Amélia

Chapitre 1
mardi 24 septembre 2013
par  petitbu
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Karl Grossmann est directeur d’un institut de formation d’Educateur spécialisés dans le suivi judiciaire. C’est un internat qui comporte deux bâtiments : un pour les jeunes filles et l’autre pour les jeunes garçons. Le concours d’entrée est très difficile et nombreux sont les échecs.
La plupart des internes sont des filles car le métier n’est pas très attirant, notamment ces dernières années. Le règlement intérieur est très strict et aucun manquement n’est toléré. Un contrat de bonne conduite est signé avec carte blanche au directeur pour régler les éventuels conflits ou écarts.
Le directeur de l’institut est marié à un professeur qui travaille sur un autre site et qui est absente durant les jours de semaine. Il loge au dessus du bâtiment administratif et a pour habitude de prendre une stagiaire pour les travaux domestiques, entre autres.
Amélia, en première année avait déjà fait parler d’elle au moment de l’inscription. Sa tenue plutôt « excentrique » et surtout provocante avait donné lieu à un premier rendez-vous dans le bureau du directeur, Monsieur Grossmann : un avertissement qui pourra se transformer en exclusion en cas de récidive ou d’autres écarts au règlement.
Au bout du troisième jour, une inspection des chambres (petits studios individuels) est effectuée par le surveillant général en absence des locataires afin de se rendre compte de la bonne tenue des locaux. Trois étudiants seront convoqués à la direction dont Amélia. Le dialogue est éloquent :
—  Amélia, qu’avez-vous mis dans votre table de nuit ?
—  Quelques livres, Monsieur le directeur.
—  Et quoi d’autre encore ?
—  Rien Monsieur le Directeur…
—  Allons voir.
C’est ainsi que le Directeur et le surveillant général se retrouvent dans la chambre d’Amélia à qui ils demandent d’ouvrir la table de nuit. Plusieurs godemichets, un plug et une boite de préservatifs se trouvaient là, au milieu de livres de psychologie. C’est assez pour qu’Amélia rougisse et se sente coupable.
—  Vous savez ce que vous risquez, Amélia ?
—  Oui, Monsieur le Directeur. L’exclusion. Mais par pitié, ne le faites pas. J’ai vraiment besoin de cette formation.
Et elle se met à pleurer. Le directeur la convoque alors dans son bureau dans l’heure qui suit, avec sa valise de vêtements.
—  Amélia, il y a une solution à votre problème : vous restez dans notre établissement, mais vous logez chez moi et vous assurez les tâches domestiques. Ceci étant, je veux des résultats scolaires des meilleurs. Vous avez 1 minute pour réfléchir.
—  C’est tout réfléchi, Monsieur le Directeur. J’accepte.
—  Alors vous allez me suivre. Désormais vous m’appellerai Maître Karl.
—  Oui, Maître Karl.
Amélia était trop heureuse de pouvoir rester à l’institut et peu importe ce qui allait lui arriver. Elle fut malgré tout tonnée de devoir laisser sa valise avant de monter dans les appartements de Monsieur le Directeur.
Une fois entrée dans l’appartement, elle dut aller se mettre debout dans le salon afin de recevoir les consignes. Elle a attendu debout pendant au moins une heure. De quoi être complètement stressée et angoissée.
Enfin Maître Karl arriva avec une grande boîte en carton. Il s’assit dans un fauteuil et regarda Amélie :
—  Déshabille-toi !
—  Mais…
—  Tu es sourde ?
Amélia enleva sa veste et attendit
—  Je ne parle pas français ? C’est nue que je te veux.
Elle avait bien compris mais n’osait pas se mettre ainsi devant cet homme mûr qu’elle craignait par-dessus tout. Elle était maintenant dans son plus simple appareil. Nue comme un ver et toute honteuse. Comme toute brune qui se respecte, sa pilosité était bien visible. Il faudra enlever tout ça pensa Karl. Ses seins étaient plutôt petits mais avec une belle forme de petites poires bien mûres !! Rien que regarder ce petit brin de femme donnait déjà du plaisir au bon Maître Karl ! Mais il ne fallait encore pas dévoiler toutes ses batteries.
—  A genoux. Tu vas tout d’abord me remercier de t’avoir donné une chance. Approche doucement, mains dans le dos. Et répète : « Je vous remercie de m’avoir gardée à l’institut et vous obéirai sans rechigner ».
—  Maître Karl, Je vous remercie de m’avoir gardée à l’institut et vous obéirai sans rechigner.
—  Encore une fois !
—  Maître Karl, Je vous remercie de m’avoir gardée à l’institut et vous obéirai sans rechigner.
—  Bien, maintenant occupe-toi de mon sexe. J’espère que tu as déjà fait une fellation et que je ne serai pas déçu.




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Commentaires

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vendredi 27 septembre 2013 à 22h45 - par  Petitbu

Patience, la suite est presque prête...

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mercredi 25 septembre 2013 à 09h49 - par  Magister52

Un début en fanfare qui promet pour le suite que j’attends avec impatience ;-)

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