Couple renouvelé
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Il est environ dix-neuf heures lorsque Philippe, après avoir mis sa Jeep au garage, pénètre dans la grande villa.
« Où est-elle ? » pense le jeune homme en ne voyant pas son épouse dans la cuisine. Du coup, il appelle :
— Chérie, où es-tu ?
Aucune réponse.
Surpris, mais pas inquiet, Philippe grimpe à l’étage, enfile le couloir jusqu’à la chambre du couple, ouvre la porte, se fige sur le seuil.
Aline est debout près du lit, vêtue d’un pantalon de cuir qui la colle au plus près, d’un chemisier blanc, dans sa main une cravache avec une épaisse languette de cuir à son extrémité.
Philippe, qui s’est remis de sa surprise, lance :
— C’est carnaval ?
Aline, la voix froide et tranchante, commande :
— À poil, va te doucher et te sécher, je t’attends ici dans dix minutes.
Comme il s’avance vers elle, Aline l’esquive, quitte les lieux.
Philippe la suit des yeux, admire la croupe bien enveloppée par le cuir noir.
Tout en s’interrogeant sur ce qui se passe, le jeune homme se déshabille rapidement, laisse ses vêtements éparpillés en désordre, se précipite sous la douche.
Quand il revient nu dans la chambre, Aline est là. Il va pour l’embrasser, mais une volée de la cravache vers son ventre l’arrête :
— Range tes affaires. Après je te veux contre le mur, mains bien à plat sur lui, pieds en retrait de vingt centimètres.
Philippe s’empresse d’ordonner ses vêtements sur un fauteuil, regarde son épouse :
— C’est quoi cette lubie ?
Sans un mot Aline s’approche, fait voler sa cravache dont la languette percute la cuisse.
— Aie ! Tu ne peux pas…
— Contre le mur. Oups !
Nouvelle volée sur l’autre cuisse.
Philippe comprend qu’il n’aura pas le dessus, fait face au mur, mains en appui et pieds en retrait.
Aline annonce :
— Comme mes caresses te chatouillent, cette cravache va te caresser le cul. Tu ne bouges pas, sinon ce sera pire : interdit pour toi de me toucher pendant un mois. As-tu compris ?
— Oui, oui, chérie. Aaaaaaaye !
La languette a percuté par deux fois la fesse droite. Impériale, Aline frappe le même globe une dizaine de fois, jamais au même endroit.
Elle s’approche de son mari grimaçant et bavant, pose sa main libre sur le cul chaud, passe sa tête vers le ventre, constate une belle érection de la bite, se recule en disant :
— Pas de doute, ça te convient mieux ! Apparemment ça ne te chatouille pas, maintenant au tour de sa sœur qui est blanche de jalousie.
Aline lève la cravache, l’abat sur la fesse gauche. La languette percute dix fois la chair. Philippe crie à chaque percussion, frotte ses fesses sitôt les volées achevées.
La jeune femme frappe les mains, tonne :
— Mains sur le mur, tout de suite.
Philippe obéit.
Aline s’approche de lui, cravache sous le bras, passe ses mains sur le cul orné des vingt marques mordantes de la languette de cuir. Elle constate, en mettant une de ses mains sur le long sexe fin de son mari, qu’il bande contre toute attente, et qu’il est même bien dur. Elle commande :
— Baisse tes mains, regarde-moi ! LIRE LA SUITE
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