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Sophie découvre la chambre de Géraldine, assez vaste, la regarde se dévêtir entièrement, puis enfiler un short de cuir moulant, laisser ses petits seins libres de toute entrave. Elles passent par une porte intérieure qui les mène à la grande chambre de Clara. Elles perçoivent du bruit dans le dressing dont la porte est ouverte.
Géraldine commande :
— À poil !
Sophie ôte tous ses vêtements, les dépose soigneusement dans un fauteuil libre. Elle fixe, ébahie, l’entrée de Clara : nue. Malgré cela elle dégage toujours une autorité surprenante. Même si elle est grosse, ça ne déborde pas. Clara s’assied dans un des fauteuils, dit :
— Géraldine, ne perd pas de temps, donne-lui sa fessée. La raquette est dans le meuble réservé.
Géraldine se rend vers un meuble massif. Une fois la porte ouverte, Sophie voit divers objets de correction, des plugs et godes, tous bien alignés.
Géraldine choisit une raquette de taille semblable à celle de ping-pong recouvert de cuir noir, gante sa main droite de latex, ouvre une boîte, plonge sa dextre, la sort en tenant une espèce de suppositoire vert, long comme un majeur, épais comme un pouce, se retourne avec dans sa main gauche un petit plug plus massif, ordonne à Sophie :
— Dispose cette chaise (elle désigne celle au dossier droit) ici…
Elle tend la main vers un point distant de deux mètres du fauteuil de Clara.
Sophie, malgré la présence toujours envahissante du plug dans ses fesses, se hâte, non par l’envie d’être fessée, mais pour s’éviter quelque reproche.
Géraldine s’assied :
— … À plat ventre !...
Sophie ne se le fait pas répéter, pose ses mains à terre pour ne pas choir, alors que la correctrice dépose sa raquette et le petit plug à terre à terre, la dispose à sa guise, fesses tournées face à Clara :
— … Écarte tes cuisses !
Géraldine pose sa main gauche sur le plug, l’extrait de sa chaude prison, le place à terre, sa main libre écarte les deux globes fessiers, dispose le suppositoire vert sur l’anneau rectal, l’enfonce profondément malgré le hoquet de Sophie, attrape le petit plug et lui fait prendre le même chemin que le suppositoire, s’assure qu’il restera en place, ôte le gant de latex, ceinture la pénitente, lève son bras avec sa main prolongée de la raquette qui descend frapper la fesse droite. Sophie serre les dents, ne veut pas régaler la fesseuse en criant. LIRE LA SUITE
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