Le Maître de Francine 4
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6.—Soumise.
Aussitôt la porte refermée, elle se fond dans mes bras, sanglote….
— Chéri, chéri…Je suis à toi, à toi….Fais de moi ce que tu veux ….
— Vraiment ?...Tu sais que ça ne va pas être facile…..
— Je sais…J’ai peur…Ne sois pas trop dur…
— Pourquoi es—tu revenue ?
— Tu le sais bien….Je t’aime….Tu m’as trop bien fait jouir…
— Tu obéiras ?....Tu sais que je te battrais ?...Que tu souffriras ?
— Oui, je sais…..J’obéirais….Apprends moi tout mon amour…
7.—Deuxième séance.
Même compte tenu de son retour, de cette première reddition, le plus difficile, en tous cas pour moi, c’est la deuxième fois.
Un peu comme pour le saut en parachute…L’inconscience d’abord et puis vient la réflexion….Ne pas me planter !!!
Elle est en pantalon….A amené un sac….
Sur le canapé, elle fond dans mes bras….Sa bouche est une merveille….Et je découvre ses seins nus sous le fin pull que je retrousse sous son cou….De beaux seins bien fermes qui durcissent aussitôt….Elle se tord sous mes caresses que j’arrête brusquement ... Elle halète, reprend son souffle, me regarde, étonnée….
— Quand je veux….Tu jouis quand je veux….Tu comprends ?
Un murmure, presqu’inaudible….Une grimace…Un soupir…
Madame venait pour être baisée comme la dernière fois, bien entendu…..
— Déballe ton sac…
Les joues en feu, encore excitée, elle obéit…
Une nuisette…Des dessous….Une robe…Une petite jupe…Une paire de talons informe…
Des richelieus, c’est ça….Quelle idée !
Une trousse de toilette….
— Pas terribles tes dessous…Un peu mémère, non ?....Et cette robe…Bien trop longue.... Ne t’inquiète pas, je t’emmènerais faire quelques achats…Va chercher les ciseaux, là bas…sur mon bureau.
Je taille dans le pantalon….Au ras de l’aine, suivant la courbe de la fesse….Elle a un sursaut…Et je découpe un morceau de tissu qui lui découvre la raie, en taillant dans le slip…Ce n’est pas terrible mais très suggestif…D’autant qu’elle se tortille, terriblement gênée…Je lui claque les fesses…Fasciné par sa cambrure, avalant ma salive en caressant ce cul splendide.
— Mmmmmh….Bien…C’est un peu mieux. …Tu vas ranger tes affaires... Et puis faire la cuisine… Si, si, dans cette tenue...
En principe, j’ai deux jours à passer avec elle…Rien ne presse…
Je la laisse découvrir mon appartement…Ranger ses affaires dans ma chambre, dans la salle de bains….Et nous préparer une énorme salade…Gênée d’abord, elle finit par se déplacer naturellement….A table….
— Tu as été revoir les photos ?
Rougissante, elle hoche la tête….
— Ça te choque ?
— Euh….Oui, beaucoup…Tu…Tu me battras, comme elles ?...J’ai si peur….
— Dans deux mois, c’est toi qui me le demanderas….
Elle baisse les yeux….soupire…
— Les seins nus, ma belle….enlève ton pull.
Elle rougit….(elle rougit toujours, encore aujourd’hui, 16 ans après….j’avoue que j’adore ça ) obéit….
— Tu…Tu les aimes ?...Ils te plaisent ?
Jamais deux seins pareils !...Ceux là sont très beaux, le volume idéal…..Identiques…On a souvent droit à un sein droit plus gros que l’autre…
— Oui….Bouge le torse…Caresse les…
Ce sont de belles pommes, attachés haut…très proches l’un de l’autre…Les petits tétons roses rebiquent vers le haut, petites aréoles rose brun… …Bien fermes…Juste comme il faut, comme j’aime… Elle halète en les prenant sensuellement dans ses mains…Je rêve déjà de les zébrer de fines estafilades, de les percer.
— Tes tétons sont trop petits…Mais on va les faire grossir…Tu verras….Vas chercher des bas…Tu vas les mettre ici devant moi, ….
Pendant qu’elle quitte sa « culotte », assez timidement, un peu gauche, fuyant mon regard, essayant de dissimuler l’essentiel, soupirant en voyant son slip déchiré, je demande…
— Comment va ton cul ?
— Bien….elle rit…Oh, j’ai eu un peu mal le soir et j’ai mis un peu de crème.
Les jours suivants aussi…
— Tu as chié normalement ?...Sans avoir mal ?...Pas de sang ?
— Euh….Enfin Jean !!!....Non…Enfin tout était normal…
— Tu as encore envie d’être enculée ?
— Bien sur….souffle—t—elle
— Tu sais ce qu’il faut faire, avant ?...Pour m’exciter…Pour que je bande très fort…
Elle baisse les yeux, hoche la tête, assise, les cuisses fermées….
— Réponds, que diable !
— Oui…
— Oui Maitre !
— Oui Maitre…
— Et c’est quoi ?
— De….Oh zut, je n’y arrive pas…Non, non, pas la cravache !!!...Il faut que je …chie devant toi….
— Et bien, tu vois, ce n’est pas difficile….Tu as envie ?..
— Pas tout de suite….Maitre….C’est le matin et au milieu de l’après midi que….
— Rien ne presse chérie…Préviens—moi quand tu seras prête…
— Oui…..Maitre…..Je…Tu es sur ?.....Il faut vraiment que je… ?...Tu...Tu aimes ça ?
— Comme toi d’être enculée…
— Rhoooo….C’est trop sale !
— Tsssst…Tu préfères la cravache ?...Tu ne veux plus que je t’encule ?
Elle baisse la tête…
— Montre—toi en mettant tes bas….. Debout…Tourne—toi….Tu as un très joli cul, ma jolie salope…Pose ton pied sur le tabouret…Lisse bien ton bas, attache—le….Tu comprends ?... Offre—toi, nom d’une pipe !!...Caresse tes fesses….Oui comme ça….Met un doigt dans ton cul….
— Maitre !!!....Oooooh !....Non, aie, pas la cravache….Comme ça ?...
— C’est bien….Jusqu’au fond, très lentement, penche—toi, branle—toi le cul très doucement….
Elle gémit …mais son doigt bouge dans le superbe petit trou….
— Tu l’as déjà fait ?
— Oui, quelquefois….
— Qui es—tu ?....Que fais—tu ?
— Je suis votre soumise Maitre….Je m’encule avec mon doigt…Et j’aime bien…J’ai envie de votre…..
Le vouvoiement est venu naturellement, comme pour souligner cette circonstance si « inhabituelle »…
— Viens ici !....A genoux…Caresse moi…Ouvre ma braguette…Du calme…Déshabille—moi. Tu n’as jamais déshabillé un homme, hein ?....Prends ton temps….Laisse—moi mon slip…Mes chaussettes….Voilà !...Prends mon pied dans ta main…Lèche—le…Suce mes orteils…Mouille bien et suce….Mmmmmh !....C’est très bien…Ouvre les cuisses…Plus ! Caresse tes fesses encore…Ton petit trou est bien ouvert ?
Elle est écarlate…Mais me suce les orteils sans dégout, les mordille, les yeux fixés sur moi ou sur mon slip gonflé….Un souffle…
— Oui…J’ai envie…Enculez—moi Maitre…
— C’est bien….On verra, si tu es bien sage…En attendant, viens…Je vais te raser…Non, comme ça, juste tes bas et tes talons…Il faudra t’acheter des talons plus hauts et plus fins, tu sais….
Elle ouvre de grands yeux en découvrant la petite salle blanche, la table de gynéco que je lui désigne …Son regard parcourt les murs, les étagères, affolée de ce qu’elle découvre...Pose le pied sur le petit marchepied, s’installe, pose ses pieds dans les étriers…les fesses au bord de la table….l’habitude…ouverte… LIRE LA SUITE
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