Vacances à Diola
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Sur un fond de velours rouge reposent quatre bites d’hommes en silicone, longues de quinze à vingt centimètres, larges de quatre à cinq centimètres, et une fine lanière d’environ un mètre. Quand je la touche, je sens qu’elle est en cuir souple.
– Contenu surprenant. Comment vais-je m’en servir ? (Je désigne ma propre bite molle pour l’instant) La mienne te semble-t-elle trop fine ?
Carla éclate de rire, puis son sérieux retrouvé :
– C’est pour toi, mon chéri.
Du coup je la regarde, bégaie :
– Qu… Quoi … Pour moi ?
– Bien sûr : avant que je prenne ton pucelage, tu porteras un gode ; il se fixe sur la rondelle de ton string de bain. Quant à la lanière, c’est pour punir ton trou du cul qui m’a pété au nez…
Je proteste :
– Je me suis excusé. Non… Non, tu exagères !...
Carla coupe :
– Choisis. Ou je le corrige tout de suite et nous faisons l’amour. Ou tu refuses et tu finiras tes vacances seul. Demain, je demanderai qu’on te bascule dans une autre chambre. Alors ?
Deux minutes plus tard, je suis allongé à plat ventre sur le lit, jambes écartées avec un oreiller sous le ventre afin d’offrir mon anus à la correction promise.
Carla, lanière enroulée autour de sa main avec juste une trentaine de centimètres libres, est à genoux entre mes cuisses.
– Tu recevras dix coups. Estime-toi heureux : je ne te fesserai pas ce soir. Par contre, avant d’aller à la plage demain, je te donnerai une fessée.
Je me garde de la remercier, reste muet.
Un sifflement et la lanière percute mon anneau.
Horrible ! Je me cambre, crie :
Aaaaaaaye !...
Après cinq percussions, je serre mes cuisses malgré moi ; en pleurs, je hoquète :
Ouiiiiiiille !... Pluuuuuuus !... Arrrrrrrête !... Ça… Fait… Trooooooop… Maaaaaaal !
Autant parler à un mur, la preuve :
– Reprends tout de suite la position. Ce que tu as fait est trop grave.
J’écarte mes cuisses, comprends qu’elle ne changera pas d’idée.
Les cinq derniers coups sont donnés très vite. Je hurle en continu, mais elle caresse mes cuisses et mes fesses pour me calmer.
Carla passe sa main sous mon ventre, trouve mon sexe bandé. Sans un mot, elle me tire, me fait basculer afin que je me retrouve sur le dos. Débarrassée de la terrible lanière et de son slip de cuir, elle positionne son sexe au-dessus du mien, s’empale d’un coup.
Son sexe est tellement mouillé (son sadisme doit l’exciter) que ça entre avec facilité.
Comme plus tôt, elle lèche mes larmes avant de m’embrasser.
C’est Carla qui me fait l’amour. Je ne suis qu’un membre à sa disposition. Très attentif malgré la douleur de mon anus, j’attends qu’elle jouisse, l’immobilise afin de la faire basculer sur le dos pour dominer notre union.
Elle ne me laisse pas faire, me maintient dos collé au matelas, reprend ses montées et descentes sur mon sexe.
La jouissance nous submerge presque en même temps.
Nous avons dormi ensemble, Carla presque tout le temps dans mes bras, comme si elle recherchait une protection. Attitude étonnante. Heureusement je ne suis pas psychologue. Sinon, je vous ferais un cours…
Nos ablutions terminées, après une douche commune, nous prenons notre petit déjeuner sur la terrasse de la suite, et devisons tranquillement. Après le départ du serveur venu débarrasser le petit chariot, sans même s’être soucié de notre nudité, Carla reprend la main :
– Je vais te mettre ton premier gode. Ensuite, je te donnerai ta fessée matinale. Elle sera plus longue que les autres matins, car c’est aussi ta punition pour ton attitude hier à l’aéroport. LIRE LA SUITE
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