Chanel, un sugar boy
par
popularité : 1%

Chanel marqua un temps d’arrêt face à l’impressionnant SUV de son maître. Jean-Eudes possédait le dernier Q7 d’Audi, un véhicule qui devait coûter la bagatelle de quatre-vingt-dix mille euros, au bas mot. Il se sentit à la fois rassuré, mais aussi effrayé. Son maître disposait de très hauts revenus. Là, c’était incontestable. Chanel avait rencontré un homme à l’abri du besoin, un homme riche qui saura parfaitement l’entretenir. C’était, pour lui, une chance inouïe. Pour Chanel, Jean-Eudes faisait partie de la classe supérieure, celle qu’il n’aurait jamais pu approcher sans son cul. Mais tout cela, il le savait aussi, allait le contraindre à subir une pression quotidienne, celle de plaire, de satisfaire et d’exciter sans cesse son maître. Il lui faudra être à la hauteur à chaque instant, pour conserver sa place auprès de cet homme puissant et certainement très exigeant. Il sentit une forme d’angoisse le saisir tout d’un coup à cette perspective. Pour lui, mener cette existence c’était un peu se jeter dans l’inconnu. Dans la gueule du loup, aussi.
Mais là devant le gros SUV, comme une sorte de prémonition de ce qu’allait sans doute être son attitude face à lui, il sut qu’il avait tout intérêt à éviter de grimper dans la voiture du maître, les fesses couvertes de sable. Aussi s’épousseta-t-il longuement le cul largement dénudé, sous les regards intéressés d’un couple venu lui aussi récupérer son véhicule. Un couple de quinquagénaires qui n’en revenait pas d’être tombé sur une créature pareille, à moitié fille, tellement jeune et déjà si dépravée pour se corrompre et s’afficher avec ce vieux barbon, le cul quasiment à l’air. Ils lui adressèrent quand même un sourire auquel Chanel répondit chaleureusement, toujours heureux et excité de plaire autant. Il ne se soucia même pas de son vélo qui abandonna, accroché à un arbre.
Dès qu’il eut posé ses fesses sur la belle sellerie en cuir fauve, Jean-Eudes démarra en trombe, voulant sans doute impressionner le couple de touristes qui ne les avait pas quittés des yeux et qui devait regretter ce départ précipité. Sur le chemin de terre qui rejoignait la départementale, il déboutonna son pantalon pour y extraire son sexe gonflé. D’autorité, il réclama la main de son jeune esclave.
─ Ta main sur ma queue ! J’aime ça, quand je conduis. Une jeune main sur ma bite, il n’y a rien de mieux, rigola-t-il, sûr de lui, sûr du pouvoir qu’il exerçait déjà sur cette petite fiotte qu’il s’était levée sans trop se fatiguer, il dut reconnaître. LIRE LA SUITE
ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)
OFFRE DECOUVERTE (1 jours) | ABONNEMENT 7 JOURS | ABONNEMENT 15 JOURS | ||
---|---|---|---|---|
ABONNEMENT 1 MOIS |
ABONNEMENT 3 MOIS |
ABONNEMENT 6 MOIS |
SE DESABONNER![]() |
OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)
Commentaires