La maison était à l’image de sa propriétaire, froide et épurée. De plain-pied, avec son architecture originale et moderne par sa forme cubique et ses toits plats servant de terrasses, elle disposait de grands espaces lumineux grâce aux grandes baies vitrées présentes de part et d’autre. À l’extérieur une grande terrasse en bois se fondait parfaitement avec le reste de la maison et donnait sur une belle piscine au bleu profond.
Les couleurs de la décoration intérieure étaient contemporaines, mélange de couleurs, de gris, de marron, de noir et de blanc, utilisées pour le sol, les murs et les textiles. Le mobilier était design, de style minimaliste, de couleurs vives, créant une atmosphère moderne et originale. Les lignes étaient strictes et créaient un sentiment de légèreté et de confort.
Un salon tout en cuir fauve entouré d’un épais tapis de sol aux motifs résolument modernes les attendait. Élisabeth invita son jeune amant à l’y suivre.
— Pose ce sac et viens, lui ordonna-t-elle en lui tendant la main.
Elle plongea dans l’un des profonds canapés, une méridienne, entraînant Stéphane avec elle pour tout de suite l’enlacer passionnément.
— Tu n’es pas heureux avec moi, mon trésor ? Je peux très bien remplacer ta mère, tu sais. J’ai calculé : soixante et un moins vingt-quatre, je t’aurais mis au monde à trente-sept ans. C’est tout à fait crédible, mon bébé. Entre Brigitte Macron et notre président, il y a vingt-quatre ans, tu sais.
Pour elle c’était suffisant pour s’engager dans cette relation avec ce garçon. Et comme cela était tout à fait évident pour elle, elle l’embrassa, profitant de sa stupeur pour lui prendre ses lèvres à pleine bouche. Dans le mouvement, la veste de son tailleur s’ouvrit sur ses deux petits seins fermes et haut perchés.
Elle s’en aperçut et les lui exhiba, veste ouverte :
— Que penses-tu de mes seins, mon chaton ?
Élisabeth se mit à exhiber fièrement ses deux petits seins parfaitement galbés que l’on aurait très bien pris pour ceux d’une adolescente si son cou et son décolleté n’étaient pas marqués par les altérations de l’âge.
— Comment me trouves-tu ? Dis-moi, insista-t-elle encore, en se cambrant exagérément, épaules en arrière pour faire saillir sa poitrine dont elle était manifestement très fière, même menue.
— Belle… Je vous assure, vous êtes très belle, Madame, insista-t-il encore, comme s’il devait absolument la convaincre pour ne surtout pas la blesser.
Il voulut la prendre dans ses bras, mais elle le repoussa sans ménagement.
— Non… Je veux te voir nu, avant !
Emportée par son excitation, elle se mit à lui ôter avec fébrilité son petit blouson sous lequel il ne portait qu’un tee-shirt dans une maille si fine et extensive qu’elle épousait parfaitement son corps, telle une seconde peau. Le dessin de ses pectoraux puissants et ses tétons érigés apparaissaient au travers et finirent d’électriser Élisabeth. Dans une volonté farouche de le voir nu, elle lui arracha carrément par-dessus tête son tee-shirt avant de s’acharner sur son jean.
Pour l’aider, Stéphane se leva. Son jean slim lui collait aux fesses et Élisabeth dut s’y prendre à plusieurs fois pour le lui baisser et découvrir sous ses yeux émerveillés l’objet de tous ses fantasmes. Il ne portait pas, lui non plus, de sous-vêtement. Elle ne put cacher non plus sa stupeur, les yeux écarquillés face au membre de son jeune amant. Bien qu’il fût en semi repos, le sexe qu’exhibait Stéphane était magnifique. C’était une sorte de trompe, longue et épaisse, nantie à son extrémité d’un gland impressionnant, totalement apparent. Stéphane était circoncis, mais ce qui émerveilla davantage Élisabeth c’était qu’il était entièrement épilé, de la tête aux pieds. « Pas un seul poil non plus pour gâcher mon envie de le sucer », se dit-elle en saisissant cette queue magnifique exposée sous ses yeux.
Assise sur le canapé, elle se mit à caresser ses couilles aussi glabres que le reste de son intimité. Puis elle promena ses lèvres sur son ventre dont le dessin harmonieux des abdominaux lui faisait penser à ceux d’une statue d’éphèbe comme elle avait pu en contempler tant au musée du Vatican, à Rome, ou d’Agde, dans le midi de la France, plus récemment.
Élisabeth posa sa tête contre son entrejambe pour s’enivrer de son odeur, puis déposa quelques bisous et coups de langue sur son sexe.
Stéphane, debout, la regarda progresser vers son membre, et de voir cette tête grise entre ses cuisses le troubla au plus haut point. Il ne s’attendait pas à voir une femme de cet âge, aussi avide, saisir son sexe et prendre directement son gland en bouche.
Élisabeth était aux anges, il y a bien longtemps qu’elle n’avait pas exécuté une fellation. Elle n’avait pourtant rien oublié de la façon de s’y prendre pour réveiller l’ardeur de son jeune amant. Maintenant gonflé et dressé, ce sexe ne demandait plus qu’à être dévoré jusqu’à la jouissance. Son jeune amant semblait beaucoup aimer ce qu’elle lui prodiguait. Sa bouche parvenait à contenir son sexe sans trop de difficulté et à jouer avec. Et puis quand elle manquait d’air, il suffisait qu’elle glissât ses lèvres et sa langue autour de son gland pour continuer à satisfaire ce garçon si beau qui s’offrait à elle. Élisabeth aimait sucer, cela se voyait. Et là, face à son jeune amant, presque un inconnu qu’elle avait levé et emmené chez elle, elle n’allait pas s’en priver. Il gémissait de plaisir et l’entendre ne faisait qu’exacerber ses sens à elle. Elle enfonça alors plus loin son sexe dans sa bouche, pas autant que ces stars de porno savaient le faire, mais assez pour s’étrangler et sécréter de longs filaments de salive de sa bouche insatiable. LIRE LA SUITE