Aménia

mercredi 11 novembre 2009
par  Monsieur Pat
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Cadre dans une grande entreprise, j’avais de par mes fonctions droit à une secrétaire particulière à mon service. Sans être une véritable pin up, son visage était plutôt ordinaire, mais son corps d’un peu plus de vingt ans avait une certaine sensualité, en particulier ses seins qui avaient à chaque fois le don de me mettre dans tous mes états. Malheureusement, il était dommage qu’elle s’habille de jean et de sweat-shirt, sa féminité s’en trouvait masquée. Plutôt du genre timide, nos relations n’étaient que purement professionnelles, encore que je la surprenais parfois à me regarder avec des yeux plutôt pétillants. Je dois dire qu’elle m’attirait, d’abord par son corps et, mais plus particulièrement par sa timidité.
À l’époque j’avais déjà une petite amie, Nat, avec qui j’avais eu au départ des rapports tout à fait normaux, puis que j’ai amenée petit à petit à l’obéissance, jusqu’à ce qu’elle soit prête à signer un contrat de soumise à mon égard. J’ai voulu faire d’une pierre deux coups, faire signer le contrat à Nat, et tester Aménia, ma secrétaire.
J’avais convoqué Nat à mon bureau et appelé Aménia pour qu’elle me tape ce contrat.
— Mademoiselle Aménia, vous allez prendre note du contrat que je vais vous dicter.
J’ai commencé alors à énoncer tous les devoirs que Nat s’engageait à respecter : Que sa principale préoccupation serait de me donner du plaisir, qu’elle devrait vivre nue dans son appartement et sans sous-vêtements à l’extérieur, que son corps m’appartiendrait entièrement et que je pourrais le prêter à qui bon me semblerait, et toutes autres formes de don de soi, ainsi qu’une attitude de déférence envers moi.
Au fur et à mesure que j’énonçais ces obligations, je sentais Aménia être de plus en plus mal à l’aise. À la fin du texte, j’avais fait préciser que Nat signait ce texte sans contrainte, en prenant ma secrétaire à témoin, et que cette dernière devrait elle aussi parapher ce pacte. Le plus terrible a été lorsque je lui ai demandé de relire ses notes, elle était plus rouge qu’une pivoine du début à la fin.
— C’est bien mademoiselle Aménia, lorsque vous aurez rédigé ce contrat vous nous l’apporterez pour que mademoiselle Nat le signe.
Pendant ce temps, Nat s’était mise nue, et m’avait donné un petit avant-goût de la soirée que nous passerions ensemble. Aménia arriva et n’osa pas regarder Nat dans sa tenue d’Eve, les jambes écartées et les mains derrière la tête.
— Vous allez tenir les feuilles devant mademoiselle Nat pendant qu’elle les lira.
Tout le temps de la lecture, ma secrétaire ne regarda que ses pieds, et ne leva les yeux qu’à la fin de la lecture.
— Bien, maintenant Nat tu vas signer ce contrat, et Mademoiselle Aménia le contresignera pour prouver que tu t’engages sans contrainte ni obligation.
Une fois le traité signé, j’ai demandé à ma secrétaire d’en conserver un exemplaire dans les archives, un autre serait pour Nat, et le dernier pour moi. Puis je l’ai remercié pour ce travail personnel, et lui ai demandé de reprendre son travail.
Ma secrétaire est revenue plusieurs fois dans mon bureau dans la journée, sans que nous n’évoquions ce petit intermède du matin. Sauf le soir avant qu’elle ne quitte, je lui ai demandé ce qu’elle en pensait.
— Avez-vous été choquée par le texte que je vous ai fait taper ce matin ?
— Un peu Monsieur. Me répondit-elle embarrassée après un certain temps.
— Que pensez-vous de l’attitude de mademoiselle Nat ?
— Je ne sais pas Monsieur. Me dit-elle encore plus rouge.
— Pensez-vous que vous pourriez vous aussi vous engager comme elle ?
— Peut-être par amour, m’annonça-t-elle timidement.
J’avais marqué un petit point, et lui tendit la perche avant de la libérer.
— Vous savez, ce n’est pas difficile de faire plaisir à son chéri, vous pourriez commencer par vous habiller avec plus de féminité. Je pense qu’en jupe avec un joli chemisier, votre petit ami vous trouverait encore plus désirable.
Je vous souhaite un bon week-end mademoiselle Aménia.
— Merci, de même Monsieur.
Je savais très bien qu’elle n’avait pas de petit ami, car elle ne se trouvait pas suffisamment jolie pour attirer les garçons, et sa timidité n’arrangeait rien. J’avais hâte de la retrouver le lundi, pour voir si les regards qu’elle me portait parfois laissaient envisager quelque chose de plus concret.
Le lundi à 8 h précise elle entra dans mon bureau pour m’apporter le courrier, en jupe et chemisier.
— Je ne vous reconnais pas mademoiselle Aménia, cet ensemble vous va à ravir, vous êtes vraiment très attrayante ainsi.
J’eus le temps de la voir rougir, avant qu’elle ne retourne à son poste.
Maintenant il s’agissait de la mettre en confiance sans la brusquer. Lorsqu’elle revint me voir avant de partir, je lui lançai :
— Vous savez, mademoiselle Aménia, les chemisiers ce n’est pas comme les sweat-shirts, il n’est pas nécessaire qu’ils vous serrent le cou, vous devriez ouvrir un ou deux boutons sur le vôtre.
Le lendemain, elle revint avec un nouveau chemisier, mais cette fois il n’était pas fermé jusqu’en haut. Je décidai de la laisser tranquille aujourd’hui, je ne lui prodiguerais mes conseils qu’un jour sur deux, juste avant de la quitter le soir.
Mercredi, la journée se passa tranquillement, mais je revins à la charge en fin d’après midi.
— Je trouve votre jupe bien longue par cette chaleur, et puis cela ne met pas en valeur vos si belles jambes.
Nouveau rougissement avant qu’elle ne me salue. Le jeudi la vit arriver avec une jupe plus courte, par encore assez mini à mon goût, mais cela viendrait. Le vendredi je repasserais à l’attaque.
— Vous avez remarqué, je pense, que mademoiselle Nat ne portait pas de soutien-gorge. Au début cela la gênait, mais à présent elle ne les supporte plus, et trouve que cela la rend encore plus sexy. Je pense qu’il en serait de même pour vous, d’autant qu’il me semble que votre poitrine n’a rien à envier à celle de Nat, bien au contraire.
Elle avait le week-end pour réfléchir et franchir le pas. Le lundi, lorsqu’elle m’apporta le courrier, je m’aperçus avec satisfaction que ses seins étaient libres sous son chemisier. Feignant de ne pas l’avoir remarqué, je la complimentai sur sa tenue.
— Votre ensemble est magnifique aujourd’hui, vous avez quelque chose qui vous rend encore plus désirable que d’habitude, j’envie votre petit ami.
Ses rougissements m’excitaient au plus haut point. Je décidai d’attendre le mercredi pour passer une vitesse supérieure. Ce jour-là, j’étais bien décidé à ce qu’elle me montre sa poitrine avant de partir. Je l’appelai à mon bureau en milieu de matinée pour une raison professionnelle futile.
— Mademoiselle Aménia vous m’apporterez le dossier sur l’environnement, et puis j’aimerais vous demander quelque chose. Vous savez qu’aujourd’hui c’est le jour de mon anniversaire, j’aimerais, si vous vouliez me faire plaisir, c’est que chaque fois que vous entrerez dans mon bureau vous ouvriez un bouton supplémentaire à votre chemisier. LIRE LA SUITE

***

Vos commentaires seront les bienvenus. monsieur.pat@orange.fr


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Commentaires

Logo de Rêves de femme
dimanche 24 avril 2022 à 14h51 - par  Rêves de femme

Le lien est maintenant rétabli.

Logo de Henic
dimanche 24 avril 2022 à 14h00 - par  Henic

Je n’ai pu aller vers la suite du texte proposé dans la rubrique « au hasard » : un problème de lien ?

mardi 17 novembre 2009 à 19h19

félicitation, une histoire toute en finesse et douceur ce qui est rare dans ce site. J’attends la suite avec impatience Monsieur Pat.

Logo de B.
jeudi 12 novembre 2009 à 11h20 - par  B.

Bravo, félicitations, une histoire plus cérébrale que SM, tout en étant perverse à souhait. Belle manipulation laissant espérer une suite affriolante sur une descente sensuelle vers les abimes de la fantasmagorie vicieuse et excitante...
Bonne continuation !