Amours mécaniques
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Sue hoqueta, la glotte fouettée par la violence de l’éjaculation. La queue enfoncée jusqu’à la garde dans la bouche de la petite Vietnamienne, Monsieur Georges tirait d’interminables bouffées sur son Davidoff. L’ancien photographe de presse fumait rarement. Depuis sa sortie de l’hôpital, c’était même la première fois. La tête renversée, bien calée dans son profond fauteuil anglais, il savourait avec un bonheur sans mélange autant la fumée du cigare que le traitement que lui prodiguait la domestique. Deux orgasmes en moins d’une demi-heure, pas franchement raisonnable… Mais quand elle le voulait, Sue savait se montrer diabolique.
Monsieur Georges se reprocha néanmoins son abandon. À son âge, il fallait savoir s’économiser. De sa main restée libre, le sexagénaire s’empara d’un téton de la bonniche. « Pour te punir de ton zèle », lâcha-t-il en pinçant la pointe fragile. La jeune femme avait un corps de garçons, des seins minuscules, mais des bouts hypertrophiés. Très longs. Très sombres aussi. Presque noirs, comme la chevelure aile de corbeau dont elle était si fière.
Sue frissonna. Elle aimait la manière rude dont son maître la traitait. Sans relâcher son attention pour le phallus qui reprenait une étonnante consistance dans la cavité qu’il emplissait, elle se mit à caresser de la pointe de l’ongle les testicules de Monsieur Georges. Malgré deux orgasmes, la bite avait retrouvé toute sa dureté. Le sexe du vieux monsieur n’avait pourtant rien d’exceptionnel. Vaniteux, le retraité regrettait qu’il ne fût pas plus gros, le gland surtout qu’il aurait voulu aussi mafflu que celui de son dogue allemand. Mais personne n’est parfait… Et, belle consolation, la relative modestie de sa queue lui avait généralement permis d’assouvir ses penchants de sodomite avec la plupart de ses maîtresses, même avec celles qui assuraient pourtant refuser ce privilège à leur mari. Patient et habile, il avait d’ailleurs gagné à sa « cause » nombre de femmes qui, avec le plaisir anal, avaient découvert l’épanouissement, quand ce n’était pas tout simplement leur véritable… voie.
Sue était de celles-là. Il faut dire que la petite Asiatique, tout juste sortie de l’adolescence, avait le vice dans la peau. Elle adorait le cul. Aucune expérience nouvelle ne la rebutait. Sur ce terreau particulièrement fertile, le photographe n’avait éprouvé aucune difficulté à faire pousser les fruits vénéneux d’une sexualité tyrannique qu’il comparait volontiers à la sienne. Du reste, en bien des points, Sue lui ressemblait. Elle était autant sa complice que son esclave. Belle comme un cœur, la jeune femme n’avait pas son pareil pour ramener à la maison toutes sortes de proies. Il suffisait qu’elle dissimule ses yeux fiévreux de névropathe derrière des lunettes noires pour obtenir, dans les rangs féminins surtout, des succès que son compère savait parfaitement exploiter. Hier encore…
« En position ! » commanda Monsieur Georges. LIRE LA SUITE
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