Travesti

vendredi 4 mai 2007
par  Rainier
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1. La rencontre

Vous savez, il y a des instants dans la vie où il faut savoir ce qu’on veut. Ayant mis une annonce sur un site de rencontre gay, je ne m’attendais pas à avoir autant de succès. L’annonce disait ceci :
« Travesti, 31 a, 176, 74 kg, cheveux longs châtain foncé, épilé, maquillé. Porte-jarretelles, bas résille noire, mini-jupe, chemisier voile transparent, sandales noires de 10 cm. Recherche mecs actifs, endurant, chaud, BM, TBM, TTBM, pour me bourrer mes trous de Chienne travestie. »
J’accompagnais le texte de 2 photos où l’on me voyait. L’une de trois quarts dos où on voyait mes jambes. L’autre accroupie légèrement cambrée jupe remontée où on apercevait mes fesses, mon paquet et ma fente de travesti qui était bien ouverte, ayant pris soin de bien me goder avant de prendre la photo.
Ce profil apparaissait aussi sur le « tchat » du même site. Dès la première fois où je me suis connecté, j’ai rencontré un succès fou.
Mais étais-je réellement capable de sauter le pas et de me rendre à un rendez-vous ou de recevoir un mec chez moi ?
J’avais déjà eu à maintes reprises l’occasion de me travestir en public (parkings, plages, bois.) Mais de là à sortir de chez moi en femme il y avait un pas que je ne n’étais pas sûr de pouvoir franchir, car jusqu’à présent, je mettais mes tenues dans mon fourgon.
Je vais vous dire, vous avez beau être élancée, avoir de belles jambes, être bien dans votre peau de femme, vous avez toujours au fond de vous-même cette appréhension d’être découverte et de subir les regards moqueurs des autres. Donc d’accord pour se travestir, mais sûrement pas au départ de chez moi. (Je pensais naïvement que cela était un fait établi.)

Et puis un jour, voilà qu’un des mecs du » tchat’ lance une conversation sympa, il a l’air cool. (Ça change.)
Conversation sur le site :
— Hum ! Tu as l’air bonne dis-moi, tu acceptes le hard ?
(Bon je sais, pour vous ce n’est peut-être pas ça être cool, mais pour moi ça l’est.)
— Que veux-tu dire par hard ?
— Travail des « tits », des couilles, de la queue, du fion ?
— Je pense que oui.
(Mêmes deux fois plutôt qu’une. Je vous raconterai plus loin.)
— Comment ça tu penses que oui, tu as l’air d’une bonne lopette.
— C’est quoi une lopette ?
(Je fais l’innocente, je sais très bien ce que c’est sur ce genre de site.)
— C’est une chienne qui se met à disposition des mecs.
Des frissons me parcourent l’échine.
— Oh ! Oh ! Ya quelqu’un ?
C’est vrai que je tarde à répondre. (Je fais durer, qu’il croit que cela me rebute.)
— Oui, je suis là.
— Alors, tu réponds ? Ou tu fais partie de tous ces fantasmeurs qui traînent sur ce site. Allez by.
— Non, non, je ne suis pas comme ça. Dis-moi ce que tu attends de moi ?
Je saute le pas, que va-t-il m’arriver cette fois-ci ?
— OK, je ne vais pas te brusquer, je vais aller en douceur avec toi.
Un temps passe, puis sur l’écran :
— Alors voilà ce que je veux de toi : dans un premier temps, as-tu une « cam » ?
— Oui
— MSN ?
— Oui
— Et bien voilà. Donne-moi ton adresse MSN.
Je lui envoie mon adresse. (Pas peur la trav) Un temps passe, puis la fenêtre de « MSN » s’ouvre et demande l’acceptation et la confirmation d’une « news » adresse. Je confirme. Mon cœur bat la chamade. MSN s’ouvre. Demande de conversation vidéo. J’accepte. L’image apparaît. Je ne vois que son sexe, long, large, circoncis. Une belle queue. J’aime et je ne fais pas trop de soucis, elle va rentrer sans problème dans mon fondement. Il ne le sait pas encore, mais j’ai un » plug’ de 8 cm de diamètre enfoncer dans ma fente anale, ce sera la surprise. Puis sa voix chaude, grave se fait entendre :
— Elle te plaît j’espère ?
— Hum ! Oui.
— Tu es en fille là ?
— Oui.
— Montre-moi.
Quand je « tchate » sur le net je suis toujours en femme ! En plus ce matin, j’ai reçu les vêtements que j’avais commandés sur un site de « VPC » et je me suis empressé de les essayer. Microjupe écossaise rouge, top noir, tee-shirt résille noir, mules de 12 cm noires et……..Un collier en cuir noir, large, avec 4 anneaux et une petite médaille et pour que la tenue soit complète, un slip en latex noir ouvert aux fesses. La particularité du latex, c’est qu’il moule et aplatit bien mon paquet (et ce n’est pas évident, malgré que je ne sois pas super « queutard », je suis légèrement au-dessus de la moyenne.) Cela permet de pouvoir porter la tenue que l’on veut.
Je me suis aussi maquillée. Dur, dur au début, je ne vous dis pas le fric que j’ai passé au début pour arriver à trouver les bons produits, puis à les appliquer pour que mon visage de mec se transforme harmonieusement en femme. Mais à force d’essais répétés, je trouve que je ne me débrouille pas trop mal. (J’utilise du maquillage de théâtre.)
Et voilà que je me lève et que j’évolue devant la « cam ».
— Oui, c’est bien, exhibe-toi bien ma chienne. Hum ! T’es vraiment bien gaulée. Tu as une belle tenue de salope dis-moi ? Tu aimes ça, de te montrer aux mecs ? Montre-moi ta gueule.
Je m’exécute et lui montre mon visage.
— Houa ! Tu es magnifique, une vraie femelle. Tu es vraiment superbe, tu me plais bien. Allez, montre-moi ton cul maintenant.
Je me penche en présentant mon postérieur à la « cam ».
— Hou là, là ! Génial, ton cul est génial. Tu as un « plug » dans la fente ? C’est très bien la pute.
Ça me plaît bien qu’il emploie des mots vulgaires.
— Il faut que tu me reçoives, je te dis pas la gaule que j’ai. Tu as envie de me recevoir ? Prendre ma bite dans ton « fion » ? Me sucer à « donf » ? Te faire traiter en pute ?
Houa ! Tout ça ? J’en ai vraiment envie.
Sa voix reprend :
— N’ait pas peur. Je suis quelqu’un de discret, sérieux, honnête et surtout pas un voleur.
Mais combien de personnes ont été agressées à leur domicile à cause des rencontres sur la toile ? J’hésite. Mais j’ai tellement envie de sentir son membre en moi. Que faire ? Je lui réponds :
— J’ai un peu peur.
(Je joue encore l’innocente. Mais le jour où il apprendra…)
— Écoute, tu peux avoir toute ma confiance, je ne sais trop quoi te dire d’autres, c’est toi qui décides.
Je me rassois devant le pc. Je suis pensive.
— J’aime ton visage, tu te maquilles vraiment très bien. Et tes cheveux sont magnifiques. Ils sont naturels ?
Je lui souris.
— Oui.
— Un joli sourire que voilà. Aller ! Reçois-moi.
Il m’implore.
Je me lance.
— OK, mais je veux que tu me traites en vraie salope chaude du cul et de la gueule.
Mais je vais pas bien. … Je suis folle ou quoi…
— Tu es sûr de vouloir vraiment ça ?
— Oui.
Ma réponse est sans appel. Il le sent et répond :
— Très bien. Je veux ton téléphone fixe, ton adresse et ton nom.
Ça implique beaucoup de choses tout ça. Ai-je vraiment envie d’aller jusque-là ?
Je frissonne.
— Tu as froid ?
— Non.
Il fait au moins 30° chez moi en ce début août.
— Non, je frissonne d’envie.
— C’est bien, ça, donc tu as envie de me voir et de te faire prendre comme une chienne, mais ta conscience te dit d’être prudente, c’est ça ?
Il devine tout le bougre.
— Oui, c’est ça.
— Que pourrais-je faire pour te mettre en confiance ?
— Je ne sais pas.
— Je vais t’en dire un peu plus sur moi. J’ai 50 ans, je suis marié, 2 enfants qui ne vivent plus avec nous, je suis chef d’une entreprise de 50 salariés, je suis bien établi sur Toulouse où je connais pas mal de monde, d’où le fait que je veuille rester discret. Ça te va ? Physiquement, je mesure 1m80, je pèse 90 kg, je suis très poilu, mes cheveux sont courts, et je ne suis pas barbu, je suis bien conservé pour mon âge, et je suis sportif.
Hum ! Justement le genre de mec que j’aime.
— Ça me va. Tu as de quoi noter ? Mais avant, je veux voir ton visage.
— Pourquoi ? Je viens de te dire que je tenais à rester discret.
— Vous êtes gentils vous les mecs, nous il faut que l’on vous montre tout, et vous, tranquille, ah non ! c’est pas possible, tu comprends, si ma femme ou mes amis le savaient, ah non, non, pas question. Sur ce, tu ne sais pas ? Tu vas aller te vider les couilles dans un autre cul. Bayyyyy !
— Non ! Attends, ne t’en va pas, je me montre, mais soit gentille avec moi.
— Mais ne t’en fais pas, je ne suis pas du genre à aller crier sur les toits « et oh ! Vous ne savez peut-être pas, mais monsieur un tel aime les travelos », je ne suis pas comme ça et mon ancien Maître pourrait te le confirmer.
— Quoi ? Tu avais un Maître ?
Merdeeeee ! Ça m’a échappé, quelle conne je suis.
Et je reprends sans me démonter.
— Oui ! Je l’avoue, ça change quoi ?
— Ça change beaucoup de choses. Il est où maintenant ?
— Il est parti aux USA, son travail l’appelait là-bas, et ses employeurs ne lui ont pas laissé le choix.
— Il était à Toulouse ?
— Non, à Lyon.
— Pourquoi es-tu venu à Toulouse ?
— Je voulais changer d’air, la perte de mon Maître m’avait complètement chamboulée et je ne supportais plus de me promener dans des endroits où lui et moi étions passés.
— Et pourquoi Toulouse ?
— Mon Maître m’en avait parlé en bien.
— Cela fait longtemps que tu vis ici ?
— Je suis arrivée il y a environ 2 ans.
— Et pourquoi tu n’as pas recherché un autre Maître tout de suite ?
— Comme je te l’ai déjà dit, j’étais trop triste qu’il m’ait laissé, je me suis donc octroyé quelques vacances, de plus, il fallait que je m’occupe de mon installation ici à Toulouse.
— OK ! Dis-moi, que fais-tu dans la vie ? Si tu veux m’en parler.
— Je suis artiste en art plastique.
— Connu ?
- 1,2 expo sans plus.
— Peinture ? Sculpture ?
— Un mélange des deux.
— Tu me vois ?
— Oui, pas mal…….
— C’est tout ?
looolllll de ma part.
— De plain-pied, c’est possible ?
Il se lève, tourne sur lui-même.
— Ça va comme ça ?
— Oui, merci. Je voudrais connaître ton expérience dans le domaine S/M ?
— Pas de problèmes, je vais te montrer quelque chose.
Il déplace sa « cam », et je vois… une forme.
— Tu vois bien ?
— Oui, c’est qui ?
— Je te présente Chienne Jocelyne, ma femme.
Il éclaire la pièce et là ! Je la vois mieux. Elle est dans un angle de la pièce entièrement nue, accroupie, les mains liées dans le dos, un collier large autour du cou, des escarpins à talons aiguilles très hauts, un bâillon boulle dans la bouche, et… un plug énorme dans le cul ainsi qu’un gros god dans la moule, elle a des anneaux sur les lèvres du sexe ainsi que sur les tétons, une barre d’écartement lui maintient les chevilles, je ne distingue pas la couleur de ses cheveux tellement ils sont rasés court, j’ai pu voir tout ça, car il déplace sa « cam » en tournant, descendant pour que je puisse bien observer. Puis il revient vers le pc.
— Voilà, elle est ma Chienne depuis que je la connais, c’est-à-dire depuis 10 ans maintenant, c’est ma deuxième épouse, elle a 35 ans et c’est aussi ma secrétaire.
Il reprend :
— Une Chienne dans l’âme. Elle travaille pour moi depuis 17 ans, ma maîtresse depuis 16 ans et ma Chienne depuis 15 ans.
— Pourquoi tu me confies tout ça à moi ?
— Tout simplement parce que je te fais confiance.
— Merci. Mais tu m’as menti tout à l’heure sur ta femme ?
— C’est vrai et je m’en excuse, mais je ne te connaissais pas du tout.
— J’accepte tes excuses.
— Tu as été une Chienne avec ton Maître combien de temps ?
— 10 ans. Mais toi, pourquoi recherches-tu une deuxième Chienne ?
— Tout simplement pour lui montrer que certaines choses sont faisables.
— Je ne comprends pas ce que tu veux dire par-là. Développe s’il te plaît ?
— Elle refuse obstinément d’être arrosée et de boire la pisse, d’avoir le cul plein, de se faire fister et plein d’autres choses encore.
— Oui, effectivement, des choses banales que j’ai déjà connues avec mon Maître.
Et j’entends qu’il s’adresse à sa Chienne.
— Tu as entendu ?
Sur ce, je me dis que si je ne fais pas des essais, je ne trouverais personne. Je lui dis :
— Bon, tu as de quoi noter ?
— Oui, vas-y.
Et voilà que je lui donne mon nom, prénom, adresse, numéro d’appartement, étage, et téléphone. L’envie est trop forte, pas moyen de résister. Trop envie de retrouver une vie normale. (De chienne bien sûr.)
— Très bien, c’est noté. Alors je t’explique ce que je veux de toi ?
— Oui.
— Je veux que tu m’appelles Maître, quel est ton prénom de fille ?
— Sidonie Maître. Je suis tatouée « chienne Sidonie ».
— Hum ! Tu n’as pas perdu l’habitude. Je veux que tu me vouvoies.
C’est vrai en fait, je pensais avoir oublié. J’espère qu’il sera aussi bien que mon ancien Maître.
Un temps passe.
— Je viens de vérifier les informations que tu m’as données et je t’appelle de suite pour voir si c’est bien toi.
— Bien Maître.
Sur ce, le téléphone sonne. LIRE LA SUITE


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