ALLE 7 et 8
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Je ne me suis même pas rendue compte que l’on m’observe, tant je suis concentrée sur mon plaisir. La pute et son gorille sont devant la grille en train de sourire à me voir me déchaîner sur cette planche.
— Eh bien ! Ce n’était pas si difficile ! Et en plus tu sembles vraiment apprécier !
Le gorille entre dans ma cage et m’attrape le bras pour me forcer à le suivre. Je suis trop fatiguée pour oser protester. A genoux devant la pute russe, j’attends qu’elle me fasse un signe.
— C’est bien, ma chérie. Je vois que tu as compris ce que l’on attend de toi. Comme tu es bien chaude, tu vas venir avec nous. On doit recevoir des nouvelles. Tu leur montreras ce que tu sais faire !
La brute me tire, m’arrachant presque le bras. Je n’ai pas eu le temps de me relever et il me traîne derrière lui. Cela fait rire la pute. J’essaie de me relever sans pouvoir le faire. Quand nous arrivons à l’escalier, ma hanche est complètement râpée et me fait un mal de chien.
— Allons ! Mets-toi debout, on nous attend là-haut !
Péniblement, je me relève. Ma hanche est en sang. J’ai du mal à monter les dernières marches.
Dans la salle centrale, six jeunes femmes sont enchaînées les unes aux autres. Elles sont assises, nues et alignées le long du mur, la face tournées vers le centre de la pièce. Au centre, ils ont installé un curieux meuble, haut d’environ un mètre. Il est surmonté d’un cube en bois où sont fixés quatre pénis en plastique, imitant à la perfection de vrais organes. La brute me traîne devant le meuble et me force à m’agenouiller devant. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre ce qu’il attend de moi. Je jette un regard affolé à la pute qui me sourit en retour.
— C’est ça ! Tu as parfaitement compris ce qu’on attend de toi. Tu vas faire une petite démonstration de tes talents. Mais attention ! Si tu triches, tu seras punie !
Je me penche sur l’un des sexes et le prend entre mes doigts. Il ressemble en tous points à un vrai. Même les testicules y sont représentés. Sa consistance est à la fois souple et dure. Les vaisseaux sanguins y sont admirablement bien rendus. Je mime ce que je pense être une belle fellation. Mes doigts glissent sur le manche et mes lèvres roulent sur le membre en plastique, l’englobant complètement jusqu’à la garde. Je répète mes mouvements de plus en plus en plus rapidement, comme pour provoquer un orgasme à ce sexe factice.
Ma démonstration semble plaire à la pute que je surveille du coin de l’œil. Je ne fais plus attention au gorille, tellement je suis accaparée par ma prestation. C’est quand le fouet me cisaille les reins, que je m’aperçois qu’il est encore présent. Je lâche le god et reçoit encore deux autres coups de fouet. Je me jure de lui faire payer cela un jour.
— C’est bien ! Je vois que tu es devenue une experte. Nous allons donc faire un petit concours ! Celles que je jugerais indignes seront fouettées et laissées en pâture à mes hommes. Et croyez-moi, ils ne sont pas tendres ! Allez ! Qui veut commencer ?
Les six filles baissent la tête et semblent ne plus exister. Comme je suis devant le meuble, j’y reste. C’est le gorille qui décide. Il détache une des filles et la positionne face à moi. C’est une belle brune un peu maigre, au joli visage ovale encadré par une chevelure qui frise naturellement. Ses yeux sont terrorisés. Elle me dévisage et n’ose pas bouger. Le géant revient avec une petite blonde, un peu boulotte, au visage poupin. Sa longue natte pend sur le côté. Elle a de beaux seins en forme de poire. La troisième fille est une autre brune. Elle prend place à ma droite. Elle s’apprête à saisir le sexe qu’elle a devant elle, mais le gorille lui inflige un coup de fouet dans le dos qui la stoppe net.
— A mon signal, on va vous laisser dix minutes pour montrer vos dons. Nous garderons les deux meilleures ! Allez !!
Avec un accord parfait, nous nous penchons sur nos god. J’y mets tout mon cœur. Je ne tiens absolument pas à être livrée à ces types dont je connais trop la brutalité et la perversité. Je suce avec une parfaite maîtrise ce bout de plastique. C’est même curieux, je commence même à en tirer du plaisir. Je me sens mouiller et me chauffer curieusement les sens. Je peux voir les trois filles se démener sur les leurs et je pense que cela sera difficile de nous départager. La brune, en face de moi, y met tout son cœur. Elle a même fermé les yeux et avale complètement l’organe sans en avoir de nausées. Sa bave coule le long du membre et tombe en cascade sur le sol. Pour ne pas être en reste, je fais comme elle et engouffre le membre jusqu’au fond de ma gorge. Je le garde aussi longtemps que je peux. Je suis à la limite suffoquer et recrache le god. Un torrent de salive s’écoule de mes lèvres, mais je n’y prête pas attention et retourne au labeur. A ma droite, le brune pleure et ne fait même plus mine de sucer son sexe. Je crois qu’elle sera illuminée dès ce tour. Quand à la blonde, sur ma gauche, ses mouvements maladroits ne sont pas une menace pour la brune frisée et moi. Effectivement, la sentence tombe rapidement, et la blonde, ainsi que la brunette à ma droite sont retirées sans ménagement. Le géant les attache à un des piliers. L’autre fille est traînée par la brute et il lui passe une paire menottes qu’il attache à la chaîne. Je reste en place et les trois dernières filles prennent place à mon côté. Sur l’ordre de la pute, nous commençons nos fellations. Je suis inondée et ai bien du mal à me concentrer. Je sens ma cyprine s’écouler et se répandre le long de mes cuisses. Cela me trouble fortement et j’ai bien du mal à poursuivre. Dans un effort surhumain, je m’active avec l’énergie du désespoir. J’engloutis l’organe au fond de ma gorge et prends entre mes mains les fausses couilles comme si je voulais les extraire. N’en pouvant plus je rejette le sexe factice et laisse s’couler un flot de bave. Je manque de m’étouffer, mais reprends le dessus et l’avale une dernière fois à fond, jute avant la fin du concours. Cette fois, je n’y tiens plus et manque de vomir sur le meuble. Je tousse et m’asphyxie complètement. J’ai peur de faire partie des perdantes car les trois autres filles étaient tout aussi motivées que moi. La décision de la pute russe me surprend et je suis sélectionnée pour la finale avec la rousse qui était à ma gauche.
Cette fois les règles sont changées. Nous ne devons plus sucer, mais nous empaler. Le gorille nous installe le dos au meuble et nous demande de nous pencher. La pute nous apprend que nous disposons de quinze minutes. Nous sommes quatre, dos à dos. Nos mains ont saisi notre god et le positionne. Il faut que nous nous penchions en avant pour nous en pénétrer. Au signale de la pute, les sexes nous embrochent. Je suis déjà tellement excitée que l’organe entre à fond. Je jette un coup d’œil sur ma gauche. La brune se déchaîne et se trémousse sur son god. Son petit cul tressaute en cadence sur l’épieu de plastique. Elle a la bouche ouverte et gémit en cadence. Sur ma droite, la rousse s’acharne et pousse de terribles hurlements de plaisir, tant elle semble jouir. J’accélère le rythme et suffoque doucement. Je n’en peux plus de plaisir. Mes balancements m’échauffent de plus en plus et je m’accorde une infime pause. J’entends les autres filles bramer leur orgie. Je me suis calmée. Je reprends mes sens lentement. Ai-je bien raison de faire cela ? Que vont-ils faire de nous ?
La pute russe s’est accroupie devant moi et me regarde droit dans les yeux. Sans doute ne comprend-t-elle pas pourquoi je me suis arrêtée. Elle hausse les sourcils, surprise de ce répit que je me suis accordé. Ses mains se plaquent sur mes seins et en pincent les tétons. J’hurle de surprise et de douleur. Sa main descend entre mes cuisses et vient titiller mon bouton. Elle veut m’entendre jouir en me plantant son regard dans le mien. Entraînée par cette nouvelle excitation, je reprends mon balancement effréné. La jouissance monte d’un coup et je crie de bonheur. La pute ne m’a pas quitté mes yeux. C’est encore plus troublant de la voir ainsi, face à moi. J’en tremble sous la violence de cette nouvelle crise de plaisir. Satisfaite, elle se retire et me laisse à mon trouble, passant à la fille suivante… LIRE LA SUITE
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