6- Greta, ma propriété
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Une femme qui devient un objet sexuel et son mari propriétaire. Elle voulait connaître ses limites. Il la transforme en un objet sans volonté, entièrement dévouée et soumise sexuellement. Cette histoire n’est ni réaliste ni sympathique, elle ne recherche pas à comprendre les personnages, les sentiments des soumises ou des dominants mais à provoquer –à vous de juger. Contient des scènes d’humiliation, de dégradation, de philosophie sexiste, de viol et actes sexuels et dégradants sans consentement. Si vous n’aimez rien de tout cela, passez votre chemin.
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Chapitre 6 – Des cages et une nuit agitée
Dans la nuit, la petite troupe entra dans l’étable, guidée par Conrad et suivi de Charles qui tirait et malmenait Greta très réticente. C’était là le territoire du terrible gardien. Il fit passer tout le monde et ouvrit un des box de l’étable. On y voyait un sac pendu au plafond qui contenait une forme vaguement humaine. Greta regardait horrifiée cette installation comme dans un rêve, plutôt un cauchemar. Comme on lui avait de nouveau mit un bâillon elle ne pouvait pas exprimer son dégoût.
— Tu vois, c’est le prix que « la salope » doit payer pour ne pas avoir obéi tout à l’heure. Elle doit rester enfermée dans ce sac, suspendue et étroitement emballée. Ce n’est pas du tout agréable. De temps à autre on lui pique les fesses, dit-il en associant le geste à la parole ce qui provoqua immédiatement des mouvements faibles mais violents. Voudrais-tu la rejoindre ?
Greta faisait « non » de la tête toujours affolée. Elle montrait sa peur et cela faisait rire les convives. Beth n’était pas en reste. Elle s’approcha d’elle et lui susurra : « J’adore être là dedans, mais je préfère encore faire ça ! ». Elle s’approcha du sac pendu et pris une sorte de bâton avec des pointes acérées. Elle le posa sur le bas du sac, probablement là où était placé le cul de la « salope ». Elle appuya, provoquant de nouveau des mouvements brusques et désordonnés. Si on tendait l’oreille, on pouvait aussi entendre les cris et les gémissements de la malheureuse rouquine. Beth piqua plusieurs fois le sac en riant.
— Assez joué avec cette malheureuse, dit Charles en riant. Ce soir tu ne seras pas rangée dans un sac ni même dans la cage spécialement conçue pour toi, juste à tes mesures. Mais nous allons profiter de notre visite de l’étable pour te la montrer. Quand tu seras désobéissante tu y passeras de longues heures.
On l’emmena dans le dernier box. Deux cages de petite taille, s’y trouvaient. La première pendait à hauteur d’homme. Elle contenait une des femmes qui avaient été convoquées au salon. Elle gémissait sourdement, la bouche envahie par un énorme gode. Elle était nue, à quatre patte, fixée au sein de la cage par des barres de fer qui traversaient la cage sous le ventre et au-dessus des mollets, et des chaînes qui l’empêchaient de bouger. On l’avait punie pour une « grave infraction » aux règles dans la journée et elle avait encore quelques heures à passer. Elle portait deux petites pinces aux tétons qui retenaient des poids et un petit panonceau : « salope » disait l’un et « désobéissante » disait l’autre. De plus, un pal lui pénétrait le cul ; il était aussi fixé sur la face arrière de la cage, l’obligeant à garder son cul immobile. Elle regardait, impuissante, tout l’attroupement et poussa quelques faibles gémissements en voyant un homme s’approcher d’elle. Maître Paul, l’heureux propriétaire montra aux convives deux petites chaînes qui pendouillaient sous la cage. A regarder de près elles étaient fixées sur les lèvres de la femme soumise : il tira sèchement sur l’une d’elles faisant tressauter la femme. Il expliqua que les premières heures de son séjour en cage, la femme en question, qu’il n’appelait jamais par son nom, mais seulement « la truie », avait du retenir deux poids assez importants au bout de ces deux chaînes amarrés à des anneaux percés dans les lèvres du sexe. Mais comme il avait décidé de la laisser passer sa nuit dans la cage, il avait eu pitié d’elle et les avait décrochés. Les convives s’amusèrent de tant de bonté ! LIRE LA SUITE
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