Le chantage
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Tout d’abord, je tiens à remercier vivement les personnes qui ont apprécié mon récit précédent et qui me l’ont fait savoir.
Concernant les femmes, si vous n’avez pas encore franchi le pas, n’hésitez pas, le plus dur étant de trouver la bonne personne correspondant à vos désirs, la complicité, la confiance.
Je publie (si le site est d’accord), la suite de mon récit, ensuite, je dois partir pour l’étranger 15 jours
J’espère que vous apprécierez aussi la suite de mon dressage (c’est un mot que j’ai toujours du mal à prononcer
Arrivés à la maison, ma soirée fut consacrée à la méditation, je vivais enfin ce dont j’avais rêvé depuis longtemps
Pierre était parfait, cette journée pleine de sensations nouvelles que j’attendais depuis longtemps.
Pierre semblait respectueux à mon égard, il ne me dressait pas uniquement pour son plaisir, mais beaucoup pour le mien, et il savait s’y prendre. Combien de femmes avait t’il dressées ?
Je me déshabillais et regardait mon corps dans le miroir, le fouet avait laissé de belles traces.
J’avais adoré le fouet qui donnait du plaisir, et je compris aussi pourquoi j’avais besoin du fouet pour me punir afin de me faire progresser.
Je cherchais une idée pour le lendemain faire plaisir à Pierre et faire preuve d’ initiatives à ma propre domination.
Qu’allait il me faire vivre demain ?, quelles nouvelles sensations ?
Devrai-je me mettre nue devant d’autres hommes ?, et des femmes ?, je redoutais peut être plus le regard des femmes.
Le lendemain, j’étais impatiente de le rejoindre, je me préparais, pris bien soin de mettre une jupe courte et ample, mon collier, sans culotte.
Je pris ma voiture, arrivée chez lui, le portail était ouvert, je garais ma voiture, puisqu’il n’y avait pas de vis-à-vis, je me mise nue devant la porte sonna, puis à genoux les mains derrière la tête.
La porte s’ouvrit
« je suis prêtre à vous obéir, à être utilisée comme bon vous le souhaiterez »
Il était en un genre de robe de chambre, en écarta les pans, je pris son sexe, léchais les bourses, décalottais soigneusement la verge, l’enfonçai dans ma bouche et le suçais tout et le masturbant. Je portais ma main libre à ma chatte me caressais en même temps, je sentis la sève venir, c’était bon, j’étais indécente sur ce perron mais j’étais fière de moi
Pierre : C’est bien Patricia, je constate que tu commences à prendre des initiatives, continue en cette voie.
Puis, nous nous préparions pour aller au magasin, Pierre me dit qu’il préférait aller dans un magasin plutôt que de commander sur internet, car j’allais essayer des vêtement et que je devais assumer le regard des autres, les gadgets que nous allons acheter sont pour te donner du plaisir, donc, tu dois assumer.
Arrivés au magasin, j’étais prise de panique, une femme telle que moi n’étais jamais allée en sexe shop.
Je remarquais que Pierre stationnait la voiture assez loin du magasin, il m’en donna la raison :
— C’est pour que t’habitues à te promener jupe courte et ample sans culotte, avec ton collier en public, avec le vent qu’il y a aujourd’hui, il peut soulever ta jupe, d’autre part, les passants pourront voir à ton collier quelle femme tu es et que tu l’assumes
En rejoignant le magasin, j’évitais regard des passants, que pensaient t-ils ?
Nous arrivions au magasin, Pierre poussa la porte, me fit passer devant, je ne savais ou porter mon regard, il y avait quelques clients, j’avais honte, ils me déshabillaient du regard avec un sourire narquois
Pierre me prit la main et nous nous dirigeâmes directement vers le gérant
— Bonjour Christophe, comment vas-tu ?
— Bien, c’est la femme dont tu m’as parlé hier soir ?
— Oui, son dressage a commencé hier, nous venons pour lui acheter divers vêtements et gadgets qui lui seront personnels
J’espérais que les clients n’avaient pas entendu, tout en ne me faisant aucune illusion, ils avaient entendus
Christophe était jeune, il devait avoir environ 35 ans, mignon, il devait bien connaître Pierre, Il appela une vendeuse :
Nadine, pourrai tu t’occuper personnellement de cette dame, divers accessoires et vêtements soutien gorge laissant passer les tétons et une tenue très suggestive mais sans trop laisser apparaître les atouts de madame.
Nadine était un jeune femme qui devait avoir 24 ans au plus, très belle, blonde, cheveux longs, grands yeux d’un bleu très clair, un visage doux, un visage d’ange, souriante, pantalon en cuir moulant, un chemise un peu à la cosaque, si j’avais eue un enfant elle aurait pu être ma fille, que faisait une si jolie fille dans ce magasin ?
Je regardais Pierre comme pour le supplier « non pas avec elle »
— Allons y.
Nadine me prit la main et m’entraîna vers une pièce à l’autre bout du magasin, ouvrit une porte qui était fermée a clef, alluma la lumière
Je vis différents instruments de domination et punitions : croix de St André, Table gynéco, et divers d’autres objet d’immobilisation, de tortures que j’avais vu sur internet mais dont je ne connaissais pas le nom, et un très grand miroir prenant presque un mur complet
— Je vous laisse je vais chercher des tenues pour votre condition me dit Nadine avec un sourire malicieux, et attendant, vous pouvez vous déshabiller.
Je regardais tous ces instruments, je cherchais une cabine pour me déshabiller, mais ne la trouvais pas, Nadine revint
— Alors, toujours pas nue, comprenez vous le Français ?
Je cherchais la cabine
La cabine c’est la pièce, auriez vous honte que je vous voie nue ?
— Oui, un peu
— Eh bien, vous allez tout de même vous déshabiller devant moi, ou préférez vous que j’appelle votre ami ?
— Non, je vous en prie, pas cela
— Alors a poil, et je vais te regarder faire ton streap tease devant moi, cela m’amuse. J’adore voir les femmes de ton style un peu BCBG, sophistiquée, être obligées de se déshabiller devant moi. Elle s’adossa à une table et croisa les bras, elle ne voulait rien perdre du spectacle que j’allais lui offrir
Je m’exécutais avec honte, une fois nue, elle me demanda de mettre mains sur mes hanches, tourna autour de moi,
— Pas mal, tu as de belles traces récentes, qu’as-tu fait ou pas fait pour avoir été fouettée.
je répondis comme une petite fille reconnaissant ses fautes « parce que je ne m’abandonne pas assez, je ne suce pas correctement, et ne prends pas assez d’initiatives »
— Cette situation semble te plaire puisque tu as le bout des seins déjà en érection, je suis sure que ton sexe doit être humide, jolie cette fente bien en avant.
Elle s’approcha de moi, s’amusa avec le bout de mes seins, les pinça, les fit rouler entre ses doigts, tout en conservant une main s’occupant du bout d’un de mes seins, son autre main descendit vers mon sexe (j’écartais les jambes comme Pierre me l’avait appris), et elle me pénétra sans ménagement LIRE LA SUITE
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