Les débuts d’une soumise 5
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« Ce soir on sort. »
C’est mon maitre qui m’a appelée pour me prévenir. Je connais les consignes et me dépêche de me préparer pour cette soirée dont je ne connais pas le programme mais les règles, au demeurant très simples : je dois être habillée très sexy, aucun sous-vêtements, bien sur pas de pantalon et obéir à tous ses ordres sans discuter.
Après une douche je me suis parfumée et j’ai mis un corset qui laisse mes seins nus et les fait encore plus ressortir, des bas à coutures, une jupe boutonnée sur l’avant dont je n’ai fermé que les quatre premiers boutons pour qu’on aperçoive les jarretelles à chacun de mes pas et un chemisier légèrement transparent dont j’ai laissé plus de boutons ouverts que ne l’autorise la décence qui donne une vue sans équivoque sur ma poitrine, à chaque mouvement j’offre jusqu’à mes aréoles à tous ceux qui me voient.
Mon maître arrive et semble satisfait de ma tenue, j’enfile un manteau et nous partons. Je ne sais pas ou nous allons et n’ai pas le droit de le lui demander, une délicieuse angoisse commence à s’installer en moi.
Pendant le trajet je dois ouvrir complètement le chemisier et la jupe, en écarter les pans afin que je sois totalement nue à la vue de mon Maître et de tous. Je voie les regards des autres automobilistes que se posent sur moi à tous les feux rouges, ceux qui en profitent le plus sont les cyclistes et les motards puisqu’ils voient mon sexe offert, peu à peu je me trouble de cette exhibition…
Nous arrivons dans un restaurant j’ai reboutonné mes habits. Nous dînons tranquillement, mon maître ne m’a toujours rien dit de ses intentions pour cette soirée, il me fait juste ouvrir un bouton de plus de mon chemisier au moment ou le serveur apporte les plats, ce qui finit d’offrir une vue sans équivoque sur mes seins sans même que je bouge : on voit toute ma poitrine, le premier bouton à être fermé est entre mes seins et mon nombril, le chemisier est assez étroit et baille généreusement. Le serveur (qui avait entendu l’ordre de mon Maître) profite de tous ses passages pour profiter du spectacle, tout comme les tables voisines où ma tenue fait sensation. Je termine le repas ainsi et nous partons, offrant en me levant une vue très complète de ma poitrine mais aussi de ma vulve découverte par les mouvements que je suis obligée de faire pour me lever et mettre mon manteau que mon Maître m’aide à enfiler pour mieux m’exhiber.
Dans la voiture je dois bien sûr (et comme d’habitude) avoir la poitrine et le sexe nus et plusieurs automobilistes profitent encore du spectacle. Nous arrivons devant un hôtel et mon mari se gare sur le parking. « On sort. » Je me rajuste et descend de la voiture, il prend une valise dans le coffre et nous entons dans l’hôtel. Il prend une chambre pour la nuit. Nous montons nous installer. Je dois enlever ma jupe et mon chemisier et mettre mon collier de soumise (large de trois centimètres avec deux anneaux pour attacher les mains) qu’il a pris soin de mettre dans la valise qu’il a emmenée. Il commande une bouteille d’eau au service d’étage et je sais alors qu’il va m’exhiber. Il sort une badine de la valise me fait allonger sur le dos à même le sol et me donne deux coups sur chaque seins, je crie à chacun. La badine a laissé des marques rouges sur mes seins et mes tétons sont turgescents. On frappe à la porte « service d’étage » « Tu vas ouvrir la porte et faire entrer puis tu viendras te mettre à genoux au milieu de la chambre, mains dans le dos, jambes écartées au maximum, bouche ouverte et seins tendus ! ». LIRE LA SUITE
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