La punition
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Cela fait au moins… trop longtemps qu’il est là, en position qu’elle le lui a demandé. Il ne prête plus attention aux talons qui claquent sur le parquet. Son esprit s’est définitivement envolé vers d’autres lieux, d’autres horizons. Au début bien sûr il a souffert, les genoux douloureux il a osé demander à changer de position. Elle n’a même pas répondu. Il ne peut pas la voir, la joue posée par terre, le regard tourné vers le mur. Au début il a trouvé la position des bras confortables, allongés contre son corps, presque au repos. Mais au bout de…. La douleur est venue, d’abord lancinante puis présente, terriblement présente. Alors il s’est laissé aller vers son ailleurs, un monde peuplé de naïades, de déesses qu’il servirait pour son plus grand plaisir.
Le bruit des talons se rapproche, mais il est en train de servir une cervoise à une déesse à l’énorme poitrine alors il n’y prête pas attention. Une voix se mêle à son rêve, juste un murmure d’abord puis un bruit et enfin un cri.
« Marc ! »
Il revient dans son corps, dans ce beau corps qu’il a passé des heures et des heures à sculpter à grand coup de fontes et de pompes. Il est fier de tous ces muscles, de ces tablettes de chocolat bien dessinées.
« Debout ! allez c’est le moment de payer ».
Il se demande encore ce qu’elle va inventer. La dernière fois elle l’a cravaché tellement fort avec la badine qu’il a du mal à s’asseoir pendant presque deux jours. Qu’est-ce qui l’attend aujourd’hui ?
Il tente de bouger, mais ses muscles qui hier encore répondaient avec précision aux moindres sollicitations frémissent à peine.
« Bon alors, c’est pour aujourd’hui ou pour demain. Allez debout ! »
Ses épaules se mettent doucement en mouvement et comme un avant-goût de ce qui l’attend il sent ses muscles hurler leur douleur.
Il tourne la tête, regarde un instant le plancher qu’il a lui-même lavé un peu plus tôt le matin, la tourne encore, l’étire. Une main se plonge dans ses cheveux et tire violemment en arrière. D’un mouvement réflexe, il bascule sur la plante des pieds. Elle le tire vers le haut et là il sent qu’elle a gagné. Le sang afflue partout dans son corps, entraînant avec lui les milliers de pattes des milliers de fourmis qui égratignent à leur passage toutes ses terminaisons nerveuses.
Elle le regarde un sourire satisfait aux lèvres alors qu’il tente de contrôler cette envie de se frotter, de bouger pour que cela cesse.
« Tu as mal ? Oh le pauvre bichounet, comme c’est dommage. Tu vois ce que cela fait de te montrer désagréable avec moi ? Bon c’est pas tout ça nous avons du travail, viens avec moi ».
Tout en parlant, elle a attaché une laisse à l’anneau de son collier et elle l’entraîne à sa suite vers le cabinet de travail qu’elle s’est fabriqué.
Comme tous les cabinets de travail, on y trouve une chaise confortable, aux larges accoudoirs devant un beau bureau de bois finement marqueté. De l’autre côté de ce bureau une chaise, enfin plutôt une caisse avec un dossier. La femme d’un mouvement rapide tourne la tête vers Marc, faisant voler en une ronde noire ses longs cheveux et lève les yeux vers lui, vers ce grand gaillard qu’elle soumet pour leur plaisir commun.
« Viens t’asseoir. » Comme il en a l’habitude, Marc s’installe sur la chaise en bois, bien droit, le dos inconfortablement calé sur le dur dossier.
« Voilà, maintenant je ne veux plus t’entendre »
« Bien Julie ».
« Tu vas voir je t’ai préparé une surprise, tu m’en diras des nouvelles. En plus je l’ai bien lubrifié. »
Dès qu’elle est assise derrière le bureau elle sort d’un tiroir une télécommande et pousse un bouton. Marc sent disparaître sous lui une partie de l’assise. Il n’a pas peur, c’est lui qui a confectionné cette chaise. Bien sûr c’est elle qui l’a voulue inconfortable, c’est elle qui a voulu qu’elle ne soit que de bois et encore elle qui a pensé à cet ingénieux mécanisme qu’il a eu tant de mal à mettre en place. Ainsi le caisson cache en fait une fuck-machine dont l’embout de plastique peut être changé selon le bon vouloir de Julie.
Sans qu’elle ne demande rien, il ouvre en grand les cuisses, passe les mains sous ses fesses et les écartés. Il ne tarde pas à sentir venir le gode appuyé sur son petit trou et glisser doucement en lui. Il est un peu surpris, lui qui est habitué à recevoir de gros calibres, à avoir l’anus distendu le gode lui semble petit. À peine s’il le sent en lui.
Julie le regarde en souriant avec une lueur dans le regard qui le fait tressaillir. Cette petite lumière il l’a déjà vu et elle n’augure rien de bon. LIRE LA SUITE
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