Trois histoires SM brèves
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Butin de guerre
Elle a un postérieur proéminent, proéminent et ferme. Si j’étais poète, je dirais que ses fesses ressemblent plus à une paire de grosses pommes qu’à des melons d’eau charnus.
WIIIIISSSSCHLAC !
J’aime ces brins de bouleau. Ils sont noueux et ils piquent. Et j’aime cette salope. Elle est plus jeune que l’autre et elle est un peu timide… Je leur apprends comment baiser correctement, et la plus jeune est un peu en retard dans ses cours…
J’utilise une technique connue des psychologues sous le nom de « réflexe conditionné involontaire ». C’est ce que je connais pour dominer, éduquer, dresser. Qu’y a-t-il dans un nom ?
L’objectif est que lorsque j’en aurai fini avec elles, elles m’obéiront au doigt et à l’œil comme des chiens bien élevés. Leur Maîtresse, Mme Albright, la sadique nord-américaine bien connue, a été très claire sur ses désirs :
« Je veux de vous quatre choses : les filles doivent vivre dans un état permanent de terreur, elles ne doivent penser qu’au sexe, vous devez en faire de vraies lesbiennes et la pensée d’un homme doit les rendre malades. »
Jusqu’ici, j’ai réalisé le premier point : elles sont franchement terrifiées. Elles savent qu’elles sont des esclaves, ce qui aide beaucoup, tout comme ma collection de fouets et de brins de bouleau.
Et le quatrième point, détester les hommes, vient gentiment comme le résultat de ce que je les baise tout le temps, quelquefois avec ma queue, d’autres fois avec des bâtons, et parfois par des salauds, par devant et par derrière. Un de mes trucs consiste à leur injecter un cocktail de haute technologie d’hormones aphrodisiaques ! Je suis un peu en retard sur mon calendrier en ce qui concerne le troisième objectif de la liste : en faire de vraies lesbiennes. Là, ça sent l’échec. J’ai été ennuyé que, le premier jour, Mme Albright leur a frotté la figure chacune avec les sécrétions de l’autre. Je n’avais pas aimé la manière dont elles avaient réagi.
Excusez-moi, mais il faut que je termine mon boulot. Il est important de ne pas perdre le rythme.
« Allez, on recommence depuis le début. »
Llina, la plus jeune, vient de donner à Londra un baiser passionné sur les lèvres. Le problème est que Llina fait semblant d’aimer ça, je le vois bien. Je lui crie :
« Lève ton cul, Llina. Plus haut, plus haut ! Et baisse la tête ! Montre-moi ton con ! Je veux voir ton con, lève-moi ce cul plus haut ! »
Llina soulève son derrière et pose son visage sur le ventre de l’autre fille. Elle ferme les yeux, dans l’attente des coups de brins de bouleau. Elle sait que sa chatte est haute et bien exposée, les lèvres légèrement ouvertes, comme une chèvre. Elle ne peut pas serrer les jambes parce que ses chevilles sont attachées au cadre. Elle ne peut qu’attendre que les brins de bouleau s’abattent.
WIIIIISSSSCHLAC !
Llina crie de douleur :
« AAAARRRHHHHH ! »
Les verges l’ont frappée sur le vagin et sur le derrière. Elle déteste ça.
« Maintenant, vas-y ! Recommence avec les seins ! »
Lentement, Llina passe sa langue sur toute la surface des seins magnifiques de l’autre fille, centimètre par centimètre. Elle les lèche, elle les embrasse, elle les prend dans sa bouche et les aspire à fond. Elle s’améliore, elle gémit et halète de la manière que je lui ai enseignée. Très bien.
Londra aussi ferme les yeux. Mais elle aussi simule. C’est du jeu de scène à l’état pur. Lorsqu’elles se heurteront au cuir tanné de Mme Albright, elles ne s’en tireront pas avec ces mimiques d’actrices.
J’attrape Llina par la taille et lui enfonce ma bite palpitante dans le cul.
« AAAAARRRRHHHHHHHHHH ! »
Je sais qu’elle déteste ça. Elle déteste être baisée par son entrée de derrière.
« Maintenant, embrasse sa chatte jusqu’à ce qu’elle jouisse… »
Les jeunes lèvres rouges et mouillées s’appuient sur des lèvres différentes, plus pâles, plus sensibles, plus mystérieuses. D’après ce que j’entends, ces autres lèvres se lubrifient très bien. Une langue y entre, explore, trouve un clitoris et tourne autour. Très bien. Les choses se passent bien. Llina change de rythme et se met à sucer le clitoris, ainsi que je le lui ai appris. Elle l’aspire entre ses dents. Je dis à Londra qui est en face de moi :
« Je veux que tu sentes sa langue. »
Et je dis à Llina :
« Et je veux que tu sentes ma bite. »
Tout en travaillant le derrière de Llina, excité par les poussées du bassin de Londra, je dis à celle-ci :
« Sens-la, Londra. Et maintenant, regarde-moi dans les yeux et dis-moi que tu m’aimes bien. »
Elle va de plus en plus vite, ses nichons dansent et elle me regarde.
« Oui, je vous aime… AAAAHHHHH ! Je jouis… Je jouis… NON ! NOOOOOON ! »
Sa tête se balance d’un côté à l’autre, elle se mord la langue au coin de sa bouche. Elle perd son contrôle. Je lui tire dessus !
« AAAARRRRHHHHH ! »
Londra et moi avons un orgasme en nous regardant dans les yeux, comme deux amants. Nous jouissons tous les deux en nous ne nous sommes même pas touchés !
Llina sanglote dans la chatte de Londra. Je me sens désolé pour elle. C’est dur, mais elles doivent passer par les différentes étapes. C’est pour leur bien. Ce sera pire avec cette gouine hommasse qu’est Mme Albright. Elle a l’habitude de donner des ordres et aussi d’être obéie. Lorsqu’elle s’excite, elle peut être vraiment méchante. Elle battra le cul de Llina comme je le fais. Mais lorsqu’elle aura fini, elle défera les verges et passera chaque brin noueux et tordu, l’un après l’autre, le long de sa chatte, de haut en bas, dans les sécrétions entre les lèvres, d’avant en arrière, sur le clitoris, encore et encore jusqu’à ce que les rameaux soient luisants et glissants. Puis elle les remettra en botte et battra à nouveau la fille avec. Elle lui battra les seins, puis le cul à nouveau. C’est une méchante femme et elle sait comment faire vraiment mal à une chatte.
Il y a une histoire à propos de Hissa, l’Arabe provenant de la guerre du Golfe. On dit qu’elle s’est étouffée après avoir été avalée jusqu’au cou par le cul géant d’Albright. Et lorsque je regarde Llina, je me dis que je n’aimerais pas qu’il lui arrive la même chose.
C’est un drôle de boulot. À dire vrai, je ne le fais que pour l’argent. Je ne l’aime pas particulièrement. Si je pouvais choisir, je formerai des femmes-esclaves pour des messieurs, pas pour d’autres femmes. Je pense que je me gâche moi-même.
Mais qu’y peut-on ? Celui qui paie le sonneur choisit le morceau. Dernièrement, tous mes clients sont des lesbiennes fascistes comme cette Albright. Aussi je me contente de mon salaire et du plaisir que je peux grappiller au passage. LIRE LA SUITE
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