévoué. A ».

Je n’en croyais pas mes yeux et rapidement, j’enviais et imaginais cette jeune femme du même âge que moi, entravée, prise, a demi nue, fouettée…Je donnais rapidement suite à ce message bien écrit et débuta alors une correspondance avec A, ponctuée de longues séances de caresses.

Je répondis rapidement à ce message et notre correspondance devint quotidienne. Je ne répondais jamais du travail, mais une fois chez moi, je m’empressais de vérifier la nouvelle boite mail que j’avais spécialement crée et me délectais des messages de mon mystérieux correspondant. Il sut lever ma méfiance naturelle (je ne savais rien sur lui) en m’encourageant à parler de ces échanges à quelqu’un. Je me mis donc à en parler à ma cousine Claire, qui était une sorte de petite sœur et confidente pour moi. 19 ans, blonde, cheveux courts, allure sportive et belle comme un ange, je l’avais accompagnée depuis son premier baiser jusqu’à sa première relation sexuelle, et nous savions à peu prés tout l’une de l’autre, jusqu’au détail les plus intimes…sauf mon jardin secret où j’étais humiliée, rudoyée, attachée…

J’avais un peu édulcoré ma relation avec A, mais je voulais que quelqu’un sache que je discutais sur la toile avec un inconnu au cas où !

Les mails se transformèrent en chat régulier puis quotidien : en fait, je posais des questions et il m’expliquait sa vision des choses. Il m’a expliqué que pour lui, il était important que les 2 protagonistes prennent du plaisir dans ce type de relations. Les vêtements avaient une grande importance à ses yeux, et il considérait qu’une soumise devait être interdite de pantalons et de collants. Les dessous quand la soumise était autorisée à en porter devait lui rappeler à chaque instant sa condition. Mais pas de mini jupe en cuir ou de décolleté plongeant. Tout devait être de bon goût et discret, même si une certaine forme d’exhibition devait être au programme de du dressage (je reprends ses termes). De même certains tourments physiques et moraux devaient ponctuer ce parcours, mais ne devaient en aucun cas mettre en danger l’intégrité physique ou psychologique de la soumise…

Ces échanges se poursuivaient très tard dans la soirée. Ma méfiance dans cet inconnu diminuait, et mon envie de me livre à lui naissait dans mon esprit. Je me pris même à changer légèrement mes habitudes vestimentaires, m’habillant en jupe un peu plus souvent. J’ai également acheté une nuisette en soie que je portais chez moi, pendant mes discussions avec A. J’adorais le contact de la matière sur mon corps nu, en particulier sur mes seins libres Un jour, il me proposa de m’envoyer des photos de la jeune femme qu’il avait déjà éduquée. Bien entendu, j’acceptais et le lendemain, je m’impatientais de rentrer chez moi et de découvrir ce que A. m’avait envoyé…

Je suis rentré tard ce soir là ; Je n’ai pas pris le temps de me changer et je me suis jeté sur mon PC. Un mail de A…lourds…donc des photos…Il y en avait 4, de la même jeune femme, le visage soigneusement méconnaissable, dans un intérieur qui semblait de bon goût et propre. Des légendes accompagnaient les photos.

« Son premier jour d’éducation » : photos de 3/4 arrière, la tête tournée où la jeune femme avait les poignets ramenés dans le dos et liés à l’aide de lourds bracelets cadenassés l’un à l’autre avec les coudes pliés. On distinguait une toison pubienne assez fournie. Un peu de cellulite sur les fesses et les cuisses, les chevilles reliées par une chaîne et 2 bracelets identiques, la nuque dégagée sur un large collier du même métal que les bracelets. Des seins ronds et plus gros que les miens qui semblaient tenir tout seuls, les tétons dressés vers le ciel.

« Première séance d’attente » : la même jeune femme de face, les cheveux bruns ramenés en chignon et la tête baissée. A genoux, les cuisses bien écartées, son sexe était complètement épilées. Elle portait une guêpière qui laissait apparaître une bonne partie de sa poitrine qui semblait généreuse et de larges jarretelles tenaient des bas blancs très opaques. Elle ne portait pas de chaussures. Ses poignets étaient reliés au dessus de sa tête et reliés à une chaîne qui tirait sur ses bras tendus.

« Combinaison » : de face, la jeune femme portait une combinaison intégrale noire qui a recouvrait des pieds aux mains avec une cagoule munie d’un zip fermé au niveau de la bouche. Pas d’ouverture pour les yeux. Pas un bout de peau visible. Une barre fixée aux chevilles écartait ses jambes et une autre reliée aux poignets les bras. Le collier des 2 précédentes photos était cette fois ci munie d’une lourde chaîne qui pendait par terre. Les 4 membres étaient également fixés sur un châssis et il semblait que ses pieds nus ne touchaient quasiment pas terre.

Enfin la dernière photo, de ¾ également s’appelait « après la première punition » : la jeune femme était nue, à genoux. Il me semblait qu’elle avait maigrie et que son corps était maintenant parfait. Ses bras étaient ramenés dans le dos avec une corde et ses coudes étaient joints également par une corde du même type. Un bandeau cachait une bonne partie de son visage. Les bras tendus à nouveau par une chaîne. On distinguait très nettement un bâillon et ses reins étaient remplis d’un plug. Ses fesses fermes étaient rouges de la punition probablement subie peu de temps avant.

J’étais complètement sous l’emprise de ces photos. Ma main avait trouvé un chemin dans mon pantalon et ma culotte et mes doigts allaient et venaient dans mon ventre. Je ne trouvais pas la force de répondre à A tout de suite, tellement le désir que m’inspiraient ces images d’Emilie était fort. J’enlevais mes vêtements tellement brusquement que ma culotte noire craqua. Je m’allongeais sur le lit, ouvrit le tiroir de la table de nuit et chercha nerveusement le sex toy offert par mes anciennes copines lors de mon exil…Il trouva rapidement un chemin vers mon ventre humide et brûlant, et je me fis jouir à plusieurs reprises, me substituant à Emilie dans les situations des photos. Une fois rassasiée, je retrouvais peu à peu mes esprits allongée nue sur mon lit trempée de ma sueur, l’entrecuisse encore brûlant. Mais une chose apparaissait comme claire : je devais vivre cette expérience et me devenir l’esclave de A…


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Commentaires

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mardi 1er septembre 2009 à 14h25 - par  Michel69

super début Tuo, j’aime ce style de récit initiatique
A bientot de vous lire