Lisa veut prouver son amour

jeudi 6 août 2015
par  FRANKIE
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J’ai beaucoup apprécié le récit de Lisa écrit par Master B ; vers la fin de ce récit, il évoque les différentes transformations physiques imposées provisoirement à Lisa ; j’ai eu envie de détailler ce qu’aurait pu être ces jeux de rôle.


LISA ECOLIERE

Quelques semaines après, un vendredi , j’annonce à Lisa que la semaine suivante elle irait en classe les lundi ,mardi, jeudi et vendredi à l’école publique la plus proche de chez nous ; j’étais allé la veille rencontrer la directrice pour lui demander exceptionnellement d’accepter Lisa ; de prime abord je n’étais pas rassuré parce qu’elle m’apparaissait comme une femme « revêche » genre l’enseignante qui est dans la série peps de tf1 ; mais en fait elle m’a accueilli très aimablement et quand je lui ai expliqué le contexte de ma demande (désir de Lisa de me manifester son amour d’une façon publique) et le jeu de rôle que j’avais imaginé ( Lisa redevenue écolière) elle a trouvé cette idée très surprenante, mais elle a accepté de jouer le jeu. .Après discussion, elle m’a dit que Lisa serait dans sa classe de cm2, donc avec des fillettes de 10-11 ans, qu’elle suivrait les cours avec celles-ci, qu’aux récréations elle irait jouer avec elles, soit à la corde, soit au ballon prisonnier…etc., et mangerait à la cantine avec elles. La directrice m’indiqua qu’il me faudrait lui fournir l’uniforme de l’école, uniforme genre époque 1900,simple, composé d’un chemisier, d’une jupe, de souliers de ville, et surtout d’une culotte bateau ; elle insista beaucoup :
« Pas de string, pas de string, mais une culotte bateau qui couvre bien les fesses. » Puis la Directrice me dit : « est-ce que Lisa est une enfant sage ?
Je répondis
« En général oui ! »
« Lui donnez- vous la fessée ? » continua-t-elle ;
« Oui de temps en temps, comme punition après une bêtise ou m’avoir mal répondu, mais plus souvent ce sont des « fessées plaisir ! »
« Donc me, dit-elle, si son comportement de la journée appelle une fessée, je lui donnerais, mais le soir, lorsque vous viendrez la chercher, donc en votre présence et une fois que tous les enfants seront partis » ;
Je lui donnais mon plein accord.
Le samedi nous allâmes acheter avec Lisa l’uniforme demandé, les essayages faisant sourire les vendeuses, et le lundi je l’accompagnais à l’école comme tout autre parent ; à vrai dire son arrivée fut remarquée par les parents et les enfants présents, mais Lisa avança stoïque jusqu’au portail.
Le soir, à mon arrivée, la Directrice me fit entrer dans sa classe où je retrouvais Lisa, qui toute joyeuse me sauta au cou et m’embrassa. La directrice me fit asseoir puis s’adressant à Lisa lui dit ;
« Mets-toi à genoux face au tableau noir, baisse ta culotte bateau jusque vers les genoux, pose tes mains sur la tête, et tu vas rester ainsi pendant une dizaine de minutes pendant que je discute avec ton père de ton comportement pendant la journée et de ce pourquoi tu mérites la fessée ; »
Lisa s’exécuta sans mot dire, déjà prévenue par la directrice devant les élèves de la classe de ce à quoi elle devait s’attendre à la sortie. Les 10 minutes passées, la Directrice fit se relever Lisa en gardant la culotte baissée, l’installa sur ses genoux et lui infligea une fessée très forte, lui demandant de supporter vaillamment les coups et de ne pas crier ; ce qu’elle fit effectivement. Pendant notre retour à la maison, je demandais à Lisa si elle ne trouvait pas cette fessée un peu forte mais elle ne répondit pas. Les 3 autres jours se passèrent d’une façon identique, avec le soir, devant moi, une fessée, où on sentait que la Directrice y prenait un plaisir certain.
Et c’est le dernier soir que Lisa, devant mon insistance à lui faire dire pourquoi elle acceptait cette dure punition sans se révolter qu’elle me rappela son désir de faire savoir à tout le monde combien elle m’aimait, et d’avoir accepté les différents modes de vie que je lui avais imaginé , et donc pour elle être stoïque comme elle l’avait été tous les jours, sans crier, sans se révolter, c’était pour me montrer que son amour était vraiment sincère et très grand. C’est donc nus et enlacés l’un dans l’autre que se poursuivit une grande partie de la soirée.

LISA AU CENTRE AÉRÉ :

Le mardi après-midi, avant d’aller chercher Lisa à l’école, j’allais, sur les conseils de la Directrice, l’inscrire au centre aéré proche de chez nous pour le mercredi après-midi. En effet, la directrice, qui s’est piquée au jeu, m’avait dit :
« Ce n’est pas bien de laisser une fillette de 11 ans toute seule à la maison toute une journée ; elle peut s’ennuyer et faire des bêtises » ;
Je lui indiquai, que fort de ses conseils, je prendrais une ½ journée de congés le matin pour aider Lisa à faire ses devoirs et lui faire à manger.
« Mais cela ne résout pas le problème de l’après-midi ! Mettez-la donc au centre aéré ; elle y rencontrera des camarades de l’école, pourra s’amuser avec elles ; et puis il y a des activités diverses (dessin, danse, sport….) qui peuvent lui plaire. »
Le soir au moment du souper, Lisa me dit :
« Demain je vais être toute seule puisqu’il n’y a pas d’école ; je vais m’ennuyer » ;
Je commençai à lui expliquer que le matin je resterais pour l’aider à faire ses devoirs et lui faire à manger ; l’idée de cette matinée seuls tous les deux la ravissait ; mais quand je lui dis qu’à deux heures elle irait passer l’après-midi au centre aéré proche,
« Ah non, dit-elle d’un ton péremptoire, je n’irais pas ! »
« Pourquoi ? » lui dis-je sans même lui donner les avantages de cette solution
« Il n’en est pas question ! » renchérit-elle ; « me retrouver avec des gamines qui minaudent toujours et qui ne savent pas jouer au ballon, non, non, et non je refuse ! »
D’abord stupéfait devant une réaction si agressive de Lisa, je fus un moment déstabilisé, mais me souvenant de ce qu’elle m’avait dit quelques semaines auparavant, je lui rétorquai :
« Alors c’était du pipeau ce que tu m’avais déclaré si langoureusement, que tu voulez prouver d’une façon publique que tu avais pour moi un amour sans faille, éternel ; je ne comprends pas ; tu as accepté les divers jeux de rôles que je t’ai proposé : la semaine chez la nourrice cela devait être assez humiliant pour toi, une jeune femme de 28 ans promenée dans une poussette comme un bébé ; tu n’as rien dit ; te retrouver dans une classe avec des fillettes de 11 ans ,écouter comme elles une maitresse, faire les mêmes devoirs, réciter tes leçons avec la crainte qu’elles se moquent de toi : là aussi tu n’as rien dit, et rappelles toi ce que tu m’a affirmé hier à propos des fessées reçues comme des preuves d’amour envers moi ; je ne comprends vraiment pas ! »
En m’entendant répliquer ainsi, Lisa a baissé la tête et s’est tue comme si elle se rendait compte qu’elle n’était pas très cohérente avec elle-même.
Et j’ai repris aussitôt :
« Comme tu te conduis comme une petite fille capricieuse, je vais te traiter comme une petite fille capricieuse ! allez, viens vers moi, étends-toi sur mes genoux ; » LIRE LA SUITE

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