15. Tâches ancillaires

Deux semaines plus tard, au bureau.
« Merci Grace, dit George. »
Grace porte une pile de cinq classeurs dans ses bras, et marche à côté George. Ce qui rend le spectacle plus accrocheur est sa jupe, spectaculairement courte et serrée, ses talons extrêmement hauts, ainsi que le fait que George a récemment rejoint l’entreprise au niveau le plus subalterne du service comptable, et que c’est Grace, plus ancienne que George dans l’organisation, qui porte ses dossiers à LUI.
Ce mois-ci est une période chargée pour le département de la comptabilité ; Royston a eu une sorte de conversation informelle avec l’un des directeurs comptables dans l’ascenseur et a appris qu’ils étaient vraiment à court de personnel car l’une de leurs employées à temps partiel a pris un congé de maternité. Royston a donc offert que Grace aille aider au service comptable tous les matins. Et comme elle ne connaît rien à la comptabilité, elle ne peut aider que dans les tâches les plus banales, comme transporter des dossiers, récupérer des documents de la bibliothèque du bureau et faire les photocopies, les tâches ménagères de bureau en quelque sorte. Plus précisément, Royston a suggéré au directeur de la comptabilité que Grace apportât son soutien à George. Royston sait que ce changement de statut humiliera encore plus Grace - elle sera traitée comme une assistante de bureau, et les assistants de bureau sont généralement moins bien payés que les secrétaires, si cela reflète l’ordre hiérarchique de l’entreprise.
Alors qu’ils passent devant quelques collègues de travail, Grace ne peut s’empêcher de remarquer qu’il y a des rires et des ricanements. Grace cache son visage derrière les dossiers qu’elle porte, elle ne peut que passer outre et ravaler sa fierté. Les potins du bureau sont que Grace essaie de séduire le jeune George en portant ses dossiers et en l’aidant dans toutes ces tâches administratives. Pendant ce temps, George semble inconscient de l’attention qu’ils reçoivent chaque fois qu’on les voit tous les deux ensemble - il est trop préoccupé de prêter attention à son attrayante collègue.
George regarde Grace poser les dossiers sur la grande table près de sa cabine, et les ranger dans l’armoire à dossiers suspendus. Chaque fois qu’elle s’étire pour atteindre l’armoire, et chaque fois qu’elle se penche pour récupérer du papier vierge dans un placard bas pour remplir le photocopieur, George se retrouve inconsciemment à lui jeter un coup d’œil. Aujourd’hui, elle porte des collants noirs ultra-transparents - et George se demande s’il s’agit de collants ou de bas. Si elle se penche un peu plus, il est sûr qu’il repèrera le haut de ses bas.
Mis à part ses pensées concupiscentes, il lui offre plusieurs fois son aide quand il la voit se débattre avec une lourde boîte de dossiers ou essayer de charger le photocopieur. Mais à chaque fois, Grace la refuse. Elle a dit à George que Royston l’a interdit, et que « c’est une leçon » pour elle. George a le sentiment qu’en quelque sorte, Grace craint que Royston ne s’emporte s’il découvre que Grace a laissé George l’aider dans sa tâche.
George ne comprends pas vraiment, mais il se souvient qu’il y a quelque chose d’étrange dans la relation entre Grace et Royston. Depuis le jour où George a vu Grace sucer la bite de Royston, puis qu’il a eu la chance d’éjaculer dans sa petite main, enroulée autour de sa bite prise de spasmes, George se branle chaque jour et chaque nuit en se remémorant ces images sexy.
Parfois, il est extrêmement excité en regardant Grace se promener dans le bureau dans ses jupes ultra courtes et ses chemisiers suggestifs. Il s’imagine aller à sa cabine, sortir sa bite et la faire durcir en se tenant derrière elle. Puis il passe devant elle, devant son visage, et voit le choc sur son visage, alors qu’elle découvre ce qu’il veut qu’elle fasse, en voyant sa bite dressée. Il tient l’arrière de la tête, et elle sait qu’elle doit lui donner ce qu’il veut. Il entre en elle et il voit qu’elle a presque peur et se débat un peu. Il passe sa bite bien dressée sur ses lèvres, l’enfonce complètement. Il lui baise la bouche et éjacule ; il crache son sperme dégoûtant au fond de sa gorge, obligeant Grace à lécher sa bite pour la nettoyer. Après avoir vécu ce fantasme dans sa tête, il lui faut aller aux toilettes et s’enfermer dans la cabine. En quelques coups rapides, il finit en crachant des jets de sperme sur les murs.
« Maintenant, par un incroyable coup de chance, Grace est assignée à mon département », pense George.
Il peut donc voir sa princesse en chair et en os, toute la journée. Il lui est difficile de se concentrer sur son travail quand elle se déplace autour de lui pour ses occupations. Juste à ce moment, George réalise que Grace a remarqué qu’il lui jetait un coup d’œil.
« Ce sont de très jolies... euh... commence George. »
Grace lève les yeux, et surprend George en train de fixer ses jambes recouvertes de collants. George finit sa phrase, un peu gêné, se sentant comme un écolier surpris en train de regarder les jambes de sa jolie enseignante :
« ... euh... chaussures. »
En effet, ces talons - on dirait dit qu’ils ont douze à quinze centimètres de haut, ce qui est incroyablement grand compte tenu de la petite taille de Grace. Grace a l’air un peu surprise mais dit rapidement :
« Merci... »
Elle fait un petit sourire, avant de retourner à son travail. George pense qu’elle a l’air un peu mal à l’aise de discuter de ses chaussures, il décide donc de ne pas lui demander leur hauteur.
Alors qu’il scrute Grace qui se penche en avant dans sa jupe courte pour récupérer les dossiers du placard, ses seins tendus contre le chemisier moulant qu’elle porte, sa bite devient raide. LIRE LA SUITE


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