Nouvelles aventures de Thérèse
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Nous venons de pénétrer dans le bureau du directeur de ma banque : Thérèse mon épouse, Marylène sa sœur cadette accompagnée de Frank, son copain. Le directeur, bel homme d’une quarantaine d’années, est accompagné d’une femme plus âgée, grande mince, cheveux argentés très courts, l’air un peu sévère ; c’est elle qui nous présente au directeur et nous fait asseoir face à lui. Il nous regarde, une curieuse lueur dans les yeux lorsque son regard se pose sur ma femme Thérèse, petite brune, mignonne d’un abord un peu timide.
« Bien nous sommes ici pour étudier votre dossier (il s’adresse à ma femme et moi) dossier qui est, je dois vous l’avouer, plutôt désespéré ; vous me demandez des délais de paiement pour votre maison et votre voiture — quelle idée d’acheter une voiture en même temps qu’une maison d’ailleurs ! — mais ces délais sont déjà largement dépassés : cela fait maintenant six mois que vous ne payez plus rien aussi nous avons bloqué votre carte de crédit et vous allez devoir quitter votre domicile, car, si j’ai bien compris, vous êtes expulsés. De plus, vous devez 2000 euros à Marylène, somme qu’elle vous a généreusement prêtée pour vivre ! Est-ce bien résumé ? D’ailleurs, Marylène et son ami sont ici pour essayer de récupérer cette somme, ce qui est normal. »
Nous restons cois, ma femme et moi, la gorge serrée.
« Vous comptez donc que je vais continuer d’attendre patiemment. Mais combien de temps, puisque vous êtes tous deux au chômage maintenant, à cause d’un geste de mauvaise humeur de la part de Thérèse ? On n’a pas idée de gifler son patron, et en public encore, si bien qu’il a dû vous virer tous les deux !
— Il m’avait mis la main… la main aux… euh, aux fesses !
— La belle affaire ! Et pour une babiole, vous voici tous les deux bientôt sur le pavé ! »
Ma femme baisse la tête, confuse.
« Je suis sûr que vous regrettez ce geste, naturellement ! Mais venons-en un peu à ce que vous me demandez : je constate déjà que vous n’êtes guère avenante pour une personne qui vient demander qu’on la sauve de la misère ! Voyez votre sœur, comme elle est pimpante : une jolie robe des escarpins, on voit ses jolies jambes… Elle, au moins, elle sait se mettre en valeur, et pourtant, elle ne réclame rien, elle ! Et vous, Thérèse, dans ce jean de pêcheur de moules, engoncée en plus dans ce gros pull à col roulé, vous n’êtes guère à votre avantage et on n’a pas envie de se donner du mal pour vous puisque vous ne vous donnez même pas le mal de vous arranger ! »
Il regarde ma femme d’un air un peu méprisant en la fixant dans les yeux, puis demande :
« Alors ? »
Mon épouse, gênée, le regarde et murmure d’une petite voix :
« Euh je veux bien vous montrer mes jambes… »
Et elle fait mine de remonter son jean.
« Vous vous foutez de moi, c’est ça ? Bien, vous pouvez sortir : nous n’avons plus rien à nous dire ! »
Je blêmis :
« Oh non, s’il vous plaît, ce n’est pas possible, je vous en prie !
— Vire-moi, lance Marylène en montrant son jean, je tiens à récupérer mon fric, moi ! »
« Voilà, me dis-je, c’est parti dans une drôle de direction et nous n’avons malheureusement pas trop le choix ».
Et je vois ma petite femme qui se lève en fixant le sol et descend la fermeture de son jean, elle le baisse, dévoilant ses belles cuisses pâles un peu grasses, puis elle l’ôte complètement ; la voici en slip et je me sens rougir de honte pour elle.
« Ensuite ? Fait juste le directeur.
— Vire ton pull ! Lui relance sa jeune sœur. »
Ma femme hésite un peu, puis soulève le pull, le fait passer par-dessus sa tête et l’enlève. Elle est en sous-vêtements, debout, un peu bête. La femme vient lui prendre des mains ainsi que le jean et les pose sur le bureau en souriant ; mon cœur bat un peu plus vite en voyant les regards se poser sur elle.
« Savez-vous ce que j’ai devant moi, chère Émeline ? Exactement ce que j’ai vu à des centaines d’exemplaires à la plage pendant mes vacances : des femmes en bikini, encore que certaines avaient les seins nus… Rien de bien extraordinaire, qu’en pensez-vous ? »
Puis s’adressant à ma belle-sœur :
« Qu’en pensez-vous, Marylène ?
— Elle n’a qu’à virer son sous-tif ! Allez, dépêche-toi ! Qu’est-ce que tu croyais ? »
Et elle me jette un regard ironique ; je ne moufte pas et baisse la tête. Thérèse est toute rouge, elle cherche mon regard, mais je fuis le sien. Je la vois se mordre nerveusement les lèvres puis, passant les mains dans son dos, elle dégrafe son sous-vêtement, fait glisser ses bretelles, puis l’ôte en rougissant de plus belle. La femme le lui prend des mains et le dépose avec le reste.
« Au fait, Émeline, j’espère que tout est filmé, demande d’un ton doucereux le directeur à sa secrétaire.LIRE LA SUITE
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