Laure - Première Soumission 3

Chap. 3. Vendredi (3ème partie)
mardi 6 novembre 2012
par  Luke
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Elle me tenait par la main et me traînait presque tant elle semblait pressée de rentrer.

Moi, je ralentissais exprès pour retarder le moment de reprendre le jeu et bénéficier de l’effet de surprise.

Une fois, la porte refermée derrière nous, je l’arrêtais de la voix comme elle se trouvait au salon.

« Laure » dis-je doucement.

Elle sursauta comme piquée par une épingle et se retourna pour me regarder.

« Laure, tu m’attends, je reviens dans un instant. »

Ses grands yeux s’agrandirent de surprise. Je l’avais brutalement tirée de son état second. Elle ne s’attendait pas à reprendre le jeu de la soumission, si vite.

« Bras le long du corps, pieds joints, on attend ».

« Oui, Maître » dit-elle d’un air déçu en prenant la position.

Elle l’entendit bouger des choses dans son bureau mais très intriguée, elle se demandait bien de quoi il s’agissait.

J’allais vérifier une ou deux choses sur mon ordinateur portable dans mon bureau car, dans les pièces principales, j’avais installé des caméras de surveillance comme on trouve dans le commerce spécialisé dans la surveillance et l’espionnage.

Très miniaturisées, elles sont très sensibles et fournissent des images haute définition en couleur.

Reliées à un détecteur de mouvement, elles se mettaient en route au moindre déplacement dans la pièce où elles étaient installées. Chères mais très discrètes. La preuve, Laure n’avait rien vu du tout de mon installation. Prétextant des menaces d’intrusion dans ma maison pendant nos absences, à ma demande, un ami m’en avait prêté plusieurs pour les essayer pour une courte période.

Mon ordinateur avait enregistré tous les mouvements de ma femme depuis ce matin. Il venait d’enregistrer notre retour.

Sur l’écran, la caméra dans le salon montrait Laure attendant sagement mon retour.

Une recherche rapide sur le disque dur de l’ordinateur à partir des heures d’enregistrement et je trouvais ce que je cherchais : sa séance d’entraînement de cet après-midi, visionnant les premières images, je tombais sur le strip-tease solitaire de Laure. Merveilleux, j’allais m’en servir immédiatement. Je lançais une lecture à partir de ce moment, figeais la projection, et laissais tourner la machine. Je lançais les connexions nécessaires pour afficher les images sur le grand écran de la télé. Ce serait nettement mieux pour les regarder.

Je regagnais le salon. Cinq minutes au plus venaient de s’écouler et j’espérais que la pression sur Laure n’avait pas trop diminué.

Je m’installais dans un des fauteuils devant elle et je dis tout haut, d’une voix sèche :

« Laure, viens ici. Mets-toi en position »Repos" face à la télé à côté de moi.

Visiblement plus qu’intriguée par ce qui allait se passer, elle s’exécute et s’accroupit en face de l’écran comme je viens de le lui commander.

C’est curieux. Il ne m’a pas demandé de mettre à poil. Qu’est-ce qu’il va encore inventer ?

Avec la télécommande, je démarre la projection à l’heure que j’avais repérée en regardant bien Laure pour voir sa réaction.

Quand elle découvre les images, Laure n’en croit pas ses yeux, ses yeux qui s’écarquillent. Elle se revoit sur l’écran, devant son miroir, bougeant lascivement son corps pour se déshabiller.

Son visage est pivoine tellement elle rougit de confusion. Furieuse, elle se retourne vers moi et dit d’un ton coléreux :

« Alors, tu m’as filmé à mon insu ? Depuis quand ? Tu vas… »

Tout de suite, d’un geste impérieux de la main, je lui coupe son élan et j’arrête la projection. Rapidement, je me baisse vers elle, lui saisit son visage par le menton et l’attirant ainsi vers moi, je rapproche son visage à quelques centimètres du mien.

Ce faisant, je l’avais presque soulevée du sol et je lui faisais visiblement mal. Elle cherchait un appui de ses deux mains pour garder son équilibre. Maintenant, je sentais qu’elle avait subitement peur.
En la maintenant ainsi, je lui dis très doucement et sur un ton très calme, annonciateur de tempêtes à venir éventuellement :

« Stop, Laure, tu t’oublies là, tu ne trouves pas ? Tu veux être punie ? et bien tu le seras… »

« Non, Maître, non s’il vous plait » répondit-elle d’un ton tout calme et soumis, se rendant compte que cela pourrait se gâter pour elle.

Sans la lâcher, je continuais :

"Tu ne te souviens pas que tu m’as dit tout à l’heure que Laure m’appartenait totalement ?

« Si, Maître. Pardonnez votre soumise de son écart de conduite, Maître. Pitié, Maître, ne vous fâchez pas, vous me faîtes mal »

« Tu crois çà, eh bien, qu’est-ce sera quand je m’occuperais sérieusement de toi » et je la lâchai brusquement.

Retombant lourdement sur le sol, vaincue et très effrayée, elle se mit à sangloter sur le coup de l’émotion et de la douche froide quelle venait de subir.

Excitation en fin d’après-midi - tendresse lors du repas du soir – attente de voluptés – brutal rappel à l’ordre de ses promesses – réalité de sa soumission.

« Et maintenant, on regarde gentiment, et en silence, que je puisse apprécier le spectacle »

« Ouiii, Maître. »

« Pour ta peine, à genoux, mains dans le dos, dos bien droit, ce n’est pas confortable à la longue mais tant pis pour toi, tu l’as cherché. Exécution. »

Elle resta encore quelques secondes sous le coup de cet échange verbal. LIRE LA SUITE

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