Herpin

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9- L’Hétaïre
Devant cette évolution, Madame décréta un jour que son apprentissage était terminé, étant désormais apte à faire face aux désirs les plus pervers, et qu’elle pourrait donc rentrer chez elle dès le lendemain. La nuit qui s’ensuivit fut peuplée de rêves érotiques où Florence se voyait offerte en pâture aux délires sadiques de quelque débauché. Le lendemain matin, venues comme à l’accoutumée, procéder à son (...)

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8- L’Hétaïre
Bien qu’à priori réticente pour ne pas dire écœurée à l’idée de se livrer à une telle caresse, Florence avait constaté que les deux jeunes femmes y avaient pris un plaisir non feint ; la fougue dont elles avaient fait preuve pour se partager la chaude semence était une réalité qu’il lui fallait admettre. Elle en était là de ses réflexions lorsqu’elle fut ramenée à la réalité par la voix autoritaire de (...)

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7- L’Hétaïre
Satisfaite de voir ainsi Florence progresser sur le chemin de la dépravation, Madame tint à la féliciter pour les progrès accomplis. Toutefois, ajouta-t-elle, il ne suffit pas que tu puisses consentir aux assauts les plus fougueux et les plus pervers ; il faut aussi que tu saches prodiguer à tes maîtres d’un jour les étreintes qu’ils sont en droit d’attendre d’une parfaite débauchée. Si je ne doute (...)

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6- L’Hétaïre
Résignée, et surtout peu désireuse de subir une correction qu’elle devinait pour le moins douloureuse, Florence consentit à suivre ses deux accompagnatrices. Celles-ci la menèrent rapidement jusqu’au salon, où Madame se tenait effectivement, semblant calmer son impatience en faisant claquer la lanière de cuir qu’elle tenait à la main contre ses bottes. Dominant sa gêne, Florence s’avança jusqu’à elle, (...)

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5- L’Hétaïre
A peine rassurée par ces doux propos, Florence se leva et soutenue par les deux jeunes femmes, tant elle avait du mal à se tenir seule debout, après sa longue période d’immobilisation, elle se dirigea vers l’escalier par lequel elle avait accédé à cet enfer.
Cette fois, il lui permit de regagner le rez-de-chaussée, et là de se rendre jusqu’à une vaste salle de bains. Emerveillée par un luxe et un (...)

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4- L’Hétaïre
Lorsque le lendemain, Sylvie conduisit son amie au rendez-vous qui lui avait été fixé, cette dernière se sentait un peu dans la peau de la victime que l’on mène à l’autel en vue d’un sacrifice. Quand bien même se rendait-elle volontairement sur les lieux de ses futurs tourments, qu’elle n’en était pas moins inquiète, ignorant tout de la façon dont son éducation devait être faite. Aussi est-ce le cœur (...)

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3- L’hétaïre
Le lendemain, guidée par son amie, Florence se rendit au domicile de celle qui allait lui ouvrir les portes de ce monde de débauche qui serait peut-être désormais le sien. A la description que Sylvie lui en avait faite, elle reconnut immédiatement la vaste demeure nichée au cœur d’un parc protégé par de hauts murs. Il se dégageait de l’ensemble une impression de calme et de sérénité qui contrastait (...)

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2- L’hétaïre
Lorsqu’elle sortit de son engourdissement, Florence constata que sa camarade était occupée à laper consciencieusement la mouille qui continuait à sourdre de sa fente. Maintenant que l’excitation était retombée, elle eut honte de la position dans laquelle elle s’exhibait, et plus encore au souvenir du spectacle qu’elle venait de donner en s’envoyant en l’air comme la pire des débauchées. Elle voulut (...)

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1- L’Hétaïre
Parcourant des yeux pour la seconde fois l’affiche apposée sur le mur de son lycée, Florence dut se résoudre à l’évidence ; son nom ne figurait pas sur la liste des « reçues » au baccalauréat. Bien que cet échec ne constitua pas pour elle une véritable surprise vu le peu d’efforts consentis durant l’année scolaire, elle ressentit néanmoins une douleur à l’estomac à l’idée de devoir affronter les foudres (...)

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24- Pierre, Agnès et les autres
Plongée dans ses sombres pensées, Agnès n’avait pas vu le soleil se coucher, et c’est la fraîcheur du soir qui la fit sortir de sa torpeur. Avisant un café, elle eut envie d’entrer s’y réchauffer. Pénétrant dans la salle, elle avisa une table située un peu à l’écart, et alla s’y installer, se laissant choir sur la banquette en moleskine. Bercée par le brouhaha des conversations, elle laissa son regard errer (...)

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23- Pierre, Agnès et les autres
En cette fin de journée, Agnès se promenait sur le front de mer de cette petite station balnéaire de la côte normande. Indifférente à la beauté du paysage qu’enflammait le soleil couchant, elle avançait mécaniquement, songeant aux évènements qui l’avaient conduite en cet endroit, deux jours plus tôt. Tout était parti de leur rencontre avec Muriel. Dans les premiers temps, celle-ci s’était comportée comme (...)

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22- Pierre, Agnès et les autres
Lorsque, un peu plus tard, les quatre males reprirent leurs esprits, ils purent contempler les jeunes femmes, allongées sur le sol, enlacées, lapant à petits coups de langue les traces gluantes de leurs épanchements. Une telle vision suffit à leur donner envie de se mêler à ces jeux érotiques, mais force leur fut de constater qu’ils n’étaient pas en état d’honorer leurs compagnes. Ils en étaient à (...)

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21- Pierre, Agnès et les autres
Parvenus à proximité du sex-shop, Pierre s’adressa aux deux adolescentes : J’ai averti Max de votre venue, mais je ne lui ai pas de quoi il s’agissait ; donc à vous de jouer. Agnès et moi allons entrer les premiers, et nous nous mêlerons aux clients qui se trouvent peut-être sur place. Bon courage et soyez audacieuses.
Plantant là les deux jeunes filles un peu intimidées, ils pénétrèrent dans la (...)

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20- Pierre, Agnès et les autres
Des quatre participants à ces travaux-pratiques d’un genre un peu spécial, Pierre fut le premier à reprendre ses esprits. S’adressant à Muriel, il tint à la complimenter. Je tiens à te féliciter, car tu t ‘es très bien comportée ; tu as passé ces premières épreuves avec succès. Mais tu dois savoir dès à présent que tu devras pouvoir reproduire en public les caresses et les jeux que tu viens de découvrir ; cela (...)

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19- Pierre, Agnès et les autres
Le lendemain, à leur lever assez tardif, les deux adolescentes arboraient des visages défaits qui en disaient long sur les ébats qui avaient du occuper leur nuit. Nous avons beaucoup bavardé hier soir, et ce matin, Muriel a quelque chose à vous demander. Vraiment, l’interrompit sa sœur, il me semble à voir vos yeux cernés que vous n’avez pas seulement parlé. C’est exact, reprit Sandrine, il y a des (...)