Qui suis-je vraiment

1 - Présentation
mercredi 6 juillet 2005
par  Bluetit
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Présentation :

Je m’appelle Laurence, et je suis âgée de 35 ans. Je suis divorcée depuis 4 ans maintenant, et vis seule avec mon fils de 8 ans. Je réside depuis ma séparation dans un 4 pièces au 3eme étage d’un ensemble immobilier en banlieue parisienne. Ma vie depuis mon divorce se concentre autour de mon enfant et de mon travail, en tant qu’assistante comptable au sein d’une grande Société. Par contre, côté cœur c’est le désert ou plutôt c’était…
En fait, il y a deux ans je m’étais décidé à mettre un terme à mon célibat. Pour être honnête, les relations physiques commençaient à me manquer. D’autant plus que mon ex-mari n’était pas mauvais sur ce plan. Il avait même le don de pimenter nos relations sexuelles de scénarii originaux que ma passivité complice encourageait.
Celui qui me revenait le plus souvent s’était produit lors d’un week-end en Normandie en automne. Habillée d’une jupe à bouton et d’un chemisier, nous nous baladions dans le bocage quand lui prit l’idée de jouer à un jeu.
L’idée en était simple, j’avais 15 secondes pour répondre à des questions tout en marchant. Si je trouvais j’obtenais le droit qu’il fasse le dîner et la vaisselle un soir. Dans le cas inverse, je devais déboutonner un bouton.
Certes, j’eus le droit à 6 jours de dîner servi par monsieur, mais je me retrouvai en collant et seins nus.
Il me proposa alors un quitte ou double. Je me rhabillais entièrement si je gagnais ou je me mettais totalement nue et il me photographiait dans les champs, selon des positions dictées par son choix. Je relevai le défi et… perdis. La suggestivité des postures et les commentaires crus, me proposant de diffuser la dizaine de photos sur le net pour me faire plein « d’amis », finirent de m’exciter.
Le soir se déroula dans la chambre, où après m’avoir longuement massée, mon cher mari décida de me lécher tendrement mon clitoris. Cette caresse ainsi que les évènements de l’après-midi me donnèrent envie d’embrasser son pénis.
Il en profita pour disposer son sexe au-dessus de moi et ainsi débuter un 69. Je lui proférai alors la fellation la plus sensuelle que je pus, alternant le titillement de son bout, avec la mise en bouche de tout son sexe. Position qu’il stoppa 5 minutes plus tard pour me demander de me mettre à 4 pattes afin d’admirer mon « joli fessier », comme il le disait souvent. Il me pénétra doucement, mais contrairement à d’habitude il me donna quelques claques sur mes fesses.
Cette nouveauté, a priori gênante, me dérangea sur l’instant, mais associée à la pénétration elle m’excita et déclencha un orgasme singulier. Mon visage et mon buste affalé sur le lit, mon mari prit son pied en éjaculant sur mes fesses, en me demandant de rester ainsi un petit instant. Je compris trente secondes plus tard que c’était pour immortaliser l’instant avec son appareil photo.
Malheureusement la monotonie du couple et les déplacements réguliers de mon mari ont mis cet aspect au second plan. Le divorce fût alors la seule solution que nous trouvions avec pour moi la garde de notre garçon tandis que mon ex partait deux mois plus tard en Italie refaire sa vie.
Néanmoins, avec le temps vous conservez que les bons moments en tête. Pour moi c’était ce souvenir qui revenait souvent, d’autant plus que j’étais seule depuis un bon moment.
Je pris alors un jour la décision de trouver quelqu’un. Sur le conseil d’amies, je m’étais tourné vers Internet et les réseaux de rencontres, où j’avais enregistré mon CV sur plusieurs sites connus de chacun. Il y eut quelques rencontres, mais seule une se clôtura par une nuit à deux qui me fit regretter mon ex-mari.
Les prétendants n’étaient pas nombreux et chaque échec me pesait lourdement, rabaissant mon moral déjà bien fragile. Un mois après mon adhésion à un des sites, j’étais toutefois tombé sur un homme énigmatique et fascinant que je surnommerais « Nietzsche » (son surnom se rattachait à la psychologie).
Après des débuts classiques, nos échanges étaient réguliers et de plus en plus intimes. Je lui décrivais mes joies, mes peines, mais aussi mes passions, choses que je n’avais que rarement faites même avec mes quelques amies. Je ne le connaissais pas et pourtant je me sentais en sécurité, en confiance, faisant disparaître cette barrière qu’est Internet. Je souhaitais le rencontrer, mais je sentais chez lui le besoin d’aller plus de l’avant dans cette relation « épistolaire ».
Au cours d’un de nos échanges, nous nous sommes penchés sur nos goûts et aspirations érotiques. Après une heure d’échange, les choses prirent une tournure inattendue.
Il me demanda si j’étais coquine et comment j’aimais m’habiller.
Après un certain étonnement de voir des propos aussi directs, je me lançai en prenant la décision de l’aguicher un peu (peut-être désirerait-il me rencontrer rapidement ainsi ?).
Je lui répondis donc :
— Avec mon 1,70 m et avec un 95 C on a des atouts pour aiguiser les envies. Oui, il m’arrive de mettre des vêtements sexy. À ta disposition pour te montrer un échantillon un de ces jours.
— Lesquels ?
— Jupes, tailleurs, ou robes avec des petits hauts échancrés… cela te convient-il ?
— Cela pourrait, mais décris-moi ce que tu porterais en été et en hiver pour m’exciter ?
— Jupe légère dans les tons ivoire laissant ainsi deviner mon string et mes jambes à contre-jour. Quant au haut, un petit chemisier plongeant blanc et bien serré moulant ma poitrine. L’hiver serait plutôt un tailleur avec des collants à couture finalisé par des escarpins.
Cette description commençait à m’échauffer moi-même quand :
— À voir pour l’été, mais l’hiver manque franchement de sensualité. Les sous-vêtements sexy tels que les guêpières, porte-jarretelles, culottes fendues ou dentelles, ne semblent pas être ta spécialité. Quant à ce qui le cache, c’est très classique.
Le coup fut rude et me déstabilisa. Je me sentais nulle. Mes réponses furent alors simples sans aucune connotation. De son côté, en fin psychologue, il en profita pour être de plus en plus direct. J’aurais pu néanmoins en rester là, mais la confiance qu’il avait suscitée en moi me forçait à rester connecté.
— En as-tu au moins porté dans ta vie ?
— Oui pour faire plaisir.
— Si je te demandais d’en porter constamment avec des minijupes laissant deviner des atours, le ferais-tu ?
— Pourquoi pas ?
— Ce n’est pas une réponse, c’est une fuite çà…
— Si je me sens en sécurité avec quelqu’un, alors oui.
— Aimes-tu te dévoiler à l’extérieur ? L’as-tu déjà fait ?
Me rappelant instantanément mon aventure normande je répondis par l’affirmative aux deux questions.
— Prouve-le-moi !
Cette mise au défi me laissa pantelante. Que faire ? Cet échange ne me choquait pas en soi, mais il me poussait au-delà des limites que je m’étais fixées. Après 10 minutes de réflexion sans aucun message venant de sa part, je me décidai à envoyer les seules photos érotiques de moi. En réfléchissant, je franchissais le pas, car j’avais peur de le perdre.
— Merci, j’attends que demain tu m’envoies un fantasme que tu souhaiterais réaliser.
Le jour suivant je lui envoyais depuis le bureau comme demandé un petit texte indiquant l’envie de faire l’amour avec un inconnu en forêt. Ce fantasme n’était en fait qu’un mélange entre l’excitation d’être découverte nue dans un endroit public et que l’inconnu soit mon interlocuteur du net.
Par la suite, nos échanges furent plus aléatoires, me laissant dans une attente difficilement supportable. Puis plus aucun mail de sa part. Il connaissait presque tout de moi et il avait disparu. Je le maudis d’autant que je m’aperçus que je n’avais plus aucune relation exceptée lui.

*****

Courrier :

Je me remis donc dans le train-train travail école maison, lâchant pour un temps les sites de rencontres. Je me disais que les bonnes années amoureuses étaient en fait derrière moi.
Quand un mardi, je récupérai dans ma boîte aux lettres un courrier à mon intention. Une fois chez moi je l’ouvris et faillis m’écrouler. Dedans se trouvaient 4 photos très explicites de moi nue dans la campagne normande. Elles étaient assorties du texte dactylographié suivant :
« Quel outil magnifique qu’Internet ! Je ne savais pas, Mme XXXXX, que vous étiez adepte de l’exhibitionnisme. Je souhaiterais donc avoir l’occasion d’en bénéficier moi aussi personnellement. À 22 heures ce soir une fois votre enfant couché vous allumerez la lumière et laisseraient les rideaux ouverts. Et vous ferez votre repassage entièrement nue. Demain vous recevrez un courrier comme celui-là, je vous demande de bien vouloir faire tout ce qu’il y aura d’écrit.
Si vous souhaitez contacter la police faites bien attention, la Société YYYYY, vos voisins voire les copains d’écoles de votre fils seraient sûrement heureux de voir de telles images.
Merci d’avance…
Je ne savais plus que faire. Je pris la décision d’appeler le commissariat, mais je raccrochai au dernier moment. Qui cela pouvait-il être ? Mr. Nietzsche, mon ex-mari, ou un inconnu qui aurait profité que mon mari « tienne parole » en diffusant les photos sur le net ? Et si oui, quel est cet inconnu, un voisin, un collègue de bureau ?
J’étais perdue, je passai la soirée à laver, nourrir puis coucher mon enfant tel une zombie. Quand tout d’un coup je vis qu’il était 21H55. Résignée je pris la décision de « faire du repassage ». Néanmoins, je décidai de ne montrer que le haut, et donc de porter un caleçon moulant. Comme cela si quelqu’un hormis le maître chanteur m’observait je pourrais laisser croire qu’il faisait chaud chez moi (difficile au mois d’octobre j’avais eu encore les moyens de raisonner).
Pendant ce strip-tease, je scrutais les appartements me faisant face, mais du fait du manque de clarté, il m’était impossible de repérer mon « admirateur ».
Une heure plus tard, je partais me coucher pour ne m’endormir que très tard dans la nuit.
Le lendemain, après y avoir pensé, je partis au commissariat. Toutefois, par peur d’avouer toute l’histoire j’indiquai qu’une amie avait peur de venir voir la police par rapport à des lettres de chantages et que je souhaitais savoir comment cela se passait pour pouvoir l’aider à franchir le pas.
Je passais la journée anxieuse au bureau, n’attendant que de récupérer mon garçon et… rentrer chez moi pour n’espérer voir aucun courrier à mon attention.
Mais il y avait bien une lettre similaire à celle du mardi. Une fois assise et mon enfant dans sa chambre, je l’ouvris :
« Tu ne souhaites pas t’exhiber sous mes yeux et tu vas voir les policiers !!! Ce n’est vraiment pas bien. Tu as deux solutions, sois tu fais ce qu’il y a écrit au verso de cette lettre soit tu seras connue dans le quartier. »
J’étais donc surveillée de très près. Je décidai donc de tourner ce terrible courrier.
« Tu as pris une sage décision :
Tu vas mettre une robe et descendre aux vide-ordures.
Derrière la poubelle N° 2 se trouve une petite caméra. Tu la poseras sur le renfort du mur et tu l’allumeras.
Ensuite tu commenceras à danser et à te déshabiller.
Mais cette fois-ci je te veux nue.
Une fois terminée tu remettras tes sous-vêtements, mais tu laisseras ta robe et la caméra bien sûr.
Tu remonteras chez toi ainsi.
Attention je te surveille. »
Dépitée je pris donc la première robe qui me vint (fort peu sexy je dois l’admettre) et je descendis pour effectuer ma séance d’exhibition. Mais au moment d’ôter ma culotte, j’entendis descendre quelqu’un je me précipitai alors entre 2 poubelles bien cachées avec la maudite caméra.
Un homme a priori (un pas lourd) resta quelques secondes pour déposer ses ordures puis repartit sans s’apercevoir a priori qu’il y’avait plus que des poubelles. Le stress passé je reprenais mon déshabillage, et finissais la séance en me caressant les seins et le sexe histoire de montrer mon assurance et mon courage, mais en fait cette situation m’excitait aussi un peu.
2 minutes plus tard, après une écoute attentive des bruits de couloirs vêtue de mon soutien-gorge et de ma culotte je remontai par l’escalier de service afin de retrouver mon appartement. Fatiguée par la nuit précédente et satisfaite de ne pas avoir été découverte je pus mieux dormir.
Jeudi soir rien ; mais vendredi je retrouvais à nouveau un courrier que j’ouvris dans l’entrée sans prendre soin de le lire chez moi. Il y contenait une photo extraite de la vidéo de la nuit précédente et une missive indiquant ceci :
« Merci pour cette performance artistique. Demain à 9 heures tu iras dans le parc d’à côté, vêtue d’une jupe. Comme cela ton fils en profitera pour faire une grasse matinée.
Tu iras t’asseoir sur le banc en face de la statue. S’il est pris, tu prendras le suivant sur la droite.
Tu auras alors 10 minutes pour enlever ta culotte et la déposer sous le banc.
Tu resteras ensuite 15 minutes jambes écartées. Pour me permettre de profiter pleinement de la vue de ton entrecuisse, tu liras un livre que tu tiendras bien devant toi.
Enfin tu te lèveras et te baladeras dans le parc. Je veux que tu te penches lentement à trois reprises sans plier tes jambes afin de montrer sous un autre angle tes fesses. Après tu pourras rentrer. »
Samedi matin donc je me levai comme d’habitude vers 8 heures, mais au lieu de réveiller mon fils, je pris une douche et m’habillai d’un Tanga et d’une jupe droite pour que je puisse passer les mains dessous et retirer au plus vite mon dessous.
J’avais une appréhension très forte, mais par contre je n’étais pas effrayé ou dégoûté par ce qu’on me demandait de faire.
Arrivée dans le parc je trouvai le banc vide, par contre il y avait déjà du monde, notamment des joggeurs et des personnes passant par cet espace vert pour aller au marché. Au bout de 5 minutes, je me lançai. Je retroussai ma jupe à mi-cuisse et passai mes mains sur les côtés. Je soulevai mes fesses et tirai sur le tissu.
Malheureusement, ma culotte fut rebelle et je dus m’y reprendre à plusieurs reprises avant qu’elle soit au niveau de mes genoux. Sûr on devait avoir tout vu.
C’est alors qu’un coureur arriva dans le chemin à 50 mètres de moi. Je me penchai immédiatement afin de cacher la position scabreuse dans laquelle j’étais, laissant croire que je cherchai quelque chose par terre, enfin je l’espérai. Rouge de honte je finis d’enlever ce Tanga que je posai par terre comme demandé. LIRE LA SUITE

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