Un gang-bang qui tourne mal

Chapitre 3 (Fin)
dimanche 5 mars 2023
par  trouchard
popularité : 9%
24 votes

– S’il vous plaît, pas plus ! Dis-je faiblement en sentant que mes pieds et mes mains sont complètement déliés de la structure en fer. Tandis qu’ils s’activent à me détacher, je sens le sperme qui me recouvre commencer à s’écouler. J’ai la sensation d’être sale et dégoûtante. Je sais que chacun d’eux a joui sur moi. Et comme ils sont… six, je crois, et qu’ils ont joui plusieurs fois, ça fait beaucoup de sperme.

Au moment où je ne suis plus retenue par les cordes, je tombe à la renverse, mes jambes ne répondant plus à mes ordres. Heureusement, ou peut-être pas, quelques gars m’attrapent avant que je ne tombe. Ils me soulèvent par les bars et me mettent plus ou moins debout. Je peux entendre leurs rires, j’ai vraiment l’impression qu’un train m’est passé dessus.

Et maintenant je suis en train de marcher en étant à moitié traînée sur ce terrain de jeu public. Mes pieds bougent pour que je puisse marcher, mais ils vont bien trop lentement. Puis-je les blâmer ? Un train vient de me rouler dessus et j’ai été baisé au moins vingt fois de suite. J’aimerais bien savoir si quelqu’un est capable de marcher normalement après avoir subi ça.

– Pourquoi as-tu répondu à cette annonce, Michelle ? Me demandé-je à voix haute alors qu’ils m’aident à avancer. Quand ils m’entendent, ils rient tous d’un vrai rire qui montre que ma réflexion était drôle.

Pourquoi ai-je dû faire quelque chose d’aussi fou que ça ? Je vais avoir mal pendant des semaines, voire des mois, à cause de tout ce qu’ils m’ont fait subir. Bon sang, je ne suis pas sûre que mes seins retrouveront un jour leur apparence normale. Et toutes ces marques ? Non seulement ils m’ont tous baisée, mais ils m’ont aussi fouettée avec rudesse. Et ils ne m’ont pas fouetté que les fesses, ils se sont aussi acharnés sur mes seins et ma chatte.

– Ça vient ! Dit quelqu’un comme un avertissement pour que je puisse me préparer.

De l’eau glacée est projetée sur mon estomac. Instantanément je suis refroidie et je pousse un petit cri. En réaction, je lâche les gars qui me tiennent et je lève les mains pour me protéger du jet d’eau. Mais celui-ci se déplace vers le bas et asperge mes jambes. Alors j’essaie de le bloquer avec mes mains, mais les gars rigolent et arrosent ailleurs.

Je comprends alors qu’ils me lavent, qu’ils me douchent comme dans une prison. Alors j’arrête d’essayer de me protéger du jet et je les laisse faire. Et je fais la chose la plus dégoûtante que je n’ai jamais eue à faire, j’essuie le sperme sur mes yeux pour pouvoir voir ce qui se passe. Maintenant je peux voir le gars qui m’arrose. Nous sommes tous à côté d’un petit hangar, où semblent être rangés tous les outils de jardinage.

L’eau gicle sur mon corps. Je m’agite et me tortille, car l’eau froide est une vraie torture sur mon corps brûlant. L’eau est pulvérisée sur chaque parcelle de mon corps nu pour me nettoyer.

C’est alors qu’un autre gars s’approche de moi avec une bouteille qui semble contenir du savon vaisselle. Lorsqu’il arrive près de moi, le jet d’eau est dirigé vers le bas. Un sentiment, maintenant trop familier, d’humiliation m’envahit à nouveau lorsque le type commence à verser le liquide vaisselle… sur moi. Il commence directement sur mes seins, les noyant sous le liquide bleu et épais, puis il continue par mes épaules et sur le haut de ma tête et mes cheveux. Puis il descend et presse la bouteille sur moi à mesure qu’il se déplace. Ça lui prend bien une minute, mais il verse du savon sur chaque centimètre de mon corps.

La confusion que je ressentais plus tôt revient et elle est incontrôlable. Je ne comprends plus ce que je veux. Je veux dire qu’ils ne font pas là ce pour quoi j’ai signé, et pourtant j’adore ça. Le problème c’est que je déteste ça aussi. Je ne comprends pas comment je peux détester quelque chose que j’aime.

Ils auraient bien pu me donner un pain de savon et me dire de me nettoyer, mais non. Comme un chien, ils me versent du savon dessus et ils utilisent ce putain de tuyau pour me rincer. Tout ça juste pour pouvoir rire de moi. Ils ne veulent pas me traiter comme un être humain, mais comme une chose.

Mon humiliation augmente lorsque je sens des mains se poser sur moi pour faire mousser le savon. Je pourrais essayer de les arrêter, mais je garde les bras collés contre les côtés de mon corps. Je sais bien que si j’essaie de les empêcher on va de nouveau attacher mes mains.

Au premier regard, je me suis dit qu’ils devaient utiliser des éponges, mais quand je regarde mieux, je vois qu’il s’agit de morceaux de mon tee-shirt. Il utilise mon tee-shirt qu’ils ont déchiré pour nettoyer la saleté sur mon corps. Je gémis en entendant leurs rires alors qu’ils frottent vigoureusement mes seins douloureux qui ballottent.

L’eau est remise en marche et me frappe directement entre les jambes. Je glapis. Alors qu’ils m’aspergent et lavent le savon et la saleté, je dois admettre que je me sens mieux. Ne plus être recouverte de sperme est une bonne chose. Se sentir propre change vraiment la façon de voir les choses.

– C’est bon, j’y vais ! Crié-je d’agacement alors que l’on me pousse par-derrière en me demandant de marcher. LIRE LA SUITE


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Commentaires

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mardi 7 mars 2023 à 14h13 - par  Henic

Finalement, le titre est exact...