Virginie et Alexia

La chasse aux puceaux
vendredi 16 juillet 2010
par  Monsieur Pat
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Lorsque nous avions 22 – 23 ans, mon amie Alexia et moi aimions particulièrement les garçons un plus jeunes que nous de 5 ou 6 ans, surtout s’ils étaient un peu timide. Pour les trouver, nous partions à ce que nous appelions « La chasse aux puceaux. », ou le déniaisement des puceaux.

Pour dénicher notre « gibier », nous allions sur les terrains de foot, ou sur des places communales dans les petits villages, là où les jeunes avaient l’habitude de se retrouver. Nous repérions ceux qui étaient seuls ou un peu isolés des autres, et là commençait notre travail d’approche.

Comme nous étions un peu plus âgées qu’eux, et que nous avions déjà une voiture, nous les impressionnions. Après nous être approché et avoir lié conversation, nous les emmenions faire un tour en voiture là où ils le désiraient. Généralement nous n’allions guère loin, bien souvent un tour du village pour que leurs copains puissent les voir en charmante compagnie. Nous prenions ensuite l’habitude de les retrouver chaque week-end, et nous nous faisions le plus charmeuse possible. Après quelques semaines, ils étaient mûrs, il n’y avait plus qu’à les cueillir, ce fut le cas par exemple pour Mickaël et Florian.

Ils avaient 18 ans tous les deux, et plutôt en avance physiquement pour leur âge, de plus ils étaient beaux garçons. Ils nous avaient avoués après plusieurs semaines de notre petit manège, qu’ils aimeraient bien sortir avec nous.

Mickaël avait craqué pour moi, et Florian pour Alexia.

— Vous êtes très belles, et vous nous plaisez beaucoup, nous aimerions que vous soyez nos petites amies. Nous confia Florian un dimanche soir.

— Cela nous touche beaucoup, et vous nous plaisez énormément également, mais nous avons l’habitude de sortir avec des garçons plus âgés.

Annonça Alexia sur un scénario bien rôdé. Les garçons commençaient à désespérer lorsque j’intervins.

— Nous voulons bien essayer avec vous, mais comme nous avons déjà été déçues par certains garçons, nous voulons être sûres que vous ferez tout pour nous faire plaisir.

Heureux de ce retournement de situation, ils juraient de faire tout ce que nous leurs demanderions.

— Alors pour nous prouver ce que vous dîtes, vous commencerez par vous raser les poils, car nous n’aimons pas cela. Vous voyez ceux auxquels on pense. Commenta Alexia.

— Tous nos anciens petits amis le faisaient. Dis-je pour les rassurer davantage. On se retrouvera samedi prochain au stade, et si vous nous avez fait plaisir, on sortira avec vous.

— Mais il faut que l’on vous dise autre chose encore. Ajouta mon amie : Virginie et moi sommes de vraies amies qui partageons tout, même les petits copains, nous ne sommes pas jalouses du tout. Ce qui veux dire que l’on ne sortira pas forcément l’une avec l’un d’entre vous, et l’autre avec le deuxième, mais que nous deux sortirons avec vous deux sans distinction. Vous aurez ainsi 2 filles chacune pour vous.

Le samedi suivant, je suis sûre qu’ils étaient là depuis un bon moment à nous attendre quand nous sommes arrivées. Dès qu’on les a vu, nous leur avons fait signe de monter dans la voiture, et nous sommes parti dans un petit coin tranquille. Une fois descendu de la voiture, c’est Alexia qui les a branchés sans détournement.

— Ôtez donc vos shorts que l’on voie si vous nous avez fait plaisir.

Mickaël et Florian se retrouvèrent à demi-nu, les mains cachant timidement leur service trois pièces.

— Comment voulez vous que l’on vérifie si vous faites les timides, mettez vos mains sur vos têtes. Leur intima t’elle

Une fois la position prise et constatant qu’ils nous avaient obéi, Alexia se jeta sur Mickaël et l’embrassa avec passion. J’invitai Florian à en faire autant, invitation qu’il ne mit pas longtemps à mettre en pratique.

— Je vais chercher une couverture, dis-je, nous serons mieux.

Lorsque je revins, j’étais entièrement nue, les 2 garçons n’avaient d’yeux que pour moi. Pendant qu’ils me regardaient, Alexia se mit également en tenue d’Eve, et les apostropha :

— Et alors, je ne vous plais pas moi.

Le regard des deux garçons allaient de l’une à l’autre, puis se croisaient avec un petit sourire, en ayant l’air de se dire : « Mais non mon vieux, on ne rêve pas. »

Puis nous nous allongeâmes tous les quatre pour un après midi passionné. Ce que nous pensions se confirma, ils étaient bien puceaux, et c’est grâce à nous qu’ils ont perdu leurs virginités.
Nos relations continuèrent ainsi quelques temps, nous faisions l’amour soit avec l’un, soit avec l’autre, ou encore avec les deux, histoire de bien les accrocher. Mais il était temps de continuer à suivre notre plan, ce fut à nouveau Alexia qui leur proposa :

— Est-ce que cela vous plairait de faire l’amour avec d’autres filles ?
Les garçons ne comprenaient pas, ils pensaient que nous ne voulions plus sortir avec eux. Je les rassurai :

— Nous vous aimons plus que jamais, mais on vous a dit le premier jour que l’on n’était pas jalouse. Nous avons parlé de vous à nos amies, et elles voudraient bien faire votre connaissance. Cela ne nous dérange pas de vous partager, à partir du moment où vous êtes amoureux de nous, et que c’est uniquement pour leur faire plaisir que vous les verrez. En plus je vous rappelle que vous avez promis de faire tout ce que nous voudrions.

Il ne fallut pas longtemps pour les convaincre.

— Nous sommes d’accord. Dirent-ils à l’unisson.

— Cela tombe bien que vous soyez nus, on va vous prendre en photo pour vous montrer à nos amies. Allongez-vous sur la couverture, je vais chercher mon appareil.

On passa la fin de l’après midi à les prendre en photos dans de nombreuses poses, et en particulier leurs anatomies sexuelles.
On leur expliqua ensuite qu’on ne pourrait pas toujours être avec nos amies pour le leur présenter. Mais que si une fille se présentait à eux avec un certain médaillon, ils devraient la suivre et lui faire plaisir. Nous avions acheté plusieurs médaillons identiques que nous leur avions montrés. Et surtout que si elles ne leur présentaient pas ce passe droit, ils devaient les ignorer, celles là ne seraient pas de nos amies.

— J’espère que vous serez à la hauteur, car si elles sont déçues, elles se le diront et les autres filles ne voudront plus aller avec vous.

Dans les semaines qui suivirent, les garçons qui profitaient de nos amies nous expliquèrent combien ils étaient heureux d’être avec des filles comme nous. Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que nos amies nous rétribuaient pour les moments qu’elles passaient avec eux.

Il était temps de passer à la partie suivante de notre plan, pour gagner encore plus d’argent.
Un après midi que nous étions dans notre coin tranquille, et après leur avoir fait à chacun une super fellation, nous leur proposâmes :

— Est-ce que cela vous ferait plaisir de nous voir faire l’amour toutes les deux ensemble.

Là encore ils croyaient rêver, jamais ils n’auraient pu imaginer une telle proposition de notre part. Nous avions souvent l’habitude, Alexia et moi de nous donner du plaisir mutuellement, alors ce fut donc sans aucun complexe que nous nous donnâmes en spectacle devant nos deux « chéris ».

Tout en nous caressant et en nous embrassant, nous jetions un œil vers eux. Ils étaient fascinés par notre spectacle, et comme ils étaient nus, nous avions pu constater qu’ils étaient très excités par notre show.

Après notre représentation, une partie plus dure allait se jouer.

— Est-ce que cela vous a plu ? demanda Alexia.

Nous n’attendions pas de réponse, le simple fait de les regarder nous apportait la réponse que nous connaissions par avance.

— Nous non plus, ne dédaignons pas les spectacles du même genre. Continua-t-elle.

Pour que ce soit bien clair dans leurs esprits, je précisai.

— Nous serions super contente de vous voir tous les deux vous donner du plaisir.

Les eux garçons y étaient violemment opposés, il fallu batailler farouchement. Nous leur expliquâmes tous les inconvénients à nous décevoir : que l’on ne sortirait plus avec eux, qu’ils ne verraient plus nos amies, et surtout qu’ils avaient une promesse à honorer. Pour les rassurer, nous leur assurâmes que de tous les garçons que nous connaissions le faisaient sans complexe, et que nous ne le dirions à personne. Naïvement avec leur jeunesse, ils semblaient croire ce gros mensonge.

Après bien des palabres, et que nous leur ayons promis de les aider, ils consentirent à nous faire plaisir, sous la condition expresse que nous ne dirions rien à personne. Ce fut à ce moment une grande source de plaisir pour nous : nous nous régalerions de ce spectacle à venir, mais surtout notre plan prenait une bonne tournure.

Une fois Mickaël et Florian face à face sur la couverture, nous nous couchâmes collées derrière chacun d’eux. LIRE LA SUITE



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Commentaires

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jeudi 22 décembre 2011 à 19h05 - par  Céd

Ce récit est l’un des plus excitants que j’ai lu. J’aime à le relire (en me masturbant, toujours).
Félicitations pour la qualité de cette petite perle.