KIDNAPPING ET SOUMISSION (9)

TOME IX
jeudi 6 août 2015
par  manumaitre
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Une chaise révolutionnaire
Le 4x4 pénétra dans le domaine après 10 heures de route à vitesse soutenue. Les quatre vacanciers furent accueillis par Babette, la nouvelle soubrette de Maîtresse Aurore. Les deux esclaves déchargèrent les valises et les déposèrent dans le hall d’entrée.
« Sweet Pussy et N°1, repos dès maintenant jusqu’à lundi matin car Maître Tumba arrive avec son esclave Lola. Il paraît qu’il a un fauteuil révolutionnaire qu’il a en démonstration et il veut me faire profiter de celui-ci. Vous serez donc les premières à l’essayer ! »
« Oui Maîtresse. » Fit N°1. Sweet Pussy montra son désappointement par une moue.
« Qu’y a-t-il Sweet Pussy ? L’arrivée de Maître Tumba te déplaît ? »
« Non Maîtresse, mais il est brutal voire sadique. »
« Je lui en toucherai deux mots…Nous verrons bien comment Maître Tumba prendra ta remarque. Lui qui ne tarit pas d’éloge sur toi. Je pense qu’il sera grandement déçu d’apprendre qu’il est un Maître brutal voir sadique !!! Allez au lit ! Je t’ai assez entendu pour aujourd’hui ! »
Sweet Pussy et N°1 se rendirent dans leur chambre suivie de Maîtresse Aurore. Lorsqu’elles s’installèrent dans le lit, Maîtresse Aurore leur mit un collier chacun.
« Repos les deux esclaves. Et pas de papouille et autre attouchement, compris ! »
« Oui Maîtresse. » Firent à la cantonade les deux esclaves.
Lundi arriva. Sweet Pussy et N°1, après un petit déjeuner plus que léger, se douchèrent et se maquillèrent. Vers 11h00, Maîtresse Aurore vint personnellement réaliser les lavements, puis posa aux poignets, chevilles et au cou des colliers métalliques chromés plus épais qu’à l’accoutumée avec un ergot sur chaque collier.
« Voilà, vous êtes parées pour recevoir Maître Tumba. Maintenant, dans la salle de jeux, et vous attendez en position d’inspection. »
Les deux esclaves marchèrent en direction de la salle de jeux sous le cliquetis des anneaux des colliers au rythme de leur pas. Elles virent Lola qui était déjà en position d’inspection au milieu de la pièce, parée de la même manière qu’elles. Elles virent aussi trois trônes métalliques disposés en cercle. Elles marchèrent jusqu’à Lola qui avait les mains sur la nuque, elle bombait ses seins siliconés. Sweet Pussy et N°1 s’installèrent en position d’inspection à côté de Lola. Les trois esclaves se regardaient par moment attendant qu’un ordre leur soit donné. Le bruit des talons aiguilles de Maîtresse Aurore frappant les dalles de marbre vint rompre le silence pesant dans la pièce.
Maîtresse Aurore accompagnée de Maître Tumba entrèrent dans la pièce et se positionnèrent au centre du cercle formé par les trois esclaves. Maîtresse Aurore portait un body en latex noir avec des bonnets repose seins. Des gants opéra couvraient jusqu’au coude ses bras. Des cuissardes noires aux talons vertigineux gainaient ses jambes jusqu’à mi-cuisse. Dans sa main, une cravache battait la mesure suivant le rythme de la musique baroque qui se fit entendre à leur arrivée. Maître Tumba, quant à lui, portait un costume noir trois pièces.
« Esclave, mettez-vous chacune devant une des chaises métalliques en avançant à quatre pattes comme des chiennes que vous êtes ! »
Les trois esclaves se positionnèrent devant une chaise et attendirent le prochain ordre.
« En position d’inspection maintenant, à genoux et mains sur la nuque. »
Les esclaves obtempérèrent. Sweet Pussy vit alors deux plugs qui pointaient vers le ciel et qui, dans quelques instants, combleraient son cul et sa chatte.
« Léchez les plugs, puis empalez vos chattes et vos culs ! »
Les trois esclaves avançèrent vers leur chaise respective et, s’appuyant sur l’assise métallique, léchèrent les deux plugs métalliques et les humidifièrent abondamment. N°1 fut la première à onduler du cul pour faire pénétrer le plug.
Sweet Pussy positionna ses fesses au-dessus du plug et s’empala dans un râle. Lola fut la dernière à être comblée par les plugs. Elle eut quelques difficultés à faire pénétrer les plugs dans ses orifices, même si Maître Tumba l’avait entraînée.
Maîtresse Aurore se chargea d’attacher les colliers que portaient les trois esclaves à leurs chevilles, poignets et cou aux chaises. Elle commença par N°1. Maîtresse Aurore posa sa main sur le poignet droit de N°1 et positionna celui-ci au-dessus d’un trou usiné dans le métal. Elle appuya sur le bracelet et un « clic » se fit entendre. N°1 essaya de bouger son poignet mais le bracelet ne bougea pas. Maîtresse Aurore fixa le poignet gauche et les deux chevilles de la même manière. A chaque fois un « clic » indiquait que le bracelet était bien fixé. Puis Maîtresse Aurore prit entre ses mains le collier et le fit pivoter pour que l’ergot se retrouve sur la nuque de N°1. Maîtresse Aurore appuya le collier contre l’armature de la chaise et un clic se fit de nouveau entendre. Maître Tumba donna délicatement des demi-anneaux à Maîtresse Aurore qui les fixa sur les autres moitiés faisant partie de la chaise métallique. Les bras, les cuisses, la taille furent ainsi encerclés pour que N°1 ne puissent plus bouger. Maître Tumba amena alors un cerclage métallique fait de deux parties qu’il vint positionner lui-même autour des seins de N°1. De diamètre plus petit que celui de la base de ses seins, N°1 grimaça lorsque ce cerclage fut refermé et vint comprimer ses énormes seins. Le cerclage métallique fut fixé sur le bâti de la chaise pour bloquer le buste de N°1sur la chaise.
Sweet Pussy et Lola furent fixées de la même manière sur leur chaise.
Maître Tumba prit alors un rondin de bois qu’il fixa au sol au centre des chaises. Il prit un crochet et tira sur le fil du moulinet. Maître Tumba attacha le crochet au piercing du sein droit de Lola. Il répéta l’opération 5 fois et toutes les esclaves eurent les piercings de leurs seins tendus par des crochets. Maîtresse Aurore alla chercher trois masques et les passa sur les têtes de ses esclaves. Elle y ajouta un bandeau sur les yeux qu’elle attacha aux ceinturons du masque, les esclaves furent aveuglées. Elle passa ensuite un écarteur de bouche à chaque esclave. Maître Tumba, quant à lui, prit des coupelles qu’il passa au travers du fil métallique. Chaque coupelle fut garnie d’une bougie qu’il alluma. La flamme de chaque bougie traversait l’anneau métallique des piercings aux seins.
Des gémissements ne tardèrent pas à se faire entendre. La première esclave à gémir fut Lola. Ses piercings n’étant pas encore assez épais, le métal fut plus vite chaud. Puis ce fut Sweet Pussy qui commença à souffler fortement, de la salive coulait abondamment de sa bouche en soufflant fortement. N°1 se mit aussi à gémir. La flamme des bougies noircissait les anneaux. Les gémissements des trois esclaves se transformèrent en cris. Puis les cris se transformèrent en hurlements.
Maître Tumba ôta alors le bandeau aveuglant de Lola qui après quelques clignements des yeux pour s’habituer à la lumière, cria d’effroi lorsqu’elle vit les deux bougies qui chauffaient les anneaux de ses seins.
Maîtresse Aurore rendit la vue à Sweet Pussy qui eut le même cri de stupeur en voyant les deux bougies qui chauffaient ses anneaux. Elle ferma les yeux et se crispa sur sa chaise pour endurer la souffrance des flammes. N°1 retrouva la vue à son tour et cria aussi à travers son écarteur de bouche. Les trois esclaves sentaient leurs tétons chauffés par les anneaux. Toutes les trois criaient de concert.
Quelques minutes plus tard, Maîtresse Aurore soufflait sur les bougies et doucement les plaintes ne se firent plus entendre. La Maîtresse ôta toutes les bougies et les crochets qui maintenaient tendus les anneaux.
« Maintenant, nous allons apprécier les bienfaits de la technologie. » Dit Maître Tumba.
Il appuya sur le bouton d’une télécommande et la chaise de Sweet Pussy bascula doucement vers l’avant. Elle pivota sur deux axes montés sur l’assise de la chaise. Sweet Pussy sentit tout le poids de son corps appuyé sur l’armature métallique contraignant ses énormes seins. Son corps prisonniers des sangles et des bracelets aux pieds et aux poignets ne bougea pas. Maîtresse Aurore et Maître Tumba passèrent derrière la chaise métallique qui montrait maintenant le cul plugué de Sweet Pussy. Sweet Pussy ne voyait plus que le sol de la salle de jeu.
« Belle vue, n’est-ce pas Maîtresse Aurore ? » Dit Maître Tumba avec un sourire narquois.
« Le mécanisme de la chaise permet d’avoir accès au cul et au sexe de l’esclave. Voyez la base du plug qui comble le cul de Sweet Pussy. »
« Alors Sweet Pussy, il paraît que je suis un Maître brutal et sadique. » Dit Maître Tumba au creux de l’oreille de Sweet Pussy.
Sweet Pussy ne put que grommeler des mots inaudibles avec sa bouche ouverte par l’écarteur d’où couler sans discontinuer un filet de salive.
« Je vais te montrer comment on punit une esclave qui insulte un Maître et tu seras aussi responsable des souffrances de tes deux comparses. Mais d’abord je vais m’occuper de toi. »
Maître Tumba appuya sur sa télécommande et un mécanisme se mit en marche. Quatre tiges filetées fixées au cerclage à la base du plug métallique tournèrent et la base du plug se sépara en quatre parties égales.
On entendit Sweet Pussy gémir doucement…
« Regardez Maîtresse Aurore. Grâce à ce mécanisme, le plug métallique formé de quatre parties s’écarte. Et donc dilate le cul de cette chienne. »
« Très ingénieux comme système ! » S’exclama Maîtresse Aurore.
Maître Tumba maintenait toujours son doigt appuyé sur le bouton de sa télécommande. Le plug grandissait en diamètre dans le cul de Sweet pussy et Maîtresse Aurore et Maître Tumba voyaient apparaitre les sphincters entre les parties métalliques du plug. Sweet Pussy, quant à elle, gémissait de plus belle pendant que son cul se dilatait. Maître Tumba cessa d’appuyer sur sa télécommande. Il toucha délicatement l’anus dilaté de Sweet Pussy. Sweet Pussy sentit un doigt sur ses chairs et soupira lentement. Maître Tumba appuya de nouveau sur sa télécommande et les petits moteurs se remirent en route. Sweet Pussy cria de surprise quand le plug reprit son travail d’écartement. Mais son cri devint vite un hurlement. Maître Tumba stoppa les moteurs du plug métallique.
Sweet Pussy soufflait lourdement.
« Maintenant Maîtresse Aurore, nous allons faire chanter cette pute qui me traite de Maître brutal. »
Maître Tumba prit la valisette qui se trouvait sur une tablette et l’ouvrit. Il en sortit quelques blisters. Il en ouvrit un et sortit l’aiguille qu’il contenait. Il approcha l’aiguille du cul de Sweet Pussy et la plaça sur la partie visible de son anus. Maître Tumba piqua son sphincter et l’aiguille traversa celui-ci en biais. Sweet Pussy poussa un cri lors du passage de l’aiguille. Une seconde aiguille entra dans les chairs de l’esclave qui poussa de nouveau un cri. Les aiguilles se succédèrent dans l’anus de Sweet Pussy pour former une corolle. Maître Tumba poussa les aiguilles pour que les pointes se rejoignent. Elle criait et soufflait. L’épais filet de salive qui coulait reliait la bouche de Sweet Pussy au sol. Maître Tumba appuya sur sa télécommande et la chaise reprit doucement sa position initiale. Les yeux de Sweet Pussy revirent les murs de pierre de la salle. Maître Tumba prit en main une cravache et se positionna sur le côté de l’esclave. LIRE LA SUITE

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